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Charte constituante des valeurs fondamentales de notre peuple, ainsi que des droits des êtres humains et des citoyens

Cette charte reprend la DDHC de 1789, l’actualise et la précise

Article premier

– Les êtres humains naissent et demeurent libres et égaux en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l’utilité commune.

Article 2.

– Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l’homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l’oppression.

Article 3.

– Le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la Nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d’autorité qui n’en émane expressément. De façon générale, les personnes élues à un poste de responsabilité, possédant un pouvoir par rapport à d’autres personnes, le sont avec un mandat impératif et doivent pouvoir être choisies et révoquées par ceux sur qui ce pouvoir s’exerce. Les élections se font par la méthode du jugement majoritaire. Les charges ne demandant pas de compétences particulières (justice, conseil constitutionnel entre autres) peuvent être choisies par tirage au sort pour un temps déterminé.

Les ministères sont élus séparément au jugement majoritaire après avoir été sélectionnés par leur base en fonction de leur programme et de leur compétence. Le président est élu au suffrage universel, il coordonne les ministères et représente la France à l’étranger. Ils sont élus pour 5 ans, mandatés pour un programme, et révocables à tout moment par RIC si ce programme n’est pas appliqué. Le cumul entre une charge au service de l’état et des intérêts privés est strictement interdit, y compris s’il est décalé dans le temps.

Article 4.

– La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi, l’exercice des droits naturels de chaque homme n’a de bornes que celles qui assurent aux autres membres de la société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la loi.

Article 5.

La loi n’a le droit de défendre que les actions nuisibles à la société autrui. Tout ce qui n’est pas défendu par la loi ne peut être empêché, et nul ne peut être contraint à faire ce qu’elle n’ordonne pas.

Article 6.

– La loi est l’expression de la volonté générale. Tous les citoyens ont droit de concourir personnellement ou par leurs représentants à sa formation. Elle doit être la même pour tous, soit qu’elle protège, soit qu’elle punisse. Tous les citoyens, étant égaux à ses yeux, sont également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leur capacité et sans autre distinction que celle de leurs vertus et de leurs talents. Les lois sont proposées par l’exécutif, le conseil constitutionnel ou des commissions citoyennes spontanées comprenant des représentants de toutes les parties concernées. Elles sont soumises à l’appréciation du public puis, au bout d’un certain nombre de pré-votes positifs, soumises au conseil constitutionnel qui, s’il les juge conforme, organise un vote par tous les individus concernés ou un RIC à la majorité des 2/3. Ne peuvent voter que les citoyens français.

Article 6 bis

Pour être citoyen français, il faut être né de parents français, ou être né en France,  y avoir passé au moins 6 ans de son enfance et avoir réussi le certificat d’études primaires.

Les immigrés, en particulier ceux introduits illégalement en France par les gouvernements précédents, ne pourront y rester que s’ils y travaillent et se comportent en accord avec notre charte des valeurs communes.

Ceux désirant acquérir la citoyenneté française doivent avoir travaillé au moins 6 ans en France et avoir le niveau du certificat d’études primaires. 

Article 7.

– Nul homme ne peut être accusé, arrêté ou détenu que dans les cas déterminés par la loi et selon les formes qu’elle a prescrites. Ceux qui sollicitent, expédient, exécutent ou font exécuter des ordres arbitraires doivent être punis ; mais tout citoyen appelé ou saisi en vertu de la loi doit obéir à l’instant ; il se rend coupable par la résistance.

Article 8.

– La loi ne doit établir que des peines strictement et évidemment nécessaires, et nul ne peut être puni qu’en vertu d’une loi établie et promulguée antérieurement au délit, et légalement appliquée.

La justice est rendue par le peuple en s’appuyant sur cette charte des valeurs communes, soit par un juge élu en première instance de conciliation, soit par un juge élu accompagné d’un jury tiré au sort et sans lien d’intérêt avec les parties en deuxième instance, soit, au niveau national, par une cour suprême (ou conseil constitutionnel, ou conseil des sages) composé en majorité de citoyens tirés au sort.

Les peines sont très libres en fonction de chaque cas particulier.

Les sanctions doivent avoir valeur de réparation lorsque cela est possible.

Le droit ne s’applique qu’à des individus, aucune société anonyme ne peut posséder des droits équivalents.

Le conseil constitutionnel est composé de quelques personnalités élues associées à une majorité de citoyens tirés au sort, pour une durée déterminée. Il est aussi en charge de rédiger ou faire rédiger une constitution plus complète en accord avec la charte qui devra être soumise à référendum avec une majorité de 2/3 des votants pour être adoptée.

Article 9.

Tout homme étant présumé innocent jusqu’à ce qu’il ait été déclaré coupable, s’il est jugé indispensable de l’arrêter, toute rigueur qui ne serait pas nécessaire pour s’assurer de sa personne doit être sévèrement réprimée par la loi.

Article 10.

– Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la loi.

Article 11.

– La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme ; tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi.

La liberté d’expression n’est pas la liberté de parole : nous devons rechercher la vérité sans dissimuler nos intentions, les paroles mensongères ou manipulatrices ainsi que les actes cachés visant à nuire à autrui sont interdits et doivent être dénoncés. Les dénonciateurs ne peuvent être punis et doivent être protégés.

 Les médias d’information doivent être indépendants les uns des autres et ne peuvent être financés que par leurs auditeurs.

Article 12.

– La garantie des droits de l’homme et du citoyen nécessite une force publique ; cette force est donc instituée pour l’avantage de tous, et non pour l’utilité particulière de ceux à qui elle est confiée.

Article 13.

Pour l’entretien de la force publique, et pour les dépenses d’administration, une contribution commune est indispensable ; elle doit être également répartie entre les citoyens, en raison de leurs facultés. La monnaie nationale ne peut être créée que gratuitement, uniquement par notre Banque Centrale, de façon proportionnée aux besoins et aux productions, pour ceux qui travaillent pour la communauté ou pour ceux qui ont besoin d’être aidés par la communauté. La valeur du travail de chacun est calculée par son temps, en heures, multiplié par un coefficient personnel auto attribué, qui dépend de la qualification ou de la pénibilité, compris entre un minimum et un maximum déterminés par référendum. Il y a donc un revenu minimum et maximum associé à un capital maximum autorisé qui sont déterminés par référendum. Cette valeur du travail s’ajoute à un revenu universel de base permettant à ceux empêchés de travailler d’assurer leurs besoins fondamentaux. 

Article 14.

– Les citoyens ont le droit de constater, par eux-mêmes ou par leurs représentants, la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d’en suivre l’emploi, et d’en déterminer la quotité, l’assiette, le recouvrement et la durée.

Le peuple élit et mandate les administrateurs de la Banque Centrale et vote le budget.

Article 15.

– La société a le droit de demander compte à tout agent public de son administration.

Article 16.

– Toute société dans laquelle la garantie des droits n’est pas assurée ni la séparation des pouvoirs déterminée, n’a point de Constitution.

Article 17.

La propriété étant un droit inviolable et sacré, nul ne peut en être privé, si ce n’est lorsque la nécessité publique, légalement constatée, l’exige évidemment, et sous la condition d’une juste et préalable indemnité

Le droit de propriété est limité à la propriété d’usage : maisons habitées ou louées, biens personnels, instruments de travail. Tout citoyen a droit de posséder un logement ainsi que ses instruments de travail et bénéficier d’un don de l’état pour cela, qui sera  rendu par les héritiers. Nul étranger ne peut posséder une partie du territoire français.

Le droit d’entreprendre est un droit fondamental qui doit être encouragé par des simplifications administratives et un allègement des charges. Les entreprises ne peuvent appartenir qu’à ceux qui y travaillent. Le premier créateur d’une entreprise la possède entièrement jusqu’à ce que sa valeur atteigne le capital maximum autorisé. Au delà, il doit donner des parts à ses salariés. Les entreprises privées d’intérêt public peuvent bénéficier de prêts sans intérêt de l’état. Les salariés peuvent bénéficier de dons de l’état ou de prêts sans intérêts pour acheter des parts. Les éventuels actionnaires privés  qui ne travaillent pas dans l’entreprise n’ont aucun droit de propriété ni de pouvoir décisionnel dans l’entreprise mais peuvent bénéficier de la répartition des bénéfices au même titre que les salariés actionnaires. Les bénéfices non redistribués ou non réinvestis sont placés dans une caisse de secours. Lorsque le créateur d’une entreprise la revend, il ne peut revendre que sa part et son successeur doit être accepté par les salariés qui sont prioritaires pour le rachat. S’il décède, son héritier désigné doit être accepté par les salariés actionnaires s’il veut y travailler ou vendre sa part, de préférence aux salariés après avoir remboursé les éventuelles aides accordées au créateur. Les entreprises françaises sont protégées de la concurrence étrangère par des droits de douane (automatiques de par la parité des monnaies) et peuvent bénéficier de prêts gratuits. En dehors des monopoles d’état (gestion de l’énergie, de la monnaie, des services publics), il y a par contre une saine concurrence entre les entreprises publiques et les entreprises privées.

Article 18

Nous sommes en grande partie responsables de notre santé et libres de nous soigner avec les méthodes de notre choix. En conséquence l’état ne peut nous imposer aucun acte médical sans notre consentement individuel libre et éclairé. L’état ne prend en charge que les maladies ou accidents nécessitant un traitement trop coûteux ou hospitalisation.

Article 19

Notre société respecte la « loi naturelle », tant du point de vue physique et biologique que du point de vue des organisations humaines.

Nous respectons le vivant sous toutes ses formes et n’intervenons qu’en évitant de modifier les équilibres naturels.

La première société naturelle est la famille constituée des parents géniteurs et de leurs enfants. Les enfants doivent être respectés et protégés. Aucun enfant ne peut être arraché à sa famille sans son consentement ni faire l’objet d’actes marchands.

Article 20

Ce sont les parents qui sont responsables de l’éducation de leur enfant: l’état ne peut les aider que s’ils le demandent ou sont déchus de leur droit par décision de justice à cause de mauvais traitements prouvés.

En conséquence, ni l’école, ni les vaccinations pour y aller ne peuvent être obligatoires. L’école est avant tout un lieu de socialisation qui doit aider chaque enfant à développer au mieux ses potentialités.

Une grande liberté est laissée aux enseignants qui sont révocables sur plainte d’un grand nombre de parents.

Après un certificat d’études primaires contrôlant que les bases sont acquises concernant la langue, l’orthographe, le calcul et le raisonnement logique ainsi que les connaissances de vie pratique, les différentes filières d’apprentissage peuvent être très diversifiées. Dans tous les domaines, les filières d’état sont gratuites.

Article 21

Le rôle de l’armée est de protéger la nation et le peuple des emprises étrangères. Elle est au service du peuple, ne peut intervenir à l’étranger qu’après référendum mais peut intervenir sur demande du conseil constitutionnel dans le pays en cas d’invasion étrangère ou si un gouvernement traître à la nation s’est mis au service d’une puissance étrangère.

Article 22

Cette charte s’impose à toute constitution , présente et à venir, à tout contrat ou traité passé, présent et à venir. 

Tous les codes actuels doivent être revus pour être en accord avec cette charte.

 Les politiques ayant ratifié des contrats ou traités contraires à l’intérêt national peuvent être poursuivis en justice pour crime de haute trahison et ces contrats ou traités dénoncés.

Ceux ayant créé de la fausse monnaie doivent rembourser ceux à qui ils ont prêté et restituer les biens achetés avec.

 Elle s’applique dès qu’elle est votée par une majorité de citoyens français avec, pour la faire appliquer, un conseil constitutionnel en majorité tiré au sort et un gouvernement de transition élu pour 5 ans en même temps. Elle ne peut être modifiée que par référendum avec une majorité des 2/3.

 

 

 

Charte constituante

Notre organisation sociale est démocratique au sens où il y a une gestion citoyenne des différents pouvoirs. De façon générale, les personnes élues à un poste de responsabilité, possédant un pouvoir par rapport à d’autres personnes, le sont avec un mandat impératif et doivent pouvoir être choisies et révoquées par ceux sur qui ce pouvoir s’exerce. Les élections se font de préférence par la méthode du jugement majoritaire pour des candidats ayant strictement le même accès à l’information, choisis par les électeurs dans un panel de volontaires ayant apporté les preuves de leur capacité. Les charges ne demandant pas de compétences particulières (justice, conseil constitutionnel entre autres) peuvent être choisies par tirage au sort pour un temps déterminé.

Gestion citoyenne du droit et du respect de la constitution

La justice est rendue en s’appuyant sur la charte des valeurs communes, soit par un juge élu en première instance de conciliation, soit par un juge élu accompagné d’un jury tiré au sort et sans lien d’intérêt avec les parties en deuxième instance, soit, au niveau national, par une cour suprême (ou conseil constitutionnel, ou conseil des sages) composé en majorité de citoyens tirés au sort. Les peines sont très libres en fonction de chaque cas particulier. Les sanctions doivent permettre  réparation lorsque cela est possible.

Le droit ne s’applique qu’à des individus, aucune société anonyme ne peut posséder des droits équivalents.

Le conseil constitutionnel est composé de quelques personnalités élues associées à une majorité de citoyens tirés au sort, pour une durée déterminée. Il est aussi en charge de rédiger ou faire rédiger une constitution plus complète en accord avec la charte qui devra être soumise à référendum avec une majorité de 2/3 des votants pour être adoptée.

Gestion citoyenne de la citoyenneté

Pour être citoyen français, il faut être né de parents français, ou être né en France, et y avoir passé au moins 6 ans de son enfance. 

Les immigrés, en particulier ceux introduits illégalement en France par les gouvernements précédents, ne pourront y rester que s’ils y travaillent et se comportent en accord avec notre charte des valeurs communes. Ceux désirant acquérir la citoyenneté française doivent avoir travaillé au moins 6 ans en France et avoir le niveau du certificat d’études primaires. 

Gestion citoyenne de l’exécutif

Les ministères sont élus séparément au jugement majoritaire après avoir été sélectionnés par leur base en fonction de leur programme et de leur compétence. Le président est élu au suffrage universel, il coordonne les ministères et représente la France à l’étranger. Ils sont élus pour 5 ans, mandatés pour un programme, et révocables à tout moment par RIC si ce programme n’est pas appliqué. Le cumul entre une charge au service de l’état et des intérêts privés est strictement interdit, y compris s’il est décalé dans le temps.

Gestion citoyenne du législatif

Les lois peuvent être proposées par l’exécutif, le conseil constitutionnel ou des commissions citoyennes spontanées comprenant des représentants de toutes les parties en jeu. Elles sont soumises à l’appréciation du public puis, au bout d’un certain nombre de pré-votes positifs, soumises au conseil constitutionnel qui, s’il les juge conforme, organise un vote par tous les individus concernés ou un RIC à la majorité des 2/3. Ne peuvent voter que les citoyens français.

Gestion citoyenne des forces armées

Le rôle de l’armée est de protéger la nation et le peuple des emprises étrangères. Elle est au service du peuple, ne peut intervenir à l’étranger qu’après référendum organisé par le conseil des sages mais peut intervenir sur demande du même conseil dans le pays en cas d’invasion étrangère ou si un gouvernement traître à la nation s’est mis au service d’une puissance étrangère.

Gestion citoyenne de la création monétaire

La monnaie nationale qui sert à mesurer la valeur de certains de nos échanges est du type SMVT (Simple Mesure de la Valeur du Travail) étalonnée sur le temps de travail. Elle ne peut être créée que gratuitement, uniquement par notre Banque Centrale, de façon proportionnée aux besoins et aux productions, pour ceux qui travaillent pour la communauté ou pour ceux qui ont besoin d’être aidés par la communauté. Le peuple élit et mandate les administrateurs de la Banque Centrale et vote le budget.

 Sa parité avec les autres monnaies se décide dans chaque cas au niveau politique avec le pays concerné en fonction des  étalons respectifs ou du niveau des échanges. Les changes sont contrôlés par la Banque Centrale.

Gestion citoyenne de la propriété privée

Le droit de propriété est limité à la propriété d’usage : maisons habitées ou louées, biens personnels, instruments de travail.

Tout citoyen a droit de posséder un logement ainsi que ses instruments de travail et bénéficier d’un don de l’état pour cela, qui sera  rendu par les héritiers.

Nul étranger ne peut posséder une partie du territoire français.

Gestion citoyenne des entreprises

Le droit d’entreprendre est un droit fondamental qui doit être encouragé par des simplifications administratives et un allègement des charges. Les entreprises ne peuvent appartenir qu’à ceux qui y travaillent. Le premier créateur d’une entreprise la possède entièrement jusqu’à ce que sa valeur atteigne le capital maximum autorisé. Au delà, il doit donner des parts à ses salariés. Les entreprises privées d’intérêt public peuvent bénéficier de prêts sans intérêt de l’état. Les salariés peuvent bénéficier de dons de l’état ou de prêts sans intérêts pour acheter des parts. Les éventuels actionnaires privés  qui ne travaillent pas dans l’entreprise n’ont aucun droit de propriété ni de pouvoir décisionnel dans l’entreprise mais peuvent bénéficier de la répartition des bénéfices au même titre que les salariés actionnaires. Lorsque le créateur d’une entreprise la revend, il ne peut revendre que sa part et son successeur doit être accepté par les salariés qui sont prioritaires pour le rachat. S’il décède, son héritier désigné doit être accepté par les salariés actionnaires s’il veut y travailler ou vendre sa part, de préférence aux salariés après avoir remboursé les éventuelles aides accordées au créateur. Les entreprises françaises sont protégées de la concurrence étrangère par des droits de douane (automatiques de par la parité des monnaies) et peuvent bénéficier de prêts gratuits. En dehors des monopoles d’état (gestion de l’énergie, de la monnaie, des services publics), il y a par contre une saine concurrence entre les entreprises publiques et les entreprises privées.

Gestion citoyenne des inégalités sociales

La valeur du travail de chacun est calculée par son temps, en heures, multiplié par un coefficient personnel auto attribué,( ou décidé par la communauté pour ceux qui travaillent pour elle), qui dépend de la qualification ou de la pénibilité. Ce coefficient est compris entre un minimum et un maximum déterminés par référendum. Il y a donc un revenu minimum et maximum associé à un capital maximum autorisé qui sont déterminés par référendum. Cette valeur du travail s’ajoute à un revenu universel de base permettant à ceux empêchés de travailler d’assurer leurs besoins fondamentaux. (Voir une simulation chiffrée).

Gestion citoyenne de la liberté d’expression

La liberté d’expression n’est pas la liberté de parole : nous devons rechercher la vérité sans dissimuler nos intentions, les paroles mensongères ou manipulatrices ainsi que les actes cachés visant à nuire à autrui sont interdits et doivent être dénoncés. Les dénonciateurs ne peuvent être punis et doivent être protégés. 

Les médias d’information doivent être indépendants les uns des autres et ne peuvent être financés que par leurs auditeurs.

Gestion citoyenne de l’éducation

    Ce sont les parents qui sont responsables de l’éducation de leur enfant: l’état ne peut les aider que s’ils le demandent ou sont déchus de leur droit par décision de justice à cause de mauvais traitements prouvés. En conséquence, ni l’école, ni les vaccinations pour y aller ne peuvent être obligatoires. L’école est avant tout un lieu de socialisation qui doit aider chaque enfant à développer au mieux ses potentialités. Une grande liberté est laissée aux enseignants qui sont révocables sur plainte d’un grand nombre de parents. Après un certificat d’études primaires contrôlant que les bases sont acquises concernant la langue, l’orthographe, le calcul et le raisonnement logique ainsi que les connaissances de vie pratique, les différentes filières d’apprentissage peuvent être très diversifiées. Dans tous les domaines, les filières d’état sont gratuites.

Gestion citoyenne de la santé 

  Nous sommes en grande partie responsables de notre santé et libres de nous soigner avec les méthodes de notre choix. En conséquence l’état ne peut nous imposer aucun acte médical sans notre consentement individuel libre et éclairé. Il ne peut que contraindre à l’isolement ceux atteints d’une maladie prouvée très contagieuse pour laquelle il n’existe pas de traitement. L’état ne prend en charge que les hospitalisations et les maladies nécessitant des soins trop couteux. Les soignants travaillant en libéral doivent publier leurs formations et leurs compétences ainsi que leur tarif, pour permettre un libre choix des consultants.

Cette charte s’impose à toute constitution , présente et à venir, à tout contrat ou traité passé, présent et à venir. Tous les codes actuels doivent être revus pour être en accord avec cette charte.

 Les politiques ayant ratifié des contrats ou traités contraires à l’intérêt national peuvent être poursuivis en justice pour crime de haute trahison et ces contrats ou traités dénoncés.

Ceux ayant créé de la fausse monnaie doivent rembourser ceux à qui ils ont prêté et restituer les biens achetés avec. 

Elle s’applique dès qu’elle est votée par une majorité de citoyens français avec, pour la faire appliquer, un conseil constitutionnel en majorité tiré au sort et un gouvernement de transition élu pour 5 ans en même temps. Elle ne peut être modifiée que par référendum avec une majorité des 2/3.

 

 

Charte des valeurs fondamentales de notre peuple

Nous sommes des êtres humains libres et égaux en droit. Notre droit civil repose sur des principes moraux:

_ne pas tuer ou nuire à autrui, sauf en cas de légitime défense.

_ne pas violer, c’est à dire pénétrer dans l’espace intime d’une personne sans son consentement en profitant d’une supériorité physique, d’une position d’autorité ou d’un dol.

Nul ne peut être soumis à autrui sans un consentement libre et éclairé sauf lorsqu’il transgresse ces lois.

La liberté des uns ne devant pas empêcher la liberté des autres, les lois qui en résultent doivent être identiques pour tous, soit qu’elles protègent, soit qu’elles punissent. Tous les citoyens ont droit de concourir personnellement à leur formation. 

Les sanctions ont pour fonction de contenir et réparer et ne peuvent en aucun cas être disproportionnées au délit.

Nul ne peut être amputé par la loi d’une partie ou de toute sa liberté s’il n’a pas été rigoureusement prouvé que cette liberté est dangereuse pour autrui, ou pour le groupe, ou pour ce qui permet la vie sur terre.

Notre société respecte la « loi naturelle », tant du point de vue physique et biologique que du point de vue des organisations humaines.  Nous respectons le vivant sous toutes ses formes et n’intervenons qu’en évitant de modifier les équilibres naturels.

La première société naturelle est la famille constituée des parents géniteurs et de leurs enfants. Les enfants doivent être respectés et protégés. Aucun enfant ne peut être arraché à sa famille sans son consentement ni faire l’objet d’actes marchands.

Ne peuvent appartenir à notre société que ceux qui respectent cette charte des valeurs fondamentales , quel que soit le sexe, la religion ou la qualité d’immigrant.

 

commentaires explicatifs de la charte constituante

Commentaires explicatifs de la charte constituante :

Les droits et devoirs

Si on y réfléchit bien, tout le code civil que nous comprenons repose sur des principes très simples : ne pas nuire à autrui, respecter la liberté de chacun tant qu’elle ne nuit pas à autrui, respecter les lois qui permettent une meilleure organisation sociale. Pas besoin d’avoir des codes de 300 pages nécessitant un professionnel pour les connaître, chacun est capable d’appliquer ces principes dans chaque cas particulier. Si nous avons des principes communs, pas besoin d’appeler un policier chaque fois que quelqu’un ne les respecte pas, n’importe qui dans son entourage peut le rappeler à l’ordre. Le respect de la vie est important à être précisé car il a tendance à être bafoué dans notre civilisation actuelle, le respect des enfants aussi pour arrêter l’horrible trafic actuel d’enfants. Il est important aussi de préciser que le droit civil est supérieur au droit commercial car actuellement c’est le contraire : un état peut être condamné s’il veut empêcher l’importation de produits alimentaires dangereux sous prétexte qu’il nuit au profit des entreprises.

La justice

Il faut éviter que la justice soit sous les ordres de l’exécutif comme actuellement. Si tout citoyen connaît le droit, tout citoyen est apte à rendre la justice. Évidemment , on ne peut pas se rendre justice soi-même, il faut l’intervention d’un tiers impartial, qui peut être un juge élu pour la première instance de conciliation, un jury tiré au sort pour la deuxième instance, un conseil des sages tiré au sort pour la plus haute instance qui peut aussi servir de conseil constitutionnel. Il ne faut plus que le conseil constitutionnel soit constitué de membres nommés par l’exécutif qui avalisent toutes les entorses faites à la constitution. Il apparaît normal que la police soit sous les ordres de la justice et non de l’exécutif.

L’organisation démocratique

Un principe général pour que notre avis soit pris en compte à tous les niveaux. La démocratie n’est pas renoncer à nos pouvoirs en élisant des « représentants » qui voteront à notre place souvent contre nos intérêts, mais en votant nous-mêmes les lois . Ce qui était impossible autrefois l’est maintenant avec internet. Tout le monde n’est pas obligé de voter pour toutes les lois proposées, simplement pour celles qui les intéressent.

Contrôle de l’immigration

Une immigration massive a été organisée par les mondialistes pour nous faire perdre notre identité. Nous ne devons garder que ceux que nous acceptons et qui s’intègrent à notre culture. Dans la mesure où elle s’apparente parfois à une invasion étrangère, l’armée est en droit d’intervenir.

L’organisation économique démocratique

C’est le point essentiel car c’est à cause d’un système monétaire truqué que les grands banquiers ont pris tant de pouvoir sur les états et sur nos vies (voir sur ce point le chapitre « définition de la monnaie et son rôle dans l’organisation des échanges »). Une monnaie de type SMVE créée gratuitement pour ceux qui produisent nous permettrait de travailler 2 fois moins sans taxes systématiques ni impôts ni dettes et interdirait toute emprise de la finance sur l’économie. Toutes les entreprises pourraient fonctionner sur le mode coopératif. C’est le peuple qui voterait le budget et donc le salaire de ceux qui travaillent pour la collectivité. Il est important aussi de limiter le droit de propriété à la propriété d’usage pour empêcher des gens qui ne produisent rien d’avoir tout pouvoir sur ceux qui produisent.

Liberté d’expression

Autre point très important : c’est parce que tous les principaux médias sont possédés par quelques milliardaires mondialistes que nous avons été soumis à une véritable propagande orchestrée dénaturant la vérité de ce qui se passe dans notre pays et dans le monde et faussant les élections. L’argent coulant à flots uniquement pour ceux qui obéissent a tout corrompu, il faut donc rétablir ce qui se faisait autrefois, la liberté d’expression et que chaque média ne vive que grâce à ceux qui l’écoutent.

Comment rendre un état à la fois social et libertaire

Devant toutes les charges que nous impose l’état pour des bénéfices de moins en moins évidents, certains en viennent à vouloir supprimer l’état, comme Javier Milei en Argentine.

Or, en supprimant l’état, c’est à dire toutes les régulations, en imaginant que la loi du marché amènera à un état d’équilibre harmonieux, on ne fait que rêver car la loi du marché est très cruelle, les plus forts écrasant les plus faibles sans aucune considération morale, on a vu ce que cela donnait à l’époque du capitalisme sauvage. Le bien vivre dans un pays ne se mesure pas avec le PIB : si le peuple travaille dans des conditions qui le rendent malade et que cela nécessite des soignants et des industries pour le soigner, le PIB augmente, pas le bonheur de vivre.

Ce n’est pas parce que nous avons une mauvaise image de ce que peut être un état en ce moment qu’il faut supprimer toute idée d’état. Nos états actuels ne jouent plus leur rôle de protection de la population parce qu’ils sont corrompus et au service de puissances d’argent étrangères. Si nous reprenons le contrôle de la création monétaire, nous enlevons tout pouvoir à ces puissances néfastes et pouvons réfléchir à quel genre d’état nous voulons créer, un état qui soit véritablement au service du peuple et qui garantisse que la liberté de chacun soit respectée.

Nous avons vu aux chapitres précédents que déjà, grâce à la monnaie SMVE créée par l’état ou les usagers, l’état n’est plus une charge financière mais un pourvoyeur de travail et d’argent, ce n’est plus un collecteur d’impôts mais un consommateur des productions, il n’est plus à imposer ses lois mais à obéir aux nôtres.

Nous avons vu également dans le chapitre « échanges et monnaie » que c’était l’organisation sociale qui décidait de l’organisation économique et non le contraire.

Il faut donc commencer par décider de l’organisation sociale que nous souhaitons avant de construire le modèle économique correspondant. Nous avons vu au chapitre précédent une forme d’organisation sociale réellement démocratique, nous allons essayer de trouver l’organisation économique correspondante qui donne le maximum de liberté à chacun en considérant que ce sont les échanges qui doivent créer la monnaie et non le contraire.

Conditions de départ :

_Les échanges sont libres et de gré à gré : c’est le producteur qui décide de la valeur de l’échange et du prix de son heure de travail puisque la monnaie SMVE est étalonnée sur le temps de travail multiplié par un coefficient personnel dépendant de la qualification ( il faudra décider d’un minimum et d’un maximum pour limiter les inégalités). Il parait donc normal que ce soient ceux qui échangent qui créent et détruisent la monnaie en fonction de leur accord.

_Les échanges ne donnent lieu à aucun impôt ni taxe systématique (on peut imaginer des taxes sur certains produits dont on veut limiter la consommation, des produits importés par exemple pour protéger les productions nationales).

_Tout le monde n’a pas les mêmes besoins d’échanges et donc d’argent : celui qui vit presque en autarcie n’a pas besoin de gagner autant que celui travaille qui travaille tout son temps dans un domaine très spécialisé et doit se fournir chez les autres pour assurer ses besoins. La part de travail que l’on fait pour soi n’a pas besoin de monnaie alors que celle qu’on fait pour les autres en a si ce travail nous a coûté de le faire. Imaginer le même revenu pour tous n’est pas réaliste .

_Il faut favoriser la liberté d’entreprendre 

_Il faut empêcher que ceux qui ne produisent rien soient en position de soumettre ceux qui produisent à leur volonté, donc limiter le doit de propriété à la propriété d’usage.

_Permettre le droit au logement et à la nourriture pour tous.

Comment faire entrer nos désirs d’organisation sociale dans le système économique ?

Pour bien comprendre pourquoi nous n’avons plus besoin d’impôts et taxes, il faut comprendre que dans le système actuel, pour nourrir ceux qui travaillent pour nous, nous travaillons 2 fois pour rien : une fois pour gagner l’argent des impôts, une autre fois pour les nourrir avec l’argent que nous leur avons donné : autant les nourrir gratuitement. C’est à nous de dire jusqu’à quelle hauteur nous pouvons les nourrir, quel salaire nous leur accordons, et l’état maintenant peut le faire par création monétaire.

De la même façon, si nous décidons collectivement de faire de grands travaux non rentables financièrement mais importants pour la qualité de vie, par exemple au niveau écologique purifier l’eau des rivières, nous pouvons payer ceux qui vont y travailler par création monétaire car ils seront nourris par les producteurs du pays. Il y a donc besoin pour cela d’une banque centrale gérée collectivement.

Cette façon de faire permet d’introduire directement de la monnaie pleine dans le système de façon cohérente puisque correspondant à un travail. Cette monnaie ainsi créée sans dette va s’écouler vers ceux qui produisent pour finalement se répartir sur tous. Cela va booster l’économie du pays. C’est comme cela qu’Hitler a pu redresser l’économie allemande après la guerre de 14/18. Cela augmente constamment la masse monétaire : c’est parfait au début ou en période de récession mais il y a un moment où il faudra créer un trop-plein pour que ce qui déborde serve à diminuer la masse monétaire créée. Ce trop plein peut être un impôt progressif sur les hauts revenus ou la création d’un revenu maximum autorisé associé à un capital maximum autorisé. La création monétaire s’arrêtera automatiquement lorsque tous ceux qui le voudront ou le pourront auront atteint le revenu maximum autorisé.

Il y en aura toujours qui ne pourront pas équilibrer leurs échanges, les malades, chômeurs, handicapés par exemple. Pour ceux-là, il faudra envisager un don, un revenu de base financé par création monétaire, qui demandera un peu plus de travail aux producteurs, mais rémunéré.

Exemple chiffré :

Supposons que nous mettons en place une monnaie SMVE étalonnée sur le temps de travail, de valeur équivalente à l’euro actuel, notée e.

Imaginons que la valeur de l’heure de travail, décidée par le producteur ou par la communauté pour ceux qui travaillent pour elle, puisse varier sur une échelle de 1 à 10, disons pour simplifier entre 10 et 100e. (Cela peut aussi être de 1 à 20, c’est à décider collectivement. C’est ce qui était préconisé aux plus grandes heures du capitalisme triomphant)

Pour un travail à temps plein de 30h par semaine (on pourra de façon certaine travailler moins pour gagner plus), le salaire mensuel peut varier de 1200e à12000e. Notons qu’il n’y a pas d’impôts ni de TVA là dessus, ce qui correspond à des salaires actuels de 1440€ à plus de 20000€

Supposons que l’on évalue le Revenu minimum Vital à 1000e distribué à tous sous la forme d’un revenu de base inconditionnel : cela règle le problème de ceux qui ne peuvent pas produire (handicapés, chômeurs, malades,…) et porte le SMIG à 2200e.

Le RMA induit forcément un Capital Maximum Autorisé : celui que l’on peut accumuler en vivant avec le RmV toute sa vie active et en capitalisant son salaire, soit environ 500 fois le RMA, soit 6 000 000e. Cette somme inclus la valeur de la maison, des outils de travail, et l’argent épargné. Elle est largement suffisante pour la grande majorité d’entre nous.

Comment évoluent les cotisations qui grevaient le revenu brut :

_Les cotisations sociales payaient des personnes qui sont au service de la collectivité et qui peuvent donc être payés par création monétaire.

_Les cotisations chômage sont prises en charge en partie par le RmV. Ceux qui sont habitués à un salaire très supérieur et souhaitent des indemnités de chômage plus importantes doivent souscrire à une assurance chômage complémentaire.

_Idem pour les retraites : prendre une complémentaire retraite si le RmV ne suffit pas (tout le monde à ce stade doit pouvoir être propriétaire de son logement).

Certains vont dire que l’état en prend trop à sa charge, d’autres pas assez. En fait la quantité de monnaie pouvant être créée sans créer d’inflation dépend des capacités de production du pays. Nos gouvernements depuis des dizaines d’années s’évertuent à détruire nos capacités de production, les prévisions actuelles pour redémarrer sont donc minimalistes mais il est certain que cela va faire redémarrer l’économie interne très fort et que tout ce qui précède pourra être calculé avec des chiffres plus précis au bout de la première année. Les chiffres donnés par le système actuel ne sont guère utilisables.

La grille des salaires de ceux qui travaillent pour l’état, préparée par des commissions interprofessionnelles, doit être votée par référendum, en particulier pour les politiques : il est anormal qu’ils puissent se voter eux-mêmes leurs propres augmentation de salaire. Leur salaire devrait se situer au niveau du salaire médian (autant de personne qui gagnent moins que de celles qui gagnent plus), ce qui les motiverait à travailler pour l’ensemble du peuple et non pour les plus riches.

Droit au logement

Si nous pensons que tout le monde a droit à un logement, quelle que soit sa situation, il faut en donner les moyens à tout le monde : cela pourrait se concrétiser par le don de la valeur d’un logement correct pour toute personne le demandant lorsqu’elle est dans la vie adulte. Si elle souhaite un logement de plus grande valeur, elle peut prendre en plus un prêt d’état sans intérêt.

Par contre, à son décès, les héritiers lorsqu’ils le vendront ou y habiteront devront rendre à l’état la valeur donnée au départ.

Droit au don des outils de travail

Les compagnons autrefois pouvaient faire don de leurs outils de travail à ceux qui prenaient leur place. Il semblerait logique que l’outil de travail puisse se transmettre gratuitement par héritage ou bénéficie sinon d’un prêt gratuit ou même d’un don.

Cas des entreprises :

Le fonctionnement de la monnaie SMVE exclut son utilisation dans la finance; donc il n’y aura plus de gros capitalistes pouvant acheter des entreprises grâce à des prêts bancaires. Ceux qui ont trop d’argent et veulent aider une entreprise peuvent toucher une part des bénéfices mais n’ont aucun pouvoir sur le fonctionnement de l’entreprise. Pour les entreprises d’intérêt public, l’état peut prêter à taux zéro. Conformément à la propriété d’usage, une entreprise ne peut appartenir qu’à ceux qui y travaillent.

Celui qui veut créer une entreprise a droit au démarrage à des prêts gratuits et est propriétaire de cette entreprise tant qu’elle n’atteint pas une valeur trop importante à déterminer. La création d’entreprise sera beaucoup plus facile avec beaucoup moins de formalités administratives et beaucoup moins de charges salariales, ce qui les rendra facilement plus compétitives au niveau international. Elles seront protégées en France par des taux de change du Franc déterminé politiquement. Le patron touche son salaire dans les limites autorisées mais ne possède pas les bénéfices qui, s’ils ne sont pas réinvestis doivent être répartis entre les salariés en fonction de leur salaire ou sinon placés dans une caisse de secours qui pourra être utilisée en cas d’année déficitaire. Les salariés peuvent avoir des parts et bénéficient aussi de prêts à taux zéro pour acquérir ces parts. Lorsque le fondateur quitte son entreprise, il ne peut vendre que ses parts, à ses employés ou à un repreneur uniquement si celui ci prend sa place et est accepté par les salariés. S’il part en retraite, un héritier direct hérite sans frais uniquement s’il y travaille, sinon c’est l’ensemble des salariés qui héritent, également sans taxes ni impôts. On peut aussi imaginer qu’il puisse choisir un héritier hors de sa famille si celui-ci est accepté par les salariés.

Ainsi l’entreprise appartient toujours de fait à ceux qui y travaillent.

Dans le cas d’une propriété agricole reprise par le fils quand son père atteint l’âge de la retraite, le père garde la propriété de sa maison mais ne peut garder celle de la ferme dont le fils hérite sans frais. Si aucun héritier direct ne veut reprendre la succession, il doit choisir un héritier hors du cercle familial, sinon la ferme revient à l’état qui la redistribue à des postulants fermiers  selon le même principe que pour la maison d’habitation: don d’une valeur moyenne (remboursable au moment de la transmission) et prêt gratuit pour le complément.

Pour empêcher à la fois la bureaucratie de l’état et la prise de pouvoir du privé sur le public, il y aura dans tous les domaines une saine concurrence entre les entreprises publiques, à la gestion transparente et non alimentée par création monétaire, et le privé. Si le privé peut faire mieux que le public, il gagnera mieux mais pas dans des proportions énormes.

Par contre, tout ce qui sert à organiser la vie en société, comme la monnaie, les routes et autoroutes, la distribution de l’électricité, du gaz, des télécommunications, de la nourriture, doit être sous le contrôle de l’état.

Utopique ce programme? C’est à nous de le décider! la transition est possible si nous le voulons.

Bienvenue chez les irréductibles Gaulois

Les Gaulois n’étaient pas les barbares incultes que l’on nous a décrit : c’étaient des hommes libres, courageux, avec un grand sens de l’honneur, mettant les valeurs spirituelles au-dessus des valeurs matérielles, héritiers de la civilisation Atlantide disparue lors de cataclysmes terrestres. Persécutés par les romains qui ont apporté la barbarie esclavagiste sous couvert de chrétienté, les survivants se sont réfugiés dans le nord et sont revenus reconquérir une partie de leurs terres avec les Vikings. Plus tard, ce sont eux, sous la forme des templiers, qui ont construit les cathédrales grâce à l’or qui provenait d’Amérique (ils ont découvert l’Amérique 300 ans avant Christophe Colomb et entretenaient avec les amérindiens des rapports de coopération). (voir le travail remarquable d’Oleg de Normandie sur le site « esprit Viking »)

Notre civilisation barbare esclavagiste occidentale dominée actuellement par l’état profond américain est en train de sombrer : après avoir soumis par les armes la plupart des autres peuples de la terre, le petit quarteron d’êtres pervers qui nous domine a tenté de prendre possession de l’humanité toute entière ; leur force ne réside plus dans les armes conventionnelles mais dans 2 piliers qui ont corrompu toute notre organisation sociale :

_le pouvoir de l’argent dû au fait que nous leur avons laissé depuis des millénaires le pouvoir de création monétaire : quelques grandes fortunes sont devenues plus puissantes que les états, obligeant ceux-ci à leur obéir dans un sens qui va contre l’intérêt des nations.

_La possession des principaux médias qui permet de manipuler les opinions publiques en travestissant les réalités dans de fausses informations.

La résistance de certains états courageux va certainement faire échouer leur plan mais l’UE et surtout la France, par sa soumission aux intérêts banco-américains, va être dans le clan des grands perdants : depuis des dizaines d’années, nos dirigeants n’ont eu de cesse de détruire son potentiel économique et culturel, le coup final ayant été donné par M. Macron et ses sbires.

Beaucoup de français, trop gentils pour imaginer un tel machiavélisme et faisant confiance à ce que disent les médias, continuent de croire être dans un état de droit protecteur.  D’autres cherchent à résister pour reconstruire une France avec les valeurs qui ont fait sa renommée.

Ce site se veut être un instrument interactif pour nous donner les moyens  de cette reconstruction :

_donner des informations exactes pour rétablir la vérité face à la propagande médiatique.

_Expliquer où se situe l’arnaque dans notre système monétaire qui nous a rendu esclaves d’une petite minorité et quel nouveau système permettrait de nous en sortir à tout jamais.

_Nous réapproprier le droit en écrivant nous-mêmes une charte des valeurs fondamentales du peuple français qui déterminera nos valeurs fondamentales auxquelles la prochaine constitution et la prochaine organisation sociale devra se soumettre.

En attendant que cette charte soit acceptée par une majorité de français, nous pouvons créer des îlots de résistance adoptant la charte des irréductibles gaulois . Cette charte permet de nous opposer à des lois ne respectant pas nos valeurs. Elle est modifiable à l’unanimité du groupe. Pour faire partie du groupe, il suffit d’en faire la demande en expliquant pourquoi, ce commentaire ne sera pas publié mais permettra de vous contacter. Vous pouvez aussi mettre seulement un commentaire qui sera publié sans votre email et dont nous pouvons tenir compte.

L’énorme arnaque de la monnaie bancaire expliquée en 5mn

Tout le monde se rend plus ou moins compte que nous sommes trop tributaires des banquiers et qu’ils nous exploitent, nous pensons aux frais, aux intérêts, mais l’arnaque est beaucoup plus gigantesque, il suffit d’un raisonnement global pour le démontrer :

_depuis les années 1970, nos gouvernements ont demandé à des banquiers privés de créer notre monnaie nationale.

_Si on vous demandait cela et si vous étiez honnêtes, vous établiriez le prix de revient de la création des billets (quelques centimes quelle que soit la valeur écrite, rien pour la monnaie numérique), ajouteriez le prix de votre main d’œuvre et factureriez le tout au gouvernement pour qu’il l’utilise à sa guise.

_Au lieu de cela, les banquiers ne font que prêter cette monnaie qui ne leur a presque rien coûté et demandent qu’on leur rembourse la valeur de ce qui est écrit : quand vous empruntez pour acheter une maison, la somme qu’ils écrivent sur votre compte ne leur coûte que la peine de l’écrire mais vous devez travailler dur pour leur donner le fruit de votre travail. Et cette monnaie que vous leur rendez, qui symbolise des richesses économiques réelles produites, ils la détruisent, ce qui fait qu’on ne voit plus en circulation que la monnaie prêtée et que si tout le monde voulait rembourser ses dettes, non seulement il n’y aurait plus de monnaie en circulation mais il en manquerait car l’argent des intérêts n’a pas été créé. C’est comme si quelqu’un qui vous avait prêté un instrument pour mesurer une longueur, un poids, un volume, vous demande de lui rendre ce que vous avez mesuré avec.

_Si l’on compare à juste titre la monnaie qui irrigue le tissu social au sang d’un organisme, c’est comme si vous demandiez à un médecin ou à un laboratoire pharmaceutique de créer votre sang: vous seriez complètement dépendant de lui pour vivre. Et si, en plus, il vous dit qu’il ne vous donne pas ce sang mais qu’il le prête et que vous devez lui en rendre plus que ce qu’il vous a prêté, vous êtes morts. Comme il ne veut pas vous tuer complètement, il vous demande d’en rendre seulement une partie mais vous êtes devenu son esclave.

_Comme toute la monnaie du système économique est créée de cette façon, si on accepte leur raisonnement, plus rien de ce que nous croyons posséder ne nous appartient puisque l’argent que l’on nous donne pour ce que nous avons produit a forcément été emprunté par quelqu’un.

_Ce raisonnement est manifestement faux, le banquier n’ayant rien donné de réel, on ne lui doit rien, il y a bien une dette mais elle est envers l’état ou la société. Et si c’était l’état qui créait cette monnaie qui ne coûte rien, il serait plus simple de la donner à ceux qui produisent, elle aurait d’entrée une vraie valeur, et de ne pas la détruire. On pourrait encore emprunter pour acheter sa maison ou créer une entreprise, mais sans intérêt et la monnaie vide créée pour l’emprunt ne représenterait qu’une infime partie de la monnaie en circulation, disparaîtrait lors du remboursement, et ne mettrait pas en péril l’économie globale.

_On peut se demander pourquoi ceux qui dirigent les états autorisent des fonctionnements qui mettent l’économie du pays en péril, couvrent ce pays de fausses dettes au point qu’il finit par être en faillite et doit être obligé de se vendre. La réponse apparaît quand on comprend que ces gouvernants depuis Pompidou ne sont que des agents des banquiers, faussement élus car il est facile de manipuler l’opinion par des médias qui appartiennent déjà à l’oligarchie bancaire, qui ne sont là que pour finir de leur vendre le pays afin que le monde entier appartienne aux banquiers. Nous sommes en guerre, mais ce n’est pas une guerre entre peuples, c’est une guerre des banquiers et de leurs alliés contre les peuples.

_Comment résister dans cette guerre ? D’abord en en étant conscient puis en prenant notre destinée en mains en construisant des communautés de plus en plus indépendantes de leur argent.

Tout cela est développé plus en détail dans les chapitres suivants:

Sortir du système monétaire actuel pour créer une véritable démocratie

Jeu « échanges et monnaies »

C’est une réflexion sur la monnaie à travers un jeu nécessitant de faire des échanges pour satisfaire ses besoins, symbolisant ce qui se passe dans un état, rejoué avec les différents types d’échanges et de monnaie. Mieux qu’un long discours, il nous permet de mesurer l’arnaque de la monnaie actuelle qui n’est visible que lorsqu’on considère l’ensemble du système, et d’y voir clair dans les différentes monnaies alternatives proposées.

Mise en place : chacun a une enveloppe sur laquelle il écrit son prénom ou un pseudo dans laquelle il met toutes les lettres composant ce prénom.

On remet toutes les lettres dans un pot commun et chacun (sauf 3) retire au hasard le même nombre de lettres qu’il y a dans son prénom (en vérifiant qu’il n’y a pas toutes les lettres de son prénom, auquel cas il ne pourrait pas jouer à faire des échanges).

Il reste dans le pot les lettres des prénoms de ceux qui œuvrent pour la communauté : l’organisateur (politiques), l’aide (fonctionnaires) et l’éventuel banquier qui doivent être nourris par les autres, donc les autres se répartissent ces lettres et écrivent l’ensemble des lettres collectées sur leur enveloppe de façon à pouvoir reprendre les mêmes lettres à chaque jeu.

Le jeu consiste à faire des échanges de lettres avec les autres pour pouvoir reconstituer son prénom et écrire celui des 3 à leur service. La façon dont il est préparé fait que cela est théoriquement possible, nous supposons une communauté autosuffisante dans ses besoins essentiels, ce qui ne l’empêchera pas d’échanger avec d’autres communautés en troc.

Premier jeu : pas de monnaie, le groupe s’organise tout seul pour faire ses échanges. Les 3 notent le temps mis par chacun pour reconstituer son prénom.

Tout le monde y arrive dans un temps relativement court. Les échanges se font dans la bonne humeur et le troc est souvent abandonné au profit de petits groupes coopératifs qui mettent en commun leurs compétences.

Pourquoi introduire la monnaie : recherche d’une définition de la monnaie,

Tous les échanges ne nécessitent pas de passer par la monnaie : celle ci ne se justifie que pour des échanges non affectifs ou trop éloignés dans le temps et l’espace pour qu’on s’en souvienne. La monnaie se définie alors comme un moyen de mesurer la valeur des échanges de façon à conserver cette valeur dans le temps et l’espace pour que celui qui a donné à quelqu’un puisse avoir le droit de recevoir de lui (troc)ou de n’importe quelle personne du groupe (échange communautaire) pour la même valeur. Celui qui a commencé par recevoir doit rendre pour la même valeur (dette).

Beaucoup de choses peuvent servir à mesurer mais si je me sers de petits cailloux, ça ne va pas marcher : Une monnaie n’est fiable qu’à condition de remplir toutes les conditions d’une mesure : être étalonnée (tout le monde a la même unité et tout le monde peut en posséder une copie), ne pas être créée abusivement (fausse monnaie), avoir des valeurs de départ (lorsqu’on la crée ou la reçoit) et d’arrivée (valeur d’achat) identiques.

Fort de ces principes, on peut maintenant examiner les différentes sortes de monnaie en commençant par celle à laquelle nous sommes soumis : l’euro.

Deuxième jeu : la monnaie bancaire. Les échanges ne peuvent se faire qu’avec de la monnaie obtenue en empruntant au banquier ou en vendant une de ses lettres à quelqu’un qui a emprunté. Les 2 représentant l’état sont aussi obligés d’emprunter au banquier pour vivre en attendant d’être remboursés par les impôts.

Chacun ne peut se faire enregistrer que lorsqu’il a pu écrire son prénom, rembourser le banquier avec les intérêts et payer ses impôts.

Chaque lettre vaut 1€

Le banquier prête avec un intérêt 1€ pour un montant inférieur ou égal à 5€.

les impôts= nombre de lettres des 2 plus les intérêts dus au banquier divisé par le nombre de participants moins 3 arrondi à un nombre entier supérieur.

L’état achète ses lettres et paye le fonctionnaire avec l’argent emprunté puis rembourse à la fin les intérêts avec le solde s’il peut.

Le banquier achète ses lettres avec de l’argent qu’il se prête sans intérêt et saisi les lettres de ceux qui ne peuvent pas rembourser.

On arrête le jeu quand ça se bloque, certains réussissent mais d’autres pas.

On écrit pour chacun le temps mis pour réussir, l’argent qui lui reste, ou sinon ses dettes (y compris pour l’état et le banquier).

C’est beaucoup moins convivial, il peut même y avoir des disputes, certains essayent de tricher en faisant du troc sans monnaie. Très peu arrivent à tout faire, essentiellement ceux qui ont attendu que les autres empruntent pour leur vendre leurs lettres. Le plus endetté est l’état qui ne recueille pas assez d’impôts pour payer le banquier avec les intérêts. Le grand gagnant est le banquier.

Ce qui n’était pas évident à comprendre en tant qu’utilisateur de l’euro dans des échanges économiques apparaît lorsqu’on examine le fonctionnement global du système. Où se trouve le problème ?

C’est l’échange avec le banquier qui n’est pas équilibré et qui pervertit tout le système: le banquier donne une fausse monnaie qui ne représente rien, ni de l’or possédé, ni un travail de sa part car elle ne lui coûte quasiment rien à produire. Non content de produire de la fausse monnaie comme un faussaire ordinaire qui ne l’utilise qu’une fois, il demande qu’on la lui rembourse après qu’elle ait pris de la valeur dans le circuit économique, si bien que toute la monnaie qui reste en circulation apparaît comptablement comme une dette envers le banquier ; c’est l’origine de notre dette abyssale qui n’est qu’un jeu d’écriture. Si on voulait la rembourser, non seulement il n’y aurait plus de monnaie en circulation mais il en manquerait car l’argent des intérêts n’a pas été créé, ce qui oblige à emprunter de nouveau au banquier pour payer les intérêts : voilà pourquoi le système ne peut donner l’illusion de fonctionner que dans une espèce de fuite en avant qui oblige à une croissance permanente.

Pour comprendre comment on en est arrivé là, voir ttps://democratie-sociale.fr/2023/le-pouvoihr-occulte-de-la-creation-monetaire/

Lorsqu’on a compris comme M. Amschel Mayer Bauer, le fondateur de la dynastie Rothschild, que celui qui crée la monnaie d’un pays est le véritable souverain de ce pays, on a compris que si nous voulons vivre en démocratie, il n’y a qu’une seule solution : donner la création monétaire au peuple.

Voir : https://democratie-sociale.fr/2023/donner-le-pouvoir-monetaire-au-peuple-avec-une-monnaie-communautaire/

Troisième jeu : la monnaie communautaire. Nous sommes tous copropriétaires de la banque centrale, le banquier est un fonctionnaire qui fait ce qu’on lui demande et nous essayons de créer une monnaie qui corresponde à des échanges réels et réponde à tous les critères de fiabilité :

_Être étalonnée, par exemple sur la valeur du temps de travail quand on donne et sur un panel d’articles de première nécessité quand on reçoit.

_Être certifiée pour être sûr qu’il n’y ait pas de faux monnayeurs. Qui est mieux placé pour certifier la valeur d’un échange que l’acheteur qui sera débité de la même somme ?

_Représenter la valeur d’un échange même au moment de sa création : on peut ainsi payer par création monétaire ceux qui travaillent pour la communauté ; l’échange est entre leur travail et celui que la communauté va faire pour les nourrir.

On démarre donc le jeu en donnant la monnaie nécessaire aux 3 qui travaillent pour la communauté qui vont alimenter les autres en monnaie en achetant leurs lettres. On pourrait rajouter la distribution de 1 bon d’achat à chacun au départ pour éviter les soldes négatifs impossibles à matérialiser.

On note le temps mis par chacun pour réussir, sensiblement le même qu’au premier jeu. Tous réussissent facilement.

Point sur les autres monnaies alternatives :

_Les mondialistes vont proposer la monnaie numérique souveraine qui nous mettra définitivement en esclavage puisqu’ils la créeront et la distribueront à leur guise, pouvant la rendre fondante (à utiliser avant une date donnée) ou valable seulement sur certains articles ou sur certains espaces ou la supprimeront pour les opposants politiques.

_Les états patriotes qui s’opposent aux mondialistes proposent de revenir à la monnaie or battue par les états: cela fera des états souverains qui pourront créer de la monnaie autrement que par la dette mais de façon limitée par leurs réserves d’Or et ils ne seront pas forcément démocratiques : on revient à la monnaie Or des rois, symbolique cette fois, avec toujours la tentation de créer plus de monnaie qu’on a d’Or, ce qui dévalue la monnaie, et tous les bénéfices de création monétaire de la monnaie communautaire ne seront pas possibles. Comme du temps des rois, la finance pourra continuer à prospérer et prendra le pas sur les états un jour ou l’autre..

_D’autres parlent des cryptomonnaies pour s’affranchir des banques. Elles permettent effectivement pour l’instant de s’affranchir des banques, elles certifient les échanges, mais elles ont l’inconvénient d’être uniquement numériques et ne sont pas adaptées pour gérer un pays : ce sont des monnaies souveraines dont le souverain est un logiciel (programmé par qui et comment?) qui distribue de la monnaie de façon aléatoire pour le bitcoin et régulièrement pour tout le monde pareil avec la June : on perd le sens de la monnaie qui est faite pour symboliser ce qui se passe dans un échange et n’est pas une simple distribution aveugle de bons d’achat. Comment sont rémunérés ceux qui travaillent pour la collectivité ? Pourquoi rémunérer tout le monde pareil alors que les besoins en monnaie sont liés aux besoins d’échanges et ne sont pas les mêmes pour tous ? (quelqu’un qui vit presque en autarcie n’a pas les mêmes besoins d’échange que celui qui a un travail très spécialisé et dépend beaucoup des autres pour satisfaire ses besoins). De plus, elles ne sont pas étalonnées donc très spéculatives.

On peut faire un quatrième jeu avec la June qui semble tenter certains selistes : Quatrième jeu : la June. Le banquier est maintenant un logiciel qui distribue 1 bon d’achat à chacun toutes les 5 minutes. On note le temps mis par chacun. Les grands perdants sont l’état et les fonctionnaires qui doivent attendre une éternité avant d’être payés. La june n’est pas adaptée pour faire fonctionner une nation.

_Les monnaie locales: elles sont adossées à l’euro et ne font que le dupliquer, donc ne sont pas différentes. Leur seul intérêt est de renforcer l’identité locale, d’inciter à consommer localement, et d’être sûr que cet argent là ne sera pas utilisé par la finance.

Aucune de ces monnaies n’a toutes les propriétés d’une véritable monnaie communautaire telle que nous l’avons définie : on ne la retrouve que dans les SEL (Systèmes d’Echange Locaux) qui constituent une excellente expérimentation prouvant que tout ce qui a été dit précédemment n’est pas utopique et fonctionne. (Rien n’empêche de donner aussi à la monnaie des SEL la forme de pièces et billets). Cela fonctionne d’autant mieux que la communauté est large et contient des compétences complémentaires permettant de subvenir aux besoins essentiels, elle serait parfaite comme monnaie nationale, c’est pourquoi les banquiers au pouvoir ne la tolèrent que sous forme réduite et locale. Mais si nous élargissons les échanges entre nous, nous serions en train de construire un monde de demain qui serait une véritable démocratie.

Dernière partie : imaginons ce que serait la vie en France par exemple avec une monnaie communautaire :

Rien ne change en apparence dans l’utilisation de la monnaie, nous pouvons toujours payer par carte bleue ou en espèces mais tous nos comptes sont désormais sur la banque centrale, seule autorisée à créer la monnaie.

La monnaie est crée à chaque échange sur le compte du vendeur et détruite sur celle de l’acheteur (c’est ce qui se passe actuellement sur nos comptes mais on nous fait croire que c’est quelque chose qui passe de l’un à l’autre).

Mais il y a en plus le cas particulier de ceux qui travaillent pour la collectivité : l’échange est alors entre leur travail et celui de la communauté qui va les nourrir, donc de la monnaie est créée pour eux et reviendra à ceux qui vont les nourrir.

Pour le même résultat qu’auparavant, nous avons besoin de travailler 2 fois moins puisque ceux qui travaillent pour la collectivité et les grands services publics sont payés par création monétaire ; les impôts, retenues diverses et TVA qui plombent la moitié de nos salaires ne sont plus nécessaires.

Le budget, préparé en commissions, est voté ligne par ligne au niveau national. C’est le peuple qui détermine le salaire des politiques et décide des projets qu’il veut entreprendre sans s’occuper de savoir s’ils sont rentables ou non.

Les banquiers ne peuvent plus prêter que l’argent qu’ils possèdent vraiment. Tout le système financier s’est écroulé. Le droit de propriété est ramené à la propriété d’usage.

On peut même décider d’un revenu inconditionnel de base par création monétaire, cadeau de la société à ceux qui pour des raisons diverses ont du mal à produire.

Ce système économique démocratique devrait alors aller de pair avec des institutions réellement démocratiques : nouvelle constitution permettant au peuple de voter les lois directement sans déléguer à des « représentants », une justice rendue par le peuple avec des jurys et un conseil constitutionnel tirés au sort, …..

Cette monnaie ne pourrait pas s’installer brutalement d’un seul coup, il faudrait que dans un premier temps elle soit seulement complémentaire et réservée aux échanges entre français. C’est seulement les échanges faits avec cette monnaie non convertible qui seraient exonérés de taxes et d’impôts, ce qui encouragerait à l’utiliser et permettrait de réindustrialiser rapidement la France.

Les incroyables vertus d’une monnaie simple mesure d’une richesse réelle vendue

Nous avons vu dans le chapitre précédent qu’il ne peut exister que 4 sortes de monnaies fiables, et, qu’à côté des monnaies troc auxquelles nous sommes conditionnés qui mesurent ou sont censées mesurer des richesses possédées au moment de leur création, il y a des possibilités de monnaies dont la valeur propre n’a aucune importance mais qui mesurent exactement la valeur des richesses que nous vendons. Ce genre de monnaie ne coûte presque rien à créer, on peut la produire sans s’endetter sous la forme écrite ou matérielle (pièces et billets) et elle peut donc être donnée, et non prêtée, à ceux qui le méritent, c’est à dire ceux qui ont vendu une richesse réelle ( bien possédé, service, transmission de savoir ou de savoir faire, tout ce qui représente un travail, un temps consacré aux autres) ou ceux qui ont besoin d’être aidés.

C’est ce que nous faisons pour les autres mesures : quand nous mesurons une longueur par exemple, nous avons notre propre mètre et si nous avons besoin d’en emprunter un, celui qui nous le prête ne nous demandera pas de lui donner l’équivalent de ce que nous avons mesuré. Si nous voulons nous en souvenir, nous écrivons nous mêmes notre mesure et si cette mesure intervient dans un échange, il est important que cette mesure soit certifiée, que nous utilisions un mètre de même longueur que le mètre étalon et que nous écrivions la bonne mesure vérifiée par l’acheteur. Idem pour le commerçant qui pèse un légume au marché : la justesse de la balance est régulièrement contrôlée et l’acheteur peut vérifier que le poids écrit sur le ticket est le même que celui qu’il a vu sur la balance.

Pourquoi n’en serait-il pas de même pour mesurer la valeur de ce que nous échangeons ? Il faut définir un étalon, par exemple le prix d’un article de première nécessité, (par exemple le prix du pain en France), ou d’un panel d’article de première nécessité, (celui de l’indice des prix avant qu’il ne soit truqué), ou le prix d’une heure de travail. Il faut que ce prix soit agréé par les 2 protagonistes de l’échange et que la quantité de monnaie créée soit certifiée par l’acheteur qui n’aura pas intérêt à mentir vu que cette même quantité de monnaie sera détruite sur son compte.

C’est exactement ce que nous faisons dans le système économique actuel : quand nous payons par carte bleue, il n’y a pas passage de richesse réelle d’un compte sur l’autre mais création de monnaie sur le compte du vendeur et destruction de monnaie sur le compte de l’acheteur. Nous utilisons en fait une monnaie sans valeur propre mais dont on nous fait croire qu’elle en a. Il n’y a pas besoin de banquiers pour faire cela, un simple logiciel est à l’œuvre et peut le faire gratuitement si nos comptes sont sur une banque d’état.

La création initiale d’argent va se faire pour ceux qui travaillent pour la collectivité, qui  méritent que leur travail soit mesuré, et la collectivité donnera en échange ce qu’il faut pour satisfaire leurs besoins, comme cela se passerait s’il n’y avait pas d’argent. Donc en réalité, il n’y a pas besoin de taxes et d’impôts pour payer leur travail. Dans le système actuel, les impôts et taxes diverses servent à acheter aux banquiers l’argent nécessaire pour les payer (et non seulement nous l’achetons mais il n’est pas à nous). (j’ai mis beaucoup de temps à accepter ces idées tant il me semblait naturel de payer des impôts pour payer ceux qui travaillaient pour nous, mais elles deviennent logiques si on raisonne d’abord sur les échanges en jeu avant de raisonner sur la monnaie: en travaillant pour les payer, on travaille 2 fois trop: une fois pour gagner l’argent qu’on leur donne, une deuxième fois pour les nourrir avec l’argent qu’on leur a donné).

Avec cette monnaie créée par l’état, nous aurions besoin de travailler 2 fois moins pour les mêmes bénéfices et ne serions pas obligés d’être dans une croissance permanente pour rembourser les banquiers. L’état ne pourrait pas être en dette interne, les seules dettes possibles seraient envers des pays étrangers si les balances commerciales ne sont pas équilibrées. L’état serait souverain et il n’y aurait plus de problèmes pour financer les services publics et tous les projets que l’état déciderait, il suffirait d’avoir la main d’œuvre pour les faire.

Ensuite il faudra décider qui dirige la banque centrale d’état : un gouvernement autoritaire pourra orienter l’économie dans le sens qu’il veut, comme l’a fait Hitler.

Pour qu’il y ait vraiment démocratie, pour que ce soit le peuple qui soit souverain,  il faut que ce soit le peuple qui contrôle la Banque Centrale, autrement dit que le budget de l’état, préparé bien sûr par des commissions réunissant les différents intéressés, soit voté ligne par ligne au niveau national. Ce qui était impossible autrefois l’est désormais avec internet.

C’est ainsi que les politiques ne pourraient pas vivre dans un monde à part en se votant eux mêmes des augmentations de salaire et que le peuple déciderait lui-même dans quels projets il veut se lancer.

Bien sur, tout cela n’est possible que dans un pays capable de subvenir en interne aux besoins importants de sa population, cette monnaie ne pourra être que complémentaire dans un premier temps mais elle permettra une réindustrialisation très rapide en allégeant considérablement les charges des entreprises.

Cette monnaie interne n’empêche pas de commercer avec les autres états mais cette fois sur le principe du troc en essayant à chaque fois d’équilibrer les balances commerciales comme cela se faisait autrefois et comme cela a voulu se faire après la dernière guerre avec les accords de La Havane signés par 53 états. Ces accords ont capoté à cause des Etats Unis qui ont imposé le « libre échange » et le dollar comme monnaie mondiale, ce qui leur permet d’être de fait les souverains de ces états (plus exactement ce n’est pas l’état américain qui est souverain mais les propriétaires de la « Réserve Fédérale » qui sont des banquiers privés). Le taux de change entre les monnaies de 2 pays doit être déterminé politiquement en fonction par exemple du revenu minimum vital ou du salaire médian de chaque pays et non pas décidé par les financiers. Une monnaie internationale du même type serait possible à condition qu’elle soit différente de celle des états membres, étalonnée sur la valeur moyenne des revenus minimum vitaux de chaque état membre, avec une banque centrale mondiale gérée par l’ensemble des états membres. Prendre comme monnaie internationale la monnaie d’un seul pays donne à ce pays un pouvoir dominateur sur les autres pays, comme cela a été fait avec le dollar (et quand ce sont des banquiers privés qui le créent, on comprend pourquoi leur banque mondiale actuelle privée, la Banque des Règlements Internationaux, leur donne un pouvoir sur le monde entier).

Une telle monnaie rend l’état souverain et il faut donc que la façon dont elle est créée soit mis dans la constitution. Si nous voulons aller plus loin et rendre l’état également démocratique, il faut aussi que la constitution permette au peuple de contrôler les autres pouvoirs. 

 

L’escroquerie du système monétaire actuel

Il nous semble évident qu’il faut des banquiers pour nous fournir l’argent dont nous avons besoin, que cet argent correspond certainement à de l’or qu’ils ont en réserve ou à de l‘argent déposé par les clients, donc qu’il est normal qu’ils nous le prêtent et que nous le remboursions avec des intérêts pour payer leur travail et le risque qu’ils prennent si nous faisons défaut. Il nous semble également évident que tout l’argent d’un pays est créé par sa banque centrale contrôlée par l’état.

Et bien non ! Les banques centrales de la plupart des états sont des banques privées indépendantes, telles la Réserve Fédérale aux USA ou la BCE en Europe. Elles n’ont aucune limite pour créer tout l’argent qu’elles veulent, cet argent n’est ni adossé à l’or, ni à aucune richesse réelle, il ne leur coûte que le prix d’impression des billets ou le temps passé à l’écrire sur un ordinateur, et elles le prêtent ou donnent à qui elles veulent : la BCE par exemple, création de l’UE, elle même création des banquiers cachés dans l’état américain, est interdite de prêter ou donner de l’argent aux états et le prête ou donne aux banques qui prêtent ensuite aux états avec des intérêts variables en fonction de la confiance que leur font les financiers : c’est ainsi que plus un état est fragile, plus les intérêts sont élevés, ce qui aggrave sa situation : c’est ainsi que la Grèce a été coulée et obligée de vendre son patrimoine pour payer ses emprunts. Et la Grèce n’est pas un cas exceptionnel, nous serons tous confrontés un jour ou l’autre au même dilemme.

Mais il n’y a pas que la Banque Centrale qui peut créer de l’argent, curieusement c’est même elle qui en crée le moins, toutes les banques ordinaires peuvent en créer aussi par le système des réserves fractionnaires et elles ne sont limitées que par la quantité de monnaie de Banque Centrale qu’elles possèdent (entre 8 et 1 pour cent) et le nombre de leurs déposants. Lorsque vous faites un emprunt pour acheter par exemple une maison, le banquier crée de toutes pièces, « ex nihilo » la somme qu’il écrit sur votre compte. Pour que l’escroquerie ne se voit pas, car c’est bien une escroquerie, il tient un livre de comptes avec 2 colonnes, les actifs et les passifs : dans le passif il y a l’argent qu’il a écrit, qu’il ne vous a pas vraiment donné, donc qu’il vous doit. Dans les actifs, il y a votre promesse de remboursement avec les intérêts  (cet actif peut d’ailleurs être mis ensuite en vente sur les marchés boursiers et ne plus lui appartenir). Au fur et à mesure que vous remboursez, il détruit cet argent dans ses actifs, mais il diminue aussi l’argent qu’il vous doit et quand vous avez tout remboursé, il a complètement détruit tout l’argent que vous lui avez donné en ne gardant que les intérêts. Cela vous paraît honnête ?

Réfléchissez : où est l’arnaque ? ……………………………………………………………….

L’arnaque est que vous avez réellement payé votre maison avec votre travail mais lui ne vous a jamais rien donné pour honorer sa promesse de départ, il n’avait pas le droit de diminuer son passif au fur et à mesure que vous remboursiez. Son seul travail a été la tenue de vos comptes, c’est uniquement cela que vous lui devez en réalité ; il n’aurait donc sûrement pas le droit de s’accaparer votre maison si vous avez du mal à rembourser et c’est pourtant ce qu’il fera. Votre vraie dette était envers le vendeur et la société car vous avez mis en circulation sans le savoir de la fausse monnaie.

Comment en est-on arrivé là ? Comment l’état peut-il laisser faire cela ?

Il y a pire : tout l’argent en circulation dans la société étant créé de cette façon, tout l’argent que nous manipulons apparaît de façon comptable comme une dette envers les banquiers alors que l’argent qui correspond à notre travail est détruit quand nous remboursons. Notre dette abyssale est supérieure à notre PIB, soit au moins 3 fois supérieure à la masse monétaire en circulation puisque le PIB compte plusieurs fois la même monnaie. Mais cette dette n’est en grande partie qu’un jeu d’écriture puisqu’on ne voit circuler que la monnaie empruntée aux banquiers alors que la vraie monnaie, celle du banquier que nous rendons vraie en lui faisant correspondre des richesses réelles dans nos échanges économiques disparaît dans les écritures. C’est au niveau des comptes écrits que tout a été inversé. Et c’est au nom de cette dette fictive que nous devons vendre nos services publics.

Pire encore : l’argent correspondant aux intérêts n’ayant pas été créé, nous devons emprunter à nouveau pour payer les intérêts. Donc pour que le système continue de fonctionner en apparence, il est nécessaire que nous soyons en croissance permanente. Voilà pourquoi nos politiques attachent tellement d’importance à la croissance.

Si cela vous paraît abstrait, faites en petit groupes le jeu « échanges et monnaies » décrit en annexe qui nécessite de faire des échanges et est joué plusieurs fois dans différents systèmes monétaires. Ou alors, jouez au Monopoly avec les règles de notre système monétaire : au début du jeu, le banquier ne donne pas d’argent aux joueurs mais leur prête avec intérêts ; à chaque fois qu’un joueur passe par la case départ, il doit payer les intérêts s’il ne rembourse pas ; vous verrez alors quel est le gagnant systématique.

De plus, la majorité de cette fausse monnaie créée par les banques centrales est donnée aux banques ordinaires qui s’en servent pour spéculer, c’est à dire faire jouer la loi de l’offre et la demande pour faire monter artificiellement les prix des actifs sans avoir apporté de réelle plus-value. La bourse n’est qu’un système pour engranger d’énormes sommes de fausse monnaie sans rien produire (95 % de la (fausse) monnaie créée sert à la spéculation contre 5 % pour toute l’économie mondiale, ce qui veut dire que nous manquons cruellement d’argent pour nos échanges réels alors qu’une masse colossale d’argent navigue au dessus de nous pour acheter tout ce qu’ils veulent.Et avec toute cette fausse monnaie qui coule à flot en étant complètement déconnectée de l’économie réelle, ils se permettent d’acheter toutes les richesses économiques réelles, nos industries, nos médias, et de corrompre à peu près toute la classe politique et par voie de conséquences tout le fonctionnement de l’état.

Pour résumer, les banquiers ne se contentent pas de nous taxer pour leurs différents services et en prenant des intérêts sur les prêts, l’escroquerie est beaucoup plus énorme:

_Tout l’argent en circulation est censé leur appartenir, autrement dit l’argent que nous gagnons en travaillant ne nous appartient pas car celui que nous donne l’employeur a forcément été emprunté par quelqu’un.

_si nous ne remboursons pas nos fausses dettes, nous devons leur donner nos richesses réelles, indûment: nos terres, nos industries, tout notre travail et même notre personne ( les certificats de naissance, en France et aux USA, sont considérés comme des actifs bancaires permettant à l’état républicain, qui n’est qu’une société commerciale, d’emprunter pour une somme calculée comme étant ce que nous pouvons produire dans notre vie).

Et il est impossible de rembourser puisqu’une dette équivalente au PIB est très supérieure à la masse monétaire en circulation. Si nous essayons de le faire, nous nous appauvrissons inutilement.

_Avec la fausse monnaie créée pour la Bourse, ils se permettent d’acheter nos industries, nos services publics, nos politiques, corrompant ainsi toutes nos institutions. Ils jouent avec la valeur qu’ils donnent artificiellement à notre monnaie, pouvant la dévaluer à leur guise et provoquer des inflations brutales.

_Ils possèdent tous les principaux médias d’information , ce qui leur permet, en cachant des informations importantes, en mentant au besoin, de manipuler l’opinion publique en donnant une fausse vision de ce qui se joue dans le monde et de fausser les élections en mettant en valeur les candidats pré choisis tout en minorant les autres, brisant ainsi toute notion de démocratie. Ils  cachent aussi au public des avancées technologiques essentielles et les utilisent à leur profit.

_Ce sont eux qui décident de nos projets civilisationnels puisqu’aucune industrie ne peut se créer, aucun projet ne peut aboutir sans un emprunt préalable , et ils choisissent ceux qui leur permettent de mieux en mieux nous contrôler: ils financent les guerres, les fausses révolutions, tout ce qui permet de nous affaiblir et de nous diviser. C‘est ainsi aussi qu’ils orientent le «progrès» vers des choix qui semblent nous arranger au départ mais qui ont toujours un envers destructeur soit de notre biologie, soit de notre environnement, soit de notre identité.

Les grands banquiers et leurs alliés se sont organisés en secte dissimulée dans les derniers degrés de la Franc-maçonnerie et dirigent de fait la gestion de tout cet argent à travers la Banque des Règlements Internationaux. Ils ont acquis un énorme pouvoir sur presque tous les états du monde au point de pouvoir envisager d’être à la tête d’un gouvernement mondial. Tout le gratin de la finance et de la politique se réunit régulièrement à Davos lors du forum économique mondial pour décider d’un programme commun que le président Klaus Schwab a même publié dans un livre :

_Disparition de l’argent liquide, tout sera numérisé sous leur contrôle: ils sauront ainsi tout ce que nous faisons et nous tiendrons à leur merci : restrictions d’usage pour nous empêcher de nous déplacer par exemple, blocage du compte si nous n’obéissons pas comme cela s’est déjà fait au Canada et vient de se faire en Angleterre avec Nigel Farage.

_Numérisation de tout ce qui nous concerne, tous nos documents administratifs et même notre identité biologique seront rassemblés en un seul fichier.

_La gestion de tous ces fichiers sera faite par une intelligence artificielle. Ils pourront ainsi avoir le contrôle sur toute la population mondiale ( qu’ils essayent aussi de réduire car avec l’apparition des robots, ils auront de moins en moins besoin de main d’œuvre)

Toute cette gestion numérique pourrait apparaître comme un progrès si elle était faite dans l’intérêt des peuples. Mais la secte qui la dirige s’est ouvertement dévouée à Satan et poursuit une lutte idéologique contre la chrétienté en cherchant à inverser toutes les valeurs chrétiennes, faisant apparaître le mal pour un bien et le bien pour un mal, se nourrissant de guerres et de destructions et de la peur qu’elles engendrent (ils sont à l’origine de toutes les guerres depuis un siècle). La numérisation à venir de la monnaie leur donnera un pouvoir encore plus grand car ils pourront contrôler tous nos échanges et faire de nous de véritables esclaves.

Pour comprendre comment ce système absurde qui donne tout pouvoir aux banquiers sur les états a pu se mettre en place, il convient de faire un peu d’histoire et de remonter au moins 2000 ans en arrière, au temps où la monnaie était de l’OR.

Histoire de la création monétaire

Définition d’une démocratie

Étymologiquement, « démocratie » vient du grec (démos-Kratos) et veut dire « gouvernement du peuple » ou, comme l’a affirmé Lincoln : « gouvernement du peuple, pour le peuple, par le peuple »

Il est évident que cette formule ne peut pas s’appliquer littéralement : le peuple n’est pas un, il est constitué d’individus aux préoccupations et intérêts multiples, et il est surtout nombreux. Une démocratie directe n’a pu s’exercer partiellement dans la Grèce antique qu’avec un nombre réduit de « citoyens »(les femmes et les esclaves ne faisant pas partie des citoyens). Etant donné la taille de nos états nations, il n’était pas possible jusqu’à présent de faire voter toutes les lois par tout le monde, ce qu’on appelle des « démocraties représentatives » sont très loin de la définition d’une démocratie, mais les moyens modernes de communication pourraient maintenant permettre de nous en rapprocher.

Sachant que tout le monde ne peut pas se réunir pour tout voter, qu’il y a forcément besoin d’une organisation sociale avec des gens compétents pour des postes dont tous ne sont pas capables, il y aura donc des postes que le peuple ne pourra pas investir. Mais le peuple est capable de sentir si ces organisateurs travaillent dans son intérêt et en tenant compte de son avis ou pas ; il faut donc qu’il ait le pouvoir de les choisir, de les mandater et de les révoquer.

Ce qui se rapprocherait le plus de la définition d’une démocratie serait donc une organisation sociale où tous ceux en position de responsabilité et de pouvoir par rapport aux autres puissent être choisis, mandatés et révocables par ceux sur qui ce pouvoir s’exerce.

Nous verrons en fin d’ouvrage comment il serait possible de construire une telle démocratie mais auparavant il est important d’analyser les forces qui pourraient nous en empêcher.

Le système républicain n’est pas une démocratie

Charte des irréductibles gaulois

Nous sommes les héritiers d’un peuple libre et courageux, respectant la nature, respectant les femmes, méprisant l’argent, opposé au système esclavagiste de l’empire romain.

En conséquence, nous nous opposons au système esclavagiste que des banquiers pervers mettent progressivement en place à travers un système républicain faussement démocratique et adoptons dans notre groupe une organisation réellement démocratique.

Nous sommes des êtres libres et égaux en droit. Notre droit civil repose sur des principes moraux: ne pas tuer ou nuire à autrui, ne pas violer cad pénétrer dans l’espace intime d’une personne sans son consentement en profitant d’une supériorité physique ou d’une position d’autorité, rechercher la vérité sans dissimuler ses intentions.

Nous respectons le vivant sous toutes ses formes et n’intervenons qu’en évitant de modifier les équilibres naturels.

Nous respectons la liberté d’expression mais la liberté d’expression n’est pas la liberté de parole : les paroles mensongères ou manipulatrices visant à nuire à autrui sont interdites.

Nous n’obéissons qu’aux lois qui respectent ces principes. Aucune loi ne peut nous soumettre à autrui sans notre consentement libre et éclairé. Aucune entité juridique ne peut avoir des droits équivalents aux êtres humains. Aucune loi ne peut nous amputer d’une partie ou de toute notre liberté s’il n’a pas été clairement prouvé que cette liberté est dangereuse pour autrui, ou pour le groupe, ou pour ce qui permet la vie sur terre ».

Le sentiment de justice étant inhérent à la nature humaine, c’est le groupe entier ou un jury tiré au sort qui règle les éventuels conflits et rend la justice.

Ceux placés en position d’autorité ne le sont que pour une tâche particulière, et sont élus, mandatés et révocables par ceux sur qui ce pouvoir s’exerce.

Notre organisation économique est aussi démocratique: nous refusons autant que possible la fausse monnaie des banquiers qu’on nous impose et mesurons nous mêmes la valeur de nos échanges en dehors de toute spéculation.

Notre système républicain actuel n’ayant plus de constitution puisque celle de 1958 a été violée à plusieurs reprises, cette charte la remplace et s’impose à toute constitution future.

Définition de la monnaie et son rôle dans l’organisation des échanges

 

L’humanité n’a pas toujours eu besoin de monnaie mais a toujours eu besoin de faire des échanges:

Les humains sont des êtres sociaux qui ont très rapidement compris l’intérêt de vivre en groupe communautaire : le groupe apporte sécurité par rapport aux dangers extérieurs et permet la répartition des tâches grâce à des échanges coopératifs.

Les petits groupes, tels les tribus n’ont pas besoin de monnaie car tout le monde se connaît et peut voir la façon dont chacun participe à la vie du groupe.

L’apparition de la monnaie, scripturale ou matérielle, pour mesurer la valeur de certains échanges ne s’est faite que dans des groupes plus importants. La première monnaie dont on ait la trace est une écriture sumérienne dans un bloc d’argile comptabilisant la quantité et la valeur du blé fourni. Les pièces de métal sont apparues plus tard.

Dans les 2 cas, la monnaie permet de se souvenir d’un échange, pour un troc différé dans le temps par exemple, mais elle permet surtout de dépasser le troc en mutualisant les échanges: on peut donner à un membre du groupe et recevoir d’un autre. Les échanges sont aussi bien matériels qu’immatériels (transmission de savoir ou de savoir faire) et ce qui peut être échangé avec de la monnaie dépend des conventions sociales (il fut un temps où on pouvait acheter des femmes ou des esclaves). D’autres échanges importants ne sont pas monnayables, les échanges affectifs en particulier.

La monnaie, du point de vue des échanges économiques, peut donc se définir de la façon suivante:

La monnaie est une convention sociale qui permet de mesurer, de façon scripturale ou matérielle, la valeur de certains échanges, de façon à conserver cette valeur dans le temps et l’espace pour que celui qui a donné à quelqu’un puisse avoir le droit de recevoir de lui (troc)ou de n’importe quelle personne du groupe (échange communautaire) pour la même valeur. Celui qui a commencé par recevoir doit rendre pour la même valeur (dette).

Donc la monnaie est avant tout un instrument de mesure , mais, si c’est un instrument de mesure, comme tout instrument de mesure, elle doit obéir à certaines règles pour être fiable:

_être étalonnée: un étalon est une unité officielle dont tout le monde peut posséder une copie pour faire sa mesure (c’est le mètre pour les longueurs, le kilo pour les poids, le mètre cube ou le litre pour les volumes,…..).

_sa création doit être certifiée: il faut être certain que celui qui écrit la mesure n’a pas triché (les mètres, balances, pompes à essence, sont régulièrement vérifiés par un organisme d’état).

_elle doit conserver sa valeur dans le temps et l’espace (sur plusieurs années et d’un bout du pays à l’autre). Lorsqu’on parle de la valeur d’une monnaie, il faut savoir de quelle valeur on parle car une monnaie a toujours 3 valeurs : la valeur propre (la valeur qu’elle a quand on ne s’en sert pas comme monnaie), la valeur qu’elle a ou qu’elle symbolise au moment où on la crée ou on la reçoit (celle de la richesse réelle qu’on vient de vendre) et la valeur que les autres lui accordent lorsqu’on veut acheter (qui devrait être la même mais peut être différente s’il y a inflation, voire nulle si les autres n’ont pas confiance ou, au contraire bien plus importante que la valeur de départ dans le cas par exemple d’une fausse monnaie). Pour qu’une monnaie permette des échanges équilibrés, il faut que les 2 dernières valeurs soient identiques. La valeur propre de la monnaie n’a pas d’importance dans une monnaie mesure mais doit être aussi importante que la richesse échangée dans une monnaie-troc si on veut que le troc soit fiable.

Nous entendons par fausse monnaie une monnaie dont la valeur de création est très inférieure à la valeur du pouvoir d‘achat. Attention aux mots qui empêchent de penser : les économistes appellent monnaie fiduciaire (de confiance) la monnaie de banque centrale et fausse monnaie la monnaie qui imite la monnaie de banque centrale ; de telles définitions empêchent de penser qu’il puisse y avoir de la fausse monnaie de banque centrale, or nous verrons que c’est pourtant le cas. Cette fausse monnaie là est indétectable pour les utilisateurs tout en rapportant énormément aux faussaires et ne s’appréhende que si on connaît les modalités de création et le fonctionnement global du système monétaire.

Curieusement, on ne trouve aucune définition de la monnaie dans les traités d’économie ou dans wikipédia. On trouve seulement des propriétés: la monnaie est une unité de compte, une réserve de valeur, un intermédiaire des échanges. Ce sont bien des propriétés d’une mesure de valeur correspondant à la définition précédente, mais pourquoi éviter de dire que c’est une mesure? parce qu’on pourrait se demander alors pourquoi elle n’obéit pas aux mêmes règles de fiabilité que les autres mesures? pour pouvoir conserver ensemble les propriétés de 2 sortes de monnaie différentes et contradictoires?

De la même façon, les économistes et les financiers ne définissent la valeur de la monnaie que par son pouvoir d’achat sans jamais s’occuper de la valeur de création alors que d’après la définition, si on veut que les échanges soient équilibrés, les 2 valeurs doivent être identiques; là encore, cela leur évite de voir que la monnaie des banquiers est une fausse monnaie.

Suivant l’importance de la valeur propre d’une monnaie, il ne peut donc exister que 2 sortes de monnaie fiable: 

_celles dont la valeur propre est aussi importante que la richesse réelle échangée, comme l’était la monnaie Or à ses débuts, qui oblige à faire un double troc pour échanger.

_ et celles dont la valeur propre est différente et sans importance mais qui mesurent exactement la valeur d’une richesse échangée., aussi bien au moment de sa création ou de son obtention qu’au moment de son utilisation.

_La monnaie qui a une valeur propre égale à la richesse vendue ne permet en réalité que de faire du troc et il faut 2 trocs pour pouvoir faire un échange : richesse vendue contre monnaie-richesse puis monnaie-richesse contre richesse achetée. Cette monnaie a existé dans les communautés paysannes (un animal ou un aliment que tout le monde possédait pouvait servir de monnaie d’échange), mais aussi chez les marchands internationaux qui utilisaient l’or comme monnaie internationale d’échange, puis chez les souverains qui ont utilisé l’or ou divers métaux précieux comme monnaie nationale ( à noter que l’or n’est pas un étalon de mesure, contrairement à ce qui est dit, car il n’en possède pas les propriétés: il n’est pas reproductible et tout le monde ne peut pas en posséder une copie. C’est un équivalent monétaire sous sa forme matérielle, et celui qui permet de créer la monnaie sous sa forme papier-titre de propriété. Le véritable souverain dans ce cas est le métal précieux et n’importe qui qui en possède est l’égal du souverain. C’est donc une espèce de dieu créateur et il n’est pas étonnant qu’on en ait fait une religion. Celui qui peut créer de la monnaie papier parce qu’il possède de l’Or est le grand prêtre du dieu Or, c’est le banquier). 

 Ces monnaies en métaux précieux ont la particularité de ne pas être possédées par tout le monde et mettent automatiquement ceux qui n’en possèdent pas  (le peuple) sous la domination de ceux qui en ont : elles obligent ceux qui n’en ont pas à travailler d’abord pour les possesseurs-créateurs de monnaie avant de pouvoir échanger entre eux: nous pourrions les appeler » monnaies troc souveraines » car nous pouvons donc ajouter à la définition de la monnaie un théorème fondamental que le fondateur de la dynastie Rothschild avait bien compris: celui qui crée la monnaie d’un état est le véritable souverain de cet état. Elles ont été utilisées correctement au début par les souverains qui les distribuaient vraiment en échange de services rendus à l’état puis frauduleusement par les banquiers (la monnaie or symbolique sous forme de billets ne peut plus être considérée comme une monnaie fiable à partir du moment où les banquiers ont émis plus de billets qu’ils n’avaient d’or, autrement dit dès le début). Cette fraude non réprimée a permis aux banquiers d’accroître constamment la quantité d’or qu’ils possédaient et, à terme, de prendre la place des souverains: la révolution de 1789 en France n’est pas une révolution populaire mais un coup d’état de la bourgeoisie et des banquiers sur la royauté (un des premiers décrets de la nouvelle république a été de permettre le prêt avec intérêt contre lequel les rois avaient toujours lutté). Aux USA, elle a permis le développement du capitalisme et de la finance qui a remplacé sous une autre forme l’esclavagisme: ce sont ceux qui possèdent les capitaux (les banquiers et ceux à qui ils veulent bien prêter) qui décident des conditions de travail et du salaire du peuple.

A l’inverse, dans les sociétés paysannes, quand un petit animal que tout le monde possédait, comme la poule par exemple, ou une mesure de céréales servait de monnaie d’échange, nous avions une monnaie-troc communautaire car tout le monde pouvait la créer.                   

_La monnaie dont la valeur propre est sans importance mais qui symbolise précisément la valeur de la richesse vendue qui a permis sa création ou son obtention (une écriture, un coquillage, un billet, …). Nous pourrions l’appeler monnaie mesure. Elle aussi peut se présenter sous une forme matérialisée (pièces et billets dont la valeur propre est infime) ou scripturale (écrite ou numérisée). Cette monnaie doit répondre à tous les critères d’une mesure fiable. Cette monnaie doit être étalonnée et sa valeur ne doit pas pouvoir se modifier dans l’espace et le temps, ce qui exclue son utilisation dans la finance.

Pour chacune de ces monnaies, c’est le mode de création qui va déterminer si elle sera souveraine ou communautaire: si elle est crée par un seul individu, ou groupe d’individus, elle est souveraine car ce sont eux qui vont déterminer le droit des autres à faire des échanges. Elle est communautaire si c’est ceux qui échangent qui peuvent la créer.

Au total, il ne peut donc y avoir que 4 sortes de monnaies fiables possibles conformes à notre définition de la monnaie :

_La monnaie troc souveraine comme la monnaie Or des rois.

_La monnaie troc communautaire : poule que tout le monde possède , mesure de céréales, pour les sociétés paysannes.

_La monnaie mesure souveraine, comme celle de l’Egypte ancienne et des sumériens où un employé de l’état écrivait la mesure de ce que chaque travailleur faisait.

_la monnaie mesure communautaire où ce sont ceux qui échangent qui déterminent la valeur de l’échange et en écrivent la mesure .

Nous pouvons donc maintenant juger de la fiabilité des monnaies actuelles ou alternatives qui nous sont proposées:

Le système monétaire actuel ne remplit aucune des conditions de fiabilité, c’est à la fois une fausse monnaie-troc et une fausse monnaie-mesure tout en prétendant être les 2 à la fois:

_ il n’y a pas d’étalon, ce qui permet une variation des prix propice au développement de la finance.

_  il n’y a aucune certification, ce qui permet aux banquiers de faire de la fausse monnaie.

_ la valeur de création est quasiment nulle et la valeur d’achat fixée par la finance.

De plus, il place frauduleusement les banquiers en position de souverains. Ce système est en train de s’effondrer car il n’est pas viable, il pompe l’économie vers la finance et il y a un moment où ce n’est plus possible. Si l’on compare le système monétaire qui irrigue les échanges au sein d’une société au sang d’un organisme, demander à un banquier de produire notre monnaie, c’est comme demander à un médecin de produire notre sang: et ce médecin nous demanderait de lui rendre le sang prêté, pas tout pour ne pas nous tuer complètement, mais suffisamment pour qu’on soit obligé de lui en demander encore, et si nous ne lui obéissons pas dans ce qu’il nous demande, il arrête de nous en fournir, nous sommes devenus son esclave, c’est ce que nous subissons aujourd’hui.

Les mondialistes vont proposer la monnaie numérique souveraine possédant les mêmes caractéristiques, la possibilité des espèces en moins, ce qui nous mettra définitivement en esclavage puisqu’ils la créeront et la distribueront à leur guise, pouvant la rendre fondante (à utiliser avant une date donnée) ou valable seulement sur certains articles,  ou sur certains espaces pour limiter nos déplacements, et ils pourront même supprimer les comptes des opposants politiques pour leur ôter toute vie sociale (cela a déjà commencé: Nigel Farage, un opposant politique anglais, s’est vu supprimer son compte en banque car « ses valeurs ne correspondaient pas à celles de sa banque »; il peut encore changer de banque mais que faire quand il n’y aura plus qu’une seule banque mondiale dirigée par les Rothschild?).

Les états patriotes qui s’opposent aux mondialistes proposent de revenir à la monnaie Or battue par les états: cela fera des états souverains qui pourront créer de la monnaie autrement que par la dette mais:

_de façon limitée par leurs réserves d’Or: pourquoi être obligé de passer par l’Or, ce qui oblige à devoir acheter de l’Or avant de pouvoir échanger en interne? Pourquoi un état qui ne possède pas d’Or ne pourrait-il pas créer de monnaie pour ses échanges internes?

_ces états ne seront pas forcément démocratiques : on revient à la monnaie Or des rois, symbolique cette fois, qui place ceux qui dirigent l’état en position de souverains. Tout dépend alors de la façon dont ces souverains dépendent du peuple, donc tout dépend de la constitution du pays. De plus, il y aura toujours la tentation de créer plus de monnaie qu’il n’y aura d’or en réserve, ce qui rend la monnaie non fiable.

 La « théorie moderne de la monnaie » semble découvrir qu’un état qui crée sa monnaie ne peut pas être en dette mais elle n’utilise cette propriété que partiellement, en gardant par ailleurs l’ambiguïté sur la définition de la monnaie qui permet de conserver le système financier alors qu’il devient inutile. 

D’autres parlent des cryptomonnaies pour s’affranchir des banques car les échanges sont certifiés par les blockchains et cryptés pour les rendre anonymes. Mais, d’après Snowden, elles ne donnent que l’illusion d’échapper aux banques: les créateurs de ces cryptomonnaies subissent de telle pressions qu’ils sont obligés de donner les noms de leurs utilisateurs aux banquiers, même le créateur du Bitcoin a été obligé de céder. Outre cette particularité, elles ne possèdent aucun des autres critères d’une monnaie fiable: examinons par exemple le bitcoin et la June.

Le Bitcoin

_il n’est pas étalonné, donc très sensible à la spéculation, ce qui fait d’ailleurs son principal attrait pour certains.

_les échanges sont certifiés mais par une blockchain très coûteuse en énergie. C’est une monnaie uniquement numérique: que se passe-t-il en cas de panne d’électricité ou de piratage informatique?

_sa valeur n’étant pas stable, il est impropre à être une mesure de valeur fiable. Il ne correspond d’ailleurs pas à la définition d’une monnaie utilisable dans l’économie: sa création n’est pas liée aux échanges, elle est réservée aux                   » mineurs « mais de façon aléatoire et ne mesure donc  pas exactement la valeur de leur travail. C’est une monnaie souveraine qui place l’utilisateur sous la dépendance d’un souverain inconnu: un logiciel programmé par qui et comment?

Ce n’est donc pas une monnaie mais un actif boursier que l’on s’échange.

La June

_comme le bitcoin, elle n’est pas étalonnée, donc de valeur variable selon les utilisateurs.

_les échanges sont certifiés par une blockchain moins gourmande en énergie que celle du bitcoin mais c’est aussi une monnaie uniquement numérique.

_Sa valeur variable est une gêne pour en faire une mesure fiable mais dans des proportions moindres actuellement que pour le bitcoin car le fait qu’elle soit distribuée de la même façon à tout le monde la rend moins spéculative.

Son principal défaut pour en faire une véritable monnaie économique est que sa création n’est pas liée à la valeur des échanges: elle est faite par un logiciel de façon égalitaire en fonction du nombre d’utilisateurs. Pourquoi rémunérer tout le monde pareil alors que les besoins en monnaie sont liés aux besoins d’échanges et ne sont pas les mêmes pour tous ? (quelqu’un qui vit presque en autarcie n’a pas les mêmes besoins d’échange que celui qui a un travail très spécialisé et dépend beaucoup des autres pour satisfaire ses besoins).

Ce n’est pas à proprement parler une monnaie car sa création n’est pas liée à des  productions vendues, ce n’est qu’une distribution programmée de bons d’achat: quel intérêt ont alors les producteurs à produire? Et qu’est ce qui prouve que la quantité créée est adaptée à la quantité de production pouvant être achetée? De plus, cela ne marche bien que si tous les utilisateurs ont des besoins de même valeur. La June permet actuellement d’échanger en dehors des banques partout dans le monde, mais elle serait inadaptée pour en faire la monnaie d’un état.

Les monnaie locales: elles sont adossées à l’euro et ne font que le dupliquer, donc ne sont pas différentes. Leur seul intérêt est de renforcer l’identité locale, d’inciter à consommer localement, et d’être sûr que cet argent là ne sera pas utilisé par la finance.

Aucune de ces monnaies n’a toutes les propriétés d’une véritable monnaie mesure communautaire telle que nous l’avons définie : on ne la retrouve que dans les SEL (Systèmes d’Echange Locaux)

_elle est étalonnée sur le temps de travail, ou temps de vie consacré aux autres. Par souci d’égalité, la valeur de l’heure de travail dans les SEL est la même pour tous mais, si on adoptait cet étalon dans une monnaie nationale, on pourrait multiplier le temps par un coefficient individuel lié à la compétence ou la pénibilité.

_elle est certifiée par celui qui reçoit, qui est débité de la même somme. Sa création est gratuite et ne peut être faite que pour quelqu’un qui donne de son temps à la collectivité ou pour aider ceux en difficulté par décision de l’assemblée générale.

_elle est insensible à la spéculation et n’a aucune raison de varier entre le moment de sa création et celui de son utilisation puisque l’étalon est le même dans les 2 cas.

Contrairement à la June, sa création est réellement faite par le peuple et s’adapte parfaitement aux capacités de production. Les SEL constituent une excellente expérimentation d’une monnaie « Simple Mesure de la Valeur des Richesses Vendues » prouvant que tout ce qui sera dit par la suite n’est pas utopique et fonctionne (Rien n’empêcherait, si les banques ne l’interdisaient pas, de donner aussi à la monnaie des SEL la forme de pièces et billets). Cela fonctionne d’autant mieux que la communauté est large et contient des compétences complémentaires permettant de subvenir aux besoins essentiels, elle serait parfaite comme monnaie nationale, c’est pourquoi les banquiers au pouvoir ne la tolèrent que sous forme réduite et locale.

Nous vivons depuis plus de 2000 ans sur un système hérité de la monnaie Or mais qui n’en possède plus les conditions de fiabilité alors qu’il laisse les créateurs de monnaie en position de souverains. Ainsi, au lieu que ce soit la monnaie qui soit au service des échanges, ce sont nos échanges qui se sont mis au service de ceux qui créent la monnaie. Or la vraie nature de la monnaie n’est pas de représenter une richesse possédée mais une richesse vendue, et une monnaie de ce type ne coûte rien à créer, peut être créée par l’état ou les usagers, et a des propriétés nouvelles que nous allons explorer et qui vont paraitre extraordinaires tellement nous sommes habitués au mauvais fonctionnement de la monnaie.

Voir les incroyables vertus d’une monnaie simple mesure d’une richesse réelle vendue

 

Charte des valeurs fondamentales des associations « démocratie française »

Cette charte s’inspire de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789 et les précise de la façon suivante :

Nous sommes des êtres libres et égaux en droit. Le droit civil repose sur des principes moraux: ne pas tuer ou nuire à autrui, ne pas violer cad pénétrer dans l’espace intime d’une personne sans son consentement en profitant d’une supériorité physique ou d’une position d’autorité, rechercher la vérité sans dissimuler ses intentions.

 La liberté des uns ne devant pas empêcher la liberté des autres, le droit repose sur un sens inné de la justice et doit pouvoir être compréhensible par tous.. Nul ne peut être soumis à autrui sans un consentement libre et éclairé Nul ne peut être amputé par la loi d’une partie ou de toute sa liberté s’il n’a pas été clairement prouvé que cette liberté est dangereuse pour autrui, ou pour le groupe, ou pour ce qui permet la vie sur terre.

Les lois du groupe qui en découlent sont votées à l’unanimité. En-cas de conflit, la justice est rendue par le groupe tout entier. Les sanctions doivent avoir valeur de réparation et permettre la réhabilitation.

Notre association respecte la « loi naturelle », tant du point de vue physique et biologique que du point de vue des organisations humaines, la morale étant une partie intégrante de la « loi naturelle ».Nous respectons le vivant sous toutes ses formes et n’intervenons qu’en évitant de modifier les équilibres naturels. La première société naturelle est la famille constituée des parents géniteurs et de leurs enfants. Aucun enfant ne peut être arraché à sa famille sans son consentement ni faire l’objet d’actes marchands.

Notre organisation est démocratique : de façon générale, les personnes élues à un poste de responsabilité, possédant un pouvoir par rapport à d’autres personnes, le sont avec un mandat impératif et doivent pouvoir être choisies et révoquées par ceux sur qui ce pouvoir s’exerce.

L’organisation économique est également démocratique. En conséquence, la monnaie qui sert à mesurer la valeur des échanges n’est qu’une mesure sans valeur propre, étalonnée sur le temps de travail, interdite de spéculation, et ne peut être créée que de façon gratuite, proportionnée aux besoins et aux productions, et sous le contrôle du groupe tout entier.

Le droit de propriété est limité à la propriété d’usage.

Nous respectons la liberté d’expression mais la liberté d’expression n’est pas la liberté de parole : les paroles mensongères ou manipulatrices visant à nuire à autrui sont interdites.

Cette charte s’impose à tous les membres du groupe et les lois qui en découlent s’imposent sur les lois extérieures. Elle ne peut être modifiée qu’à l’unanimité.

La transition démocratique

Il faut supposer que suffisamment de citoyens se mobilisent pour vouloir changer de système. La transition en effet ne peut pas se faire à l’intérieur du système républicain qui est trop verrouillé : ceux qui voudront créer un parti remettant en cause notre sujétion à l’UE et à l’empire américain seront empêchés d’atteindre les élections, comme cela est arrivé à M.Asselineau qui voulait sortir de l’UE et de l’OTAN: pressions sur les maires pour qu’ils ne donnent pas leur parrainage, image négative ou invisible donnée dans les principaux médias, truquage des intentions de vote dans les sondages pour encourager le vote « utile » vers des partis leurre promettant des changements qu’ils se garderont bien d’appliquer, voire truquage des résultats des élections comme cela a été vraisemblablement le cas pour la dernière élection de M. Macron.

Cette république n’est pas réformable, il faut créer une véritable démocratie.

Comment retrouver une souveraineté monétaire et politique alors que nous sommes sous la dépendance d’une institution européenne elle même sous la dépendance des intérêts américains ? Les Anglais qui ont voulu en sortir en en respectant les règles ont du attendre plus de 2 ans, être soumis à des amendes et n’en sont toujours pas réellement sortis. Mais si on considère que nous y sommes entrés illégalement puisque le référendum, plus puissant en démocratie que la décision des députés, avait dit non à plus de 54 % et que le président qui nous y a remis peut être considéré à divers titres comme traître à la nation, nous pouvons en sortir immédiatement dès qu’un nouveau gouvernement prend le pouvoir avec une nouvelle constitution souveraine.

Seule une nouvelle constitution pourra donner une légitimité à ce nouveau gouvernement dont l’arrivée sera présentée comme un coup d’état par ceux qui se maintiennent à la tête du pays par la force, le mensonge et la tricherie. Cela est d’autant plus facile maintenant que nous n’avons plus de constitution même dans la légalité actuelle puisque, d’après l’article 16 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen « tout état qui n’a pas de séparation des pouvoirs n’a point de constitution ». Et la nouvelle constitution permettra aussi de contrôler ceux qui vont prendre le pouvoir pour éviter qu’ils deviennent de nouveaux tyrans.

Écrire une nouvelle constitution paraît un tâche monstrueuse à beaucoup qui ne se sentent pas compétents au niveau juridique mais elle n’a pas à être conforme au droit actuel puisqu’elle va aussi redéfinir le droit en le rendant plus simple et compréhensible par tous (voir notre  charte des valeurs communes ). Etienne Chouard montre dans ses ateliers constituants qu’écrire une nouvelle constitution est accessible à tous. On peut faire encore plus simple et plus rapide en en proposant une toute faite, comme celle que je propose (la charte constituante), qu’il suffira de comprendre et d’accepter pour ceux qui ne veulent pas participer à sa construction. On peut aussi prendre comme charte une réécriture de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen qui l’actualise et surtout lui donne les moyens d’être appliquée.

Il faut donc commencer par diffuser par tous les moyens cette proposition de constitution, peut-être créer un parti politique qui la propose comme programme, afin qu’un changement radical de système politique devienne envisageable pour une majorité de français.

Supposons maintenant que ce nouveau gouvernement arrive, soit par la force si les forces de l’ordre et l’armée le soutiennent, soit par un énorme mouvement populaire. Il va immédiatement être attaqué par les médias et par les puissances d’argent : chantage à la dette pour nous mettre en faillite. C’est là qu’il est important de mettre tout ce qui concerne la création monétaire dans la constitution car dans le nouveau droit la dette est une escroquerie qui mérite un audit et toute la partie création monétaire par les banquiers ne sera pas à rembourser. La première chose à faire est donc de créer une nouvelle monnaie uniquement française pour permettre à l’économie de redémarrer à l’abri des influences étrangères. Cela peut se faire très rapidement : il suffit que chaque français ouvre un compte supplémentaire directement sur la Banque Centrale (on pourra renationaliser une banque, par exemple la banque postale pour faire ses succursales) pour gérer ses francs de la même façon que l’on gère les euros, avec une monnaie scripturale convertible en billets et pièces, et un système équivalent à la carte bleue américaine. Même si les francs et les euros ont des valeurs sensiblement égales au départ, les francs ne sont pas à priori convertibles en euros mais les euros correspondant à un travail fait en France sont convertibles en francs. La différence est que toutes les transactions faites en francs sont dispensés de TVA et d’impôts sur le revenu. Tous ceux qui travaillent pour l’état, fonctionnaires, politiques, santé publique, services publics, sont payés en francs par création monétaire et dépensent ces francs chez des producteurs français. Le franc, comme l’euro, ne coûte pratiquement rien à produire donc peut être donné, il n’est pas une monnaie vide au moment de sa création puisqu’il symbolise la valeur d’un travail effectué et ne nous met pas en dette puisqu’il est produit par l’état. L’état n’a donc pas besoin de lever taxes et impôts pour payer ceux qui travaillent pour lui. Il faudra voter très rapidement la valeur du salaire horaire minimum et du salaire horaire maximum autorisé, ainsi que du capital maximum autorisé puisque le franc sera étalonné sur le prix minimum de l’heure de travail multiplié par un coefficient personnel compris entre 1 et le maximum autorisé voté.

Ainsi boostée, l’économie va redémarrer très rapidement : les artisans et entreprises ne seront plus écrasés par les charges et pourront bénéficier de subventions ou de prêts sans intérêts.

Une fois l’économie démarrée, le gouvernement provisoire pourra mettre en place les structures prévues par la constitution : d’abord la réforme du droit et de la justice, la mise en place d’un conseil constitutionnel populaire, la mise en place d’un système informatique sécurisé et open source pour permettre de voter sur les différentes lois proposées, sur le budget, ainsi que les différentes élections.

 

Une idée de ce que pourrait être notre futur? voir l’entretien avec M. Martin en 2050

 

Etude de la fiabilité des différentes monnaies

A partir du moment où on a compris que la monnaie n’est qu’un instrument de mesure de la valeur d’un échange, on peut se permettre de juger si une monnaie est fiable en lui appliquant les critères que l’on applique à tous les autres instruments de mesure: être étalonné et être certifié conforme à l’étalon, avoir une mesure qui reste stable dans l’espace et le temps: la mesure doit être la même au moment où on la crée et au moment où on s’en sert.

Rappelons nous également que celui qui crée la monnaie d’une communauté est le véritable souverain de cette communauté.

Le système monétaire actuel ne remplit aucune des conditions de fiabilité:

_ il n’y a pas d’étalon, ce qui permet une variation des prix propice au développement de la finance.

_  il n’y a aucune certification, ce qui permet aux banquiers de faire de la fausse monnaie.

_ la valeur de création est nulle et la valeur d’achat fixée par la finance.

De plus, il place frauduleusement les banquiers en position de souverains. Ce système est en train de s’effondrer car il n’est pas viable, il pompe l’économie vers la finance et il y a un moment où ce n’est plus possible. Si l’on compare le système monétaire d’une société au sang d’un organisme, la finance est comme une tique qui suce le sang, elle est un parasite qui est devenu tellement gros qu’il est en train de tuer la bête. Demander à un banquier de produire notre monnaie, c’est comme demander à un médecin de produire notre sang: et ce médecin nous demanderait de lui rendre le sang prêté, pas tout pour ne pas nous tuer complètement, mais suffisamment pour qu’on soit obligé de lui en demander encore, et si nous ne lui obéissons pas dans ce qu’il nous demande, il arrête de nous en fournir, nous sommes devenus son esclave, c’est ce que nous subissons aujourd’hui.

Les mondialistes vont proposer la monnaie numérique souveraine possédant les mêmes caractéristiques, la possibilité des espèces en moins, ce qui nous mettra définitivement en esclavage puisqu’ils la créeront et la distribueront à leur guise, pouvant la rendre fondante (à utiliser avant une date donnée) ou valable seulement sur certains articles,  ou sur certains espaces pour limiter nos déplacements, et ils pourront même supprimer les comptes des opposants politiques pour leur ôter toute vie sociale (cela a déjà commencé: Nigel Farage, un opposant politique anglais, s’est vu supprimer son compte en banque car « ses valeurs ne correspondaient pas à celles de sa banque »; il peut encore changer de banque mais que faire quand il n’y aura plus qu’une seule banque mondiale dirigée par les Rothschild?).

Les états patriotes qui s’opposent aux mondialistes proposent de revenir à la monnaie Or battue par les états: cela fera des états souverains qui pourront créer de la monnaie autrement que par la dette mais de façon limitée par leurs réserves d’Or et ils ne seront pas forcément démocratiques : on revient à la monnaie Or des rois, symbolique cette fois, avec toujours la tentation de créer plus de monnaie qu’on a d’Or, ce qui rend la monnaie non fiable.  Cela oblige encore au double troc pour échanger et place encore les états qui n’ont pas d’or dans l’impossibilité d’avoir une économie interne.

D’autres parlent des cryptomonnaies pour s’affranchir des banques car les échanges sont certifiés par les blockchains et cryptés pour les rendre anonymes. Mais, d’après Snowden, elles ne donnent que l’illusion d’échapper aux banques: les créateurs de ces cryptomonnaies subissent de telle pressions qu’ils sont obligés de donner les noms de leurs utilisateurs aux banquiers, même le créateur du Bitcoin a été obligé de céder. Outre cette particularité, elles ne possèdent aucun des autres critères d’une monnaie fiable: examinons par exemple le bitcoin et la June.

Le Bitcoin

_il n’est pas étalonné, donc très sensible à la spéculation, ce qui fait d’ailleurs son principal attrait pour certains.

_les échanges sont certifiés mais par une blockchain très coûteuse en énergie.

_sa valeur n’étant pas stable, il est impropre à être une mesure de valeur fiable. Il ne correspond d’ailleurs pas à la définition d’une monnaie utilisable dans l’économie: sa création n’est pas liée aux échanges, elle est réservée aux » mineurs « mais de façon aléatoire et ne mesure donc  pas exactement la valeur de leur travail. C’est une monnaie souveraine qui place l’utilisateur sous la dépendance d’un souverain inconnu: un logiciel programmé par qui et comment?

Ce n’est donc pas une monnaie mais un actif boursier que l’on s’échange.

La June

_comme le bitcoin, elle n’est pas étalonnée, donc de valeur variable selon les utilisateurs.

_les échanges sont certifiés par une blockchain moins gourmande en énergie que celle du bitcoin.

_Sa valeur variable est une gêne pour en faire une mesure fiable mais dans des proportions moindres actuellement que pour le bitcoin car le fait qu’elle soit distribuée de la même façon à tout le monde la rende moins spéculative.

Son principal défaut pour en faire une véritable monnaie économique est que sa création n’est pas liée à la valeur des échanges: elle est faite par un logiciel de façon égalitaire en fonction du nombre d’utilisateurs. Pourquoi rémunérer tout le monde pareil alors que les besoins en monnaie sont liés aux besoins d’échanges et ne sont pas les mêmes pour tous ? (quelqu’un qui vit presque en autarcie n’a pas les mêmes besoins d’échange que celui qui a un travail très spécialisé et dépend beaucoup des autres pour satisfaire ses besoins).

Ce n’est pas à proprement parler une monnaie car sa création n’est pas liée à des  productions vendues, ce n’est qu’une distribution programmée de bons d’achat: quel intérêt ont alors les producteurs à produire? Et qu’est ce qui prouve que la quantité créée est adaptée à la quantité de production pouvant être achetée? De plus, cela ne marche bien que si tous les utilisateurs ont des besoins de même valeur. La June permet actuellement d’échanger en dehors des banques partout dans le monde, mais elle serait inadaptée pour en faire la monnaie d’un état.

Les monnaie locales: elles sont adossées à l’euro et ne font que le dupliquer, donc ne sont pas différentes. Leur seul intérêt est de renforcer l’identité locale, d’inciter à consommer localement, et d’être sûr que cet argent là ne sera pas utilisé par la finance.

Aucune de ces monnaies n’a toutes les propriétés d’une véritable monnaie mesure communautaire telle que nous l’avons définie : on ne la retrouve que dans les SEL (Systèmes d’Echange Locaux)

_elle est étalonnée sur le temps de travail, ou temps de vie consacré aux autres. Par souci d’égalité, la valeur de l’heure de travail dans les SEL est la même pour tous mais, si on adoptait cet étalon dans une monnaie nationale, on pourrait multiplier le temps par un coefficient individuel lié à la compétence ou la pénibilité.

_elle est certifiée par celui qui reçoit, qui est débité de la même somme. Sa création est gratuite et ne peut être faite que pour quelqu’un qui donne de son temps à la collectivité ou pour aider quelqu’un sur décision de l’assemblée générale.

_elle est insensible à la spéculation et n’a aucune raison de varier entre le moment de sa création et celui de son utilisation.

Contrairement à la June, sa création est réellement faite par le peuple et s’adapte parfaitement aux capacités de production. Les SEL constituent une excellente expérimentation d’une monnaie « Simple Mesure de la Valeur des Richesses Vendues » prouvant que tout ce qui sera dit par la suite n’est pas utopique et fonctionne (Rien n’empêcherait, si les banques ne l’interdisaient pas, de donner aussi à la monnaie des SEL la forme de pièces et billets). Cela fonctionne d’autant mieux que la communauté est large et contient des compétences complémentaires permettant de subvenir aux besoins essentiels, elle serait parfaite comme monnaie nationale, c’est pourquoi les banquiers au pouvoir ne la tolèrent que sous forme réduite et locale.

Voir: « les incroyables bienfaits d’une monnaie simple mesure des richesses réelles vendues »

Les autres pouvoirs

Le droit et la justice

Le second pouvoir important que le peuple doit pouvoir contrôler est celui du droit constitutionnel associé à celui de la justice.

Actuellement l’exécutif, avec un parlement complice, se permet de faire passer une série de lois qui heurtent notre sens du droit et l’esprit de la constitution sans que le peuple puisse réagir : celui-ci est face à une contradiction qui le sidère puisque ce qui serait juste à son sens est déclaré illégal et qu’est devenu légal ce qui devrait être illégal.

Pour empêcher ces abus, il faut que le droit constitutionnel soit formulé de façon très simple et claire afin que chacun puisse se l’approprier : n’importe qui sera alors capable de faire respecter ce droit. Ce qui veut dire aussi que la justice pourra être rendue par le peuple, avec des juges élus assistés de citoyens tirés au sort, et que le conseil constitutionnel actuel pourra être remplacé par un conseil des Sages constitué en majorité de citoyens tirés au sort.

Voir en annexe ce qui pourrait être une charte constitutionnelle des valeurs fondamentales du peuple français, rédigée simplement mais donnant les principaux garde fous pour empêcher les dérives actuelles, et chapeautant la refonte d’une nouvelle constitution et de tous les codes existants .

La police serait bien sûr sous les ordres de ceux chargés de rendre la justice.

Les lois

Pour qu’il y ait réelle démocratie, il faut que ce soit le peuple qui vote les lois : là encore, ce qui était impossible autrefois l’est désormais grâce à internet. Bien sûr, tout le peuple ne va pas s’intéresser à toutes les lois, il y a ceux qui se sentent concernés et ceux qui ne s’y sentent pas, mais pourquoi pas, seuls les premiers voteront. Les lois peuvent être préparées aussi bien par le gouvernement que par des groupes de citoyens et mises sur un site, comme pour le crowndfunding, où on peut choisir celles qui nous intéressent ; celles qui obtiennent un nombre suffisant de supporters sont discutées au niveau national sur une chaîne TV spécifique qui remplace le parlement puis proposée au vote national.

Les médias

Actuellement, tous les principaux médias sont possédés et contrôlés par un petit nombre de grands capitalistes et génèrent une « information » capable de manipuler le peuple et de le faire voter contre son intérêt réel. Pour rendre à l’information sa liberté, il est nécessaire qu’elle ne soit financée que par ses auditeurs, comme l’étaient les journaux autrefois par leurs lecteurs alors qu’ils ne vivent plus aujourd’hui que par les subventions de ceux qui les orientent. Le financement pourrait être soit direct, soit par création monétaire en fonction de l’audience.

L’exécutif

L’exécutif doit être élu démocratiquement et non pas composé exclusivement des membres d’un seul parti qui ne représente pas tout le peuple et choisis par un président tout puissant. Chaque ministre doit être élu séparément en fonction de ses compétences passées dans son domaine, le président n’étant qu’un coordinateur et un représentant de la France à l’étranger. Seul le président est élu au suffrage universel, les ministres sont élus par leur base.

L’armée

L’armée doit être au service du peuple : elle est là pour protéger le peuple des ingérences étrangères et non pas pour servir les intérêts de dirigeants corrompus. Elle ne peut donc intervenir à l’étranger qu’après un vote national et à l’intérieur du pays que si des traitres à la nation y sévissent (ce qui serait le cas actuellement pour le gouvernement actuel agissant pour le compte des intérêts mondialistes américains).

Le système économique

Le système économique doit respecter les lois démocratiques et ne pas avoir des lois indépendantes en contradiction avec elle. En conséquence :

_La création monétaire est gérée par le peuple comme expliqué précédemment.

_Aucune entreprise ne peut être anonyme. Les entreprises ne peuvent appartenir qu’à ceux qui y travaillent. Le droit civil est prioritaire sur le droit commercial.

_Le droit de propriété est limité à la propriété d’usage : habitation, biens personnels, instruments de travail. Nul étranger ne peut posséder une partie du territoire français.

_Les entreprises étrangères travaillant en France sont soumises au droit français.

_Afin de limiter les inégalités, il conviendra de définir un revenu minimum et maximum, ce qui entraînera de facto une capitalisation maximum.

L’immigration

L’immigration ne doit pas être une invasion étrangère organisée par des traitres à la nation comme actuellement mais doit être contrôlée par le peuple : ne peuvent être acceptés que ceux parrainés par des français de souche et qui souscrivent à notre charte des valeurs fondamentales, ne peuvent être naturalisés que ceux qui ont suffisamment intégré la langue et la culture française.

Cette gestion citoyenne des différents pouvoirs doit alors être écrite dans la nouvelle constitution préparée par une charte constituante compréhensible par tous.

Nous pourrions alors avoir  Un état à la fois social et libertaire

Restera à voir ensuite comment peut s’organiser la transition entre la dictature républicaine que nous subissons actuellement et la démocratie que nous voulons mettre en place: la transition

Donner le pouvoir monétaire au peuple avec une monnaie communautaire.

Si l’on veut établir une démocratie, la première chose à faire est de redonner au peuple un contrôle sur la création monétaire : il suffit pour cela d’utiliser la deuxième sorte de monnaie, la monnaie mesure communautaire. Cette monnaie n’a pas de valeur propre importante mais symbolise une mesure de valeur et doit satisfaire à tous les critères d’une mesure fiable : être étalonnée (par exemple sur la valeur du temps de travail), être constamment associée à une richesse réelle vendue, même au moment de sa création, être certifiée, conserver sa valeur dans le temps. Point besoin de banquiers pour cela : qui est le mieux placé pour écrire la quantité de monnaie à créer pour le vendeur et à certifier qu’elle est exacte sinon l’acheteur qui sera débité de la même somme ? Il suffit que tous les comptes soient sur la même banque centrale et que cette banque appartienne au peuple ; cela ne changerait rien à nos habitudes car c’est ce que nous faisons quand nous payons par carte bleue : de la monnaie est créée sur le compte du vendeur et détruite sur celui de l’acheteur automatiquement, sans intervention du banquier (c’est la même chose quand nous payons en espèces). En fait, nous utilisons actuellement la monnaie des banquiers comme une monnaie mesure mais nous ignorons que c’est une fausse monnaie mesure car, au moment de sa création, elle n’a été associée à aucune richesse réelle vendue par le banquier.

Si l’utilisation est la même, les conséquences par contre d’avoir récupéré le pouvoir de création monétaire sont énormes :

C’est le peuple qui décidera pour qui il va créer de la monnaie, et pas une monnaie vide par la dette, une monnaie pleine correspondant à une richesse réelle vendue (en entendant par richesse réelle tout ce que nous sommes capables d’échanger avec les autres : biens, services, transmission de savoirs ou de savoir-faire, tout ce qui représente un travail)

On pourra donc payer par création monétaire tous ceux qui travaillent pour la collectivité, le peuple rétablira l’équilibre des échanges en les nourrissant (au sens large, en assurant leurs besoins). Dans une monnaie communautaire, celle dont nous avons besoin dans l’économie, nous raisonnons sur les échanges avant de les traduire en monnaie au lieu d’avoir d’abord besoin de la monnaie pour envisager les échanges. Quand on a compris que la monnaie n’est qu’un moyen de mesurer la valeur des échanges, il est logique de s’interesser d’abord aux échanges avant de les mesurer (et tous les échanges n’ont pas besoin d’être mesurés par de la monnaie: il y a aussi toujours du troc et même des échanges gratuits entre amis). Plus besoin donc d’impôts et de taxes pour les payer, on nous fait travailler 2 fois trop, une fois pour leur donner l’argent, une deuxième fois pour les nourrir : actuellement, pour un salaire net de 1500€, il y a en plus 465e de prélèvements divers + 747e de charges patronales soit 1172e donnés inutilement à l’état sans compter les 20 % supplémentaires de ces 1500e , soit 300e qui iront encore à l’état avec la TVA . Et avec le déficit budgétaire chronique, l’état doit encore en plus emprunter sur les marchés. Cette masse d’argent inutile ne profite qu’aux banquiers. Pour les mêmes services, il y aura donc beaucoup moins d’argent en circulation. La masse d’argent supplémentaire ne sert qu’à la finance qui ne produit rien et parasite l’économie : actuellement 95 % de l’argent créé dans le monde sert à la finance et 5 % seulement à l’économie et ces 95% ne servent qu’à acheter tout ce que nous possédons, biens immobiliers, industries, services publics,…(Ceux qui ne vivent que de la spéculation devront se reconvertir et songer à faire un travail utile aux autres)

C’est le peuple qui décidera du salaire des politiques et non pas eux qui se voteront leur propre salaire.

Plus de problèmes pour financer les services publics : hôpitaux, enseignement, autoroutes, …….

C’est le peuple qui décidera dans quels projets il veut investir , sans se poser la question du financement, en créant la monnaie nécessaire.

Possibilité de prêts gratuits pour les achats importants de première nécessité : logement, instruments de travail.

Possibilité d’un revenu de base pour remplacer les aides sociales.

Cela implique que le budget du pays, préparé certes en commissions, devra être voté par le pays tout entier, ce qui est devenu possible avec les moyens modernes de communication.

Bien sur, tout cela n’est possible que dans un pays suffisamment industrialisé pour subvenir aux besoins importants de sa population, cette monnaie ne pourra être que complémentaire dans un premier temps mais elle permettra une réindustrialisation très rapide en allégeant considérablement les charges des entreprises.

Cette monnaie interne n’empêche pas de commercer avec les autres états mais sur le principe du troc en essayant à chaque fois d’équilibrer les balances commerciales comme cela se faisait autrefois. Le taux de change entre les monnaies de 2 pays doit être déterminé politiquement en fonction par exemple du revenu minimum vital ou du salaire médian de chaque pays et non pas décidé par les financiers. Une monnaie internationale du même type communautaire serait possible à condition qu’elle soit différente de celle des états membres, étalonnée sur la valeur moyenne des revenus minimum vitaux de chaque état membre, avec une banque centrale mondiale gérée par l’ensemble des états membres. Prendre comme monnaie internationale la monnaie d’un seul pays donne à ce pays un pouvoir dominateur sur les autres pays, comme cela a été fait avec le dollar (et quand ce sont des banquiers privés qui le créent, on comprend pourquoi leur banque mondiale actuelle privée, la Banque des Règlements Internationaux, leur donne un pouvoir sur le monde entier).

On nous propose d’autres monnaies pour échapper aux banquiers mais elles n’ont pas les mêmes vertus: point sur les autres monnaies

Le pouvoir essentiel ayant été rendu au peuple, nous pouvons examiner maintenant comment les autres pouvoirs confisqués par la caste républicaine peuvent lui être rendus: les autres pouvoirs

Le pouvoir occulte de la création monétaire

Petite histoire de la monnaie souveraine de l’antiquité à nos jours

(plus de détails dans « histoire de la création monétaire »)

                            La monnaie or des souverains

L’or étant une richesse réelle de valeur sûre, de valeur à peu près constante dans le temps et acceptée un peu partout dans le monde, l’or a été utilisé au départ par les marchands internationaux pour pouvoir faire des échanges de troc avec les pays étrangers et les souverains l’ont utilisé pour créer leur propre monnaie et l’imposer à leur peuple sans trop de réticence car le peuple ne se rend pas compte qu’en acceptant d’utiliser cette monnaie il doit travailler 2 fois pour le souverain avant de pouvoir échanger en interne : une première fois pour acquérir cette monnaie, une deuxième fois pour payer les impôts. Et s’il s’en rend compte (car les peuples avaient spontanément trouvé des monnaies communautaires), il y a la force pour le contraindre. Les impôts servaient surtout à obliger le peuple à utiliser cette monnaie et à récupérer une partie de l’or dépensé car il n’avait à sa disposition qu’une quantité d’or finie. C’est pourquoi les pièces se sont mises à contenir de moins en moins d’or : mais si les pièces perdent de leur valeur, elles ne sont plus fiables et cela entraîne de l’inflation qui finit par ne plus être gérable.Le second inconvénient d’avoir choisi l’or pour créer la monnaie est que le véritable souverain n’est pas le roi mais l’Or et que n’importe qui possédant de l’or peut se mettre à créer de la monnaie.

                          L’extraordinaire arnaque de la monnaie bancaire

Ceux qui possédaient de l’or, dangereux et difficile à transporter lors des échanges, préféraient le déposer chez des orfèvres qui leur remettaient en échange un titre de propriété. Petit à petit, la confiance s’installant dans ces titres, les échanges se sont faits avec les titres à la place de l’or. La monnaie-troc avait pris une forme symbolique. Les orfèvres se sont alors transformés en banquiers en trichant, en créant des billets pour des prêts correspondant à de l’or déposé chez eux qui n’était pas à eux. Mais tant que tous les possesseurs de compte ne venaient pas chercher leur or en même temps, la supercherie ne se voyait pas. Si on ne s’aperçoit pas qu’il est faux, un faux billet a le même usage qu’un vrai puisqu’il sert aussi bien à mesurer les valeurs et est accepté par les vendeurs si les gens ont confiance ou si l’état le cautionne. Comme les rois perdaient de l’or en le donnant et en en récupérant moins par les impôts tandis que les banquiers n’en perdaient pas mais en gagnaient, ce sont les banquiers qui ont pris le dessus sur les rois et sont devenus les véritables souverains, grands prêtres du Dieu Or.

Le premier à l’avoir compris est un juif du ghetto de Francfort, Mayer Amschel Bauer, qui se fit par la suite appeler Rothschild, qui fit fortune en tant que banquier et envoya ses 5 fils comme banquiers dans les capitales européennes « donnez moi le contrôle de la monnaie d’un état et je me moque de qui fait les lois »

 La révolution de 1789 n’est pas une révolution du peuple mais une prise de pouvoir des banquiers et de la bourgeoisie sur la royauté, ce qui explique pourquoi la république créée ne pouvait pas être une démocratie : les banquiers sont restés en position de souverains tout en continuant à émettre des billets représentant de moins en moins d’or. L’état républicain s’est donc créé au service des banquiers et a préféré emprunter à des banquiers privés plutôt que créer sa propre monnaie : Napoléon a donné la première Banque de France à des banquiers privés de la même façon que Guillaume d’Orange avait donné la Banque d’Angleterre aux Rothschild. Or, comme disait si bien M. Amschel Mayer  Rothschild, le fondateur de la dynastie: « donnez moi le contrôle de la monnaie et je me moque de qui fait les lois ».. Les états sont donc devenus esclaves des banquiers en faisant travailler tout le pays pour eux. Il était même devenu légal que les banquiers fabriquent plus de billets qu’ils n’avaient d’or et personne ne venait vérifier si leurs réserves correspondaient. Mais le fait que la monnaie était censée représenter de l’or leur permettait de rester en position de souverains et de considérer celle-ci comme une richesse réelle, donc de pouvoir spéculer dessus et d’accroître ainsi leurs revenus et leur fabrication de monnaie toujours plus sans avoir jamais produit de richesse réelle.

Le système capitaliste tout entier, le pouvoir de la finance sur l’économie, repose sur cette idéologie. Le fait de considérer la monnaie comme une richesse réelle rare et nécessaire pour vivre a détourné le peuple des richesses réelles naturelles dont il a vraiment besoin pour vivre et a permis de construire une société de plus en plus éloignée de la nature, voire même destructrice de cette nature.

La position de souverains des (grands) banquiers (ceux des banques centrales) leur a permis d’acquérir des fortunes considérables donc un pouvoir de corruption tout aussi considérable si bien que les chefs d’état, au lieu de mettre les banquiers en prison comme il se devrait (ce que les rois pouvaient faire de temps en temps) sont devenus les vassaux des banquiers ou se sont fait tuer lorsqu’ils ont essayé de s’opposer à eux en créant une monnaie d’état (garfield, Lincoln, Kennedy….)

L’escroquerie monumentale de la monnaie actuelle tient au fait qu’elle n’a plus aucune valeur propre puisque depuis 1971 le président Nixon a officiellement déconnecté le dollar (et donc toutes les autres monnaies indexées sur le dollar) de l’or, mais on continue à la faire fabriquer par les banquiers qui en produisent des quantités astronomiques sans aucune référence ni à une richesse réelle possédée, ni à des échanges de richesses réelles: ce n’est pas non plus une monnaie mesure car elle ne symbolise aucune richesse réelle donnée au moment de sa création: lorsque vous faites un emprunt pour acheter votre maison, le banquier ne fait qu’écrire un nombre sur votre compte avec son ordinateur, il n’a pas l’argent correspondant mais écrit dans sa comptabilité qu’il peut vous le donner si vous lui demandez (ce que vous ne faites jamais). Par contre, quand vous remboursez avec de l’argent honnêtement gagné, il détruit votre argent, ce qui annule votre dette mais il annule la sienne en même temps alors qu’il n’a jamais rien donné. Son seul travail est de tenir vos comptes et de vérifier que vous remboursez, il n’a droit qu’à des frais de tenue de compte et surement pas le droit de confisquer votre maison si vous avez du mal à rembourser; votre dette n’est pas envers le banquier mais envers celui à qui vous avez acheté et envers la communauté car vous lui avez donné de la fausse monnaie. La valeur que donnent les financiers à la monnaie est une valeur artificielle correspondant à ce qu’ils pensent pouvoir acheter avec, en omettant de parler de la valeur de création; or une monnaie n’est pas fiable si les 2 valeurs ne sont pas identiques. L’état, au lieu de mettre les banquiers en prison, peut imposer de l’utiliser, ce qui lui donne une valeur pour acheter, alors qu’elle n’a aucune valeur de création. Cette valeur artificielle leur permet d’entretenir des spéculations gigantesques complètement déconnectés de la réalité économique.

De plus, ils ne distribuent cette monnaie dans l’économie que sous forme de dette : le fait que toute la monnaie soit créée sous forme de dette fait que toute la monnaie en circulation dans le système économique apparaît comptablement comme une dette envers les banquiers alors que celle que nous créons dans nos échanges est détruite quand nous remboursons. C’est ce jeu d’écriture qui rend nos dettes abyssales et irremboursables, supérieures à notre PIB (qui représente au moins 3 fois la masse monétaire en circulation). Si nous avions créé nous-mêmes la monnaie de nos échanges, nous n’aurions aucune dette envers les banquiers. Pour bien comprendre ce qui se passe avec la monnaie actuelle qui nous sert à mesurer des valeurs, c’est comme si, lorsque vous voulez mesurer une longueur, vous soyez obligé d’emprunter un mètre à quelqu’un seul autorisé à les fabriquer et que celui qui vous l’a prêté vous demande de le lui rendre , mais avec une récompense et encore en plus avec tout ce que vous avez mesuré avec ce mètre; c’est comme si le commerçant du marché était obligé d’emprunter sa balance et que celui qui lui a prêté lui demande de lui rendre la balance , avec une récompense pour le service, mais en plus avec l’équivalent de tout ce qu’il a pesé avec ! Pourquoi donc la monnaie ne se comporte-t-elle pas comme les autres mesures? Pour le mètre par exemple, il y a un mètre étalon fixé par l’état et les scientifiques (autrefois une barre de platine irridié conservé à température et pression constante pour qu’elle ne se déforme pas) à partir duquel on peut fabriquer autant de mètres qu’on veut de la même longueur (d’où la notion d’étalon), contrôlés par l’état, idem pour les poids (les balances des marchands sont régulièrement contrôlées), les volumes (le débit des pompes à essence par exemple est contrôlé); pourquoi ne contrôle-t-on pas que la mesure des banquiers est exacte? D’autre part, chacun peut avoir son propre mètre pour mesurer ce qu’il veut et peut écrire la valeur de ce qu’il vient de mesurer s’il veut en garder le souvenir pour s’en servir dans ses projets. Pourquoi n’en serait-il pas de même pour la monnaie? (en vérifiant bien sûr que l’on n’écrive pas n’importe quoi).

Les banquiers savent bien que la dette apparente est irremboursable ; ils s’en servent seulement pour avoir la rente des intérêts (actuellement, la totalité de nos impôts sur le revenu sert à payer les intérêts de la dette) et pour effectuer un chantage sur les états en leur demandant de restreindre les services publics au profit du privé..

Le fait que l’argent des intérêts ne soit pas créé oblige les états à réemprunter pour les payer, d’où la nécessité pour que le système ne s’écroule pas d’une croissance permanente.

Tous les industriels dépendent d’eux pour leurs prêts : les banquiers peuvent même se permettre de faire racheter ces industriels par des comparses: il suffit de leur créer la (fausse) monnaie nécessaire pour les acheter et que le nouvel acheteur pressure l’entreprise pour qu’elle rembourse son prêt. C’est ainsi que nous voyons quelques individus acquérir un quirielle d’industries diverses et avoir des fortunes colossales sans avoir jamais rien produit eux mêmes. Et le système capitaliste permet à ceux qui possèdent mais ne produisent rien de décider comment doit marcher l’entreprise. C’est ainsi que toute cette fausse monnaie créée leur permet d’acheter le monde:

_En achetant tout ce que nous possédons: nos terres, nos industries,….

_En privatisant les services publics préalablement détériorés par l’état complice.

_En corrompant toutes les institutions démocratiques  Même les chefs d’état sont financés par le privé qui paye leur élection.

_En achetant tous les médias qui sont condamnés à obéir aux financeurs. Cela permet de manipuler l’opinion publique en donnant une fausse vision de ce qui se joue dans le monde et de fausser les élections en mettant en valeur les candidats pré choisis tout en minorant les autres.

_En finançant les guerres, les fausses révolutions, des progrès techniques qui vont toujours dans le sens de plus en plus de contrôle des populations.

Les grands banquiers et leurs alliés se sont organisés en secte dissimulée dans les derniers degrés de la Franc-maçonnerie et dirigent de fait la gestion de tout cet argent. Ils ont acquis un énorme pouvoir sur presque tous les états du monde au point de pouvoir envisager d’être à la tête d’un gouvernement mondial. Tout le gratin de la finance et de la politique se réunit régulièrement à Davos lors du forum économique mondial pour décider d’un programme commun que le président Klaus Schwab a même publié dans un livre :

_Disparition de l’argent liquide, tout sera numérisé sous leur contrôle: ils sauront ainsi tout ce que nous faisons et nous tiendrons à leur merci : restrictions d’usage pour nous empêcher de nous déplacer par exemple, blocage du compte si nous n’obéissons pas comme cela s’est déjà fait au Canada et vient de se faire en Angleterre avec Nigel Farage.

_Numérisation de tout ce qui nous concerne, tous nos documents administratifs et même notre identité biologique seront rassemblés en un seul fichier.

_La gestion de tous ces fichiers sera faite par une intelligence artificielle. Ils pourront ainsi avoir le contrôle sur toute la population mondiale ( qu’ils essayent aussi de réduire car avec l’apparition des robots, ils auront de moins en moins besoin de main d’œuvre)

Toute cette gestion numérique pourrait apparaître comme un progrès si elle était faite dans l’intérêt des peuples. Mais la secte qui la dirige s’est ouvertement dévouée à Satan et poursuit une lutte idéologique contre la chrétienté en cherchant à inverser toutes les valeurs chrétiennes, faisant apparaître le mal pour un bien et le bien pour un mal, se nourrissant de guerres et de destructions et de la peur qu’elles engendrent (ils sont à l’origine de toutes les guerres depuis un siècle). La numérisation à venir de la monnaie leur donnera un pouvoir encore plus grand car ils pourront contrôler tous nos échanges et faire de nous de véritables esclaves.

Ils ne sont pourtant qu’une infime minorité par rapport à la population mondiale et ne pourraient rien faire si une majorité n’était pas dupe : c’est cette majorité passive, divertie des réalités par les médias, inconsciente des dangers qui la menacent, soumise sans réflexion à toute figure d’autorité, qui leur donne autant de force et qui risque ainsi d’entraîner toute l’humanité vers sa perte.

Maintenant que nous avons vu que les véritables souverains d’un état sont ceux qui créent la monnaie, nous allons pouvoir voir comment rendre un état souverain, mais en ayant fait auparavant une réflexion sur ce qu’est réellement la monnaie et les conditions pour qu’un système monétaire soit fiable.

voir ensuite: définition de la monnaie et son rôle dans l’organisation des échanges

Le système républicain n’est pas une démocratie

Contrairement à ce qu’on nous dit, le fonctionnement du système républicain ne correspond pas à la définition d’une démocratie puisque le seul vote auquel nous sommes conviés est d’élire des « représentants »: en faisant cela nous renonçons pendant 5 ans à tout pouvoir politique.  Pour que nous soyons en démocratie, il faudrait que nous puissions voter les lois et avoir un pouvoir de contrôle sur tous ceux qui ont pouvoir sur nous (policiers, fonctionnaires) alors que ceux-ci n’ont des comptes à rendre qu’à un exécutif tout puissant. En effet la plupart des « représentants » que nous élisons, aussi bien dans la majorité que dans l’opposition, appartiennent à la même caste et se répartissent dans une fausse séparation des pouvoirs : ce sont eux qui écrivent la constitution censée les contrôler, ce sont eux qui siègent au conseil constitutionnel chargé de veiller au respect de cette constitution, ce qui permet à l’exécutif de la violer impunément; le parlement est devenu une chambre d’enregistrement des lois imposées par l’exécutif et la justice faussement indépendante, déjà soumise à l’exécutif par les procureurs et le contrôle des carrières des juges, a été officiellement mise sous tutelle du gouvernement par Emmanuel Valls. Cette fausse séparation des pouvoirs qui a pu faire illusion au début montre aujourd’hui son vrai visage de dictature.

La république installée en 1789 n’a jamais voulu être une démocratie, de l’aveu même de l’abbé Sieyès, un de ses fondateurs : « Les citoyens qui se nomment des représentants renoncent et doivent renoncer à faire eux-mêmes la loi ; ils n’ont pas de volonté particulière à imposer. S’ils dictaient des volontés, la France ne serait plus cet État représentatif ; ce serait un État démocratique. »….« Le peuple, je le répète, dans un pays qui n’est pas une démocratie (et la France ne saurait l’être), le peuple ne peut parler, ne peut agir que par ses représentants. »

Nous en sommes toujours là et cette dictature en cache d’autres où il n’y a même plus d’élections du tout pour les contrôler :

_la dictature de l’organisation appelée « Union Européenne » dirigée par une commission non élue, assistée d’un faux parlement qui n’a aucun véritable pouvoir, dont les « recommandations » sont en réalité des ordres donnés aux états membres qui ne contrôlent quasiment plus rien de leur politique intérieure. L’UE n’a jamais été une union des peuples; d’ailleurs les français l’avaient bien compris en disant non au référendum d’entrée dans ce système qui nous a été imposé par la suite par nos « représentants », preuve évidente que nous ne sommes pas en démocratie. Cette UE inféodée elle même aux intérêts américains montre de plus en plus son vrai visage de dictature des états européens comme le prouve son projet de modification des traités:

La commission des Affaires constitutionnelles (AFCO) au parlement européen vient de voter un projet de réforme des Traités européens qui transformerait officiellement l’UE en un État, effaçant la France et nos pays :

  • Commission européenne transformée en un gouvernement de l’UE,
  • Suppression de tous les droits de véto nationaux,
  • Environnement : désormais une compétence « exclusive » de l’UE,
  • Santé, Éducation : compétences nouvelles de l’UE,
  • Défense, politique étrangère, frontières : l’UE prend officiellement le pouvoir ! Vers une « armée européenne ».

Bien sûr tout cela sans élection, sans avoir demandé leur avis aux peuples !

_Et derrière tout cela, encore mieux cachée, la dictature des puissances d’argent : ce sont les lobbys qui déterminent les décisions de l’UE, ce sont ces puissances qui gèrent les élections des états en payant les campagnes des candidats qu’elles ont choisi et en assurant leur promotion dans les médias qu’elles possèdent, ce sont même des officines privées qui dictent à ces élus la politique à suivre (affaire Mac Kinsey). Bien sûr, on peut penser que chacune suit ses propres intérêts ; mais il est de plus en plus visible que tout cela est coordonné par des institutions mondiales, en particulier le forum économique mondial dont le président, Klaus Schwab, a écrit un livre explicitant le programme où ils veulent nous amener : en gros, une dictature numérique où nous serions contrôlés comme de véritables esclaves grâce à la numérisation de la monnaie et à l’intelligence artificielle.

A partir du moment où l’état n’est plus au service du peuple mais au service de puissances étrangères, le peuple est complètement piégé et n’a aucune possibilité constitutionnelle pour modifier cette orientation. Nous sommes dans la même situation que sous l’occupation allemande sauf que l’ennemi n’est pas entré avec des mitraillettes mais avec son argent.

Comment en est-on arrivé à ce que des individus privés possèdent de telles fortunes qu’ils soient devenus plus puissants que les états? Pourquoi devons nous payer de plus en plus de taxes et d’impôts pour de moins en moins de services publics? Pourquoi sommes nous devenus esclaves de l’argent alors que l’argent a été créé à l’origine pour faciliter les échanges? Pourquoi des états peuvent-t-ils se retrouver avec des dettes monstrueuses envers des individus privés?

Répondre à ces questions implique de comprendre comment fonctionne notre système monétaire, pas seulement dans l’usage quotidien, mais depuis le moment où l’argent est créé jusqu’au moment où il est détruit. Le fonctionnement de la finance est devenu tellement complexe qu’il est difficile à comprendre, même pour les économistes, mais nous nous intéresserons aux principes de base, beaucoup plus simples mais souvent ignorés, qui soutiennent et expliquent toute la construction.

Le système monétaire actuel

 

  Reconstruire une France libre à partir d’associations libres

                           

Pour ceux qui ne s’en sont pas encore aperçu, la France économique et sociale a été détruite par ceux-là même qui auraient dû être là pour la protéger.  M. Macron termine l’ouvrage en soldant nos derniers fleurons technologiques, en détruisant les petits entrepreneurs par des fermetures forcées et des hausses de charges, en entretenant les divisions sociales par des actes et des propos clivants ainsi que par une immigration invasive non contrôlée. Ce travail se fait sous l’égide d’institutions européennes non démocratiques à la solde de puissances étrangères.

C’est l’aboutissement d’une guerre commencée il y a 300 ans et que nous avons perdue. Une guerre qui ne ressemble pas aux guerres traditionnelles où un état en agresse un autre, une guerre menée dans l’ombre par un petit groupe d’individus très riches et très pervers qui vise à prendre le contrôle de l’humanité entière.

Le cœur de leur puissance se situe dans l’argent : nous sommes tous conscients que c’est l’argent qui mène le monde mais nous ne réalisons généralement pas pourquoi certains peuvent en avoir autant alors que nous peinons en travaillant dur à avoir un revenu à peine suffisant pour assurer nos besoins fondamentaux. La réponse avait pourtant été donnée par M. Amschel Mayer Rothschild, le père fondateur de la dynastie : « donnez-moi le pouvoir de créer la monnaie d’un état et je me moque de qui fait les lois ». En effet aucun échange n’est possible dans le pays si on n’a pas d’abord emprunté au banquier, et nous devons globalement travailler beaucoup pour le rembourser et payer les intérêts. Comme aucune industrie ne peut se créer sans emprunter, c’est lui qui décide celles qui vont pouvoir exister en favorisant donc celles menées par ceux de sa secte. Tout ce petit monde va payer les frais de campagne des futurs présidents en exigeant des retours sur investissement mettant ainsi l’état tout entier à la solde des banquiers et de leurs alliés au lieu d’être au service de la population.

Mais pourquoi devons-nous forcément emprunter l’argent dont nous avons besoin pour nos échanges internes à un banquier privé ? Nous avons été habitués à le faire depuis 2000 ans à cause de la monnaie OR qui nous a été imposée par les puissants et les marchands internationaux puis par les banquiers, qui place ceux qui la créent en position de pouvoir sur le peuple. On continue à nous imposer une monnaie créée par les banquiers alors que celle ci n’est plus indexée sur rien. Tout ceci a tété développé dans l’article précédent: « la perversion de la notion d’échange ».

Si la monnaie n’était qu’un signe, un symbole sans valeur propre mais correspondant dès sa création à une richesse vendue , nous pourrions avoir un fonctionnement social très différent car nous pourrions redonner un sens à nos échanges, c’est l’échange qui créerait le signe :

_Plus besoin de banquiers, le vendeur et l’acheteur seraient capables de créer le signe symbolisant la valeur de leur échange.

_Toute spéculation deviendrait impossible, on ne peut pas spéculer sur un signe sans valeur.

_Les impôts pour payer les banquiers et ceux qui travaillent pour la collectivité deviendraient inutiles : si on raisonne sur les échanges au lieu de raisonner sur la monnaie, il y a échange entre le travail des uns et le travail de ceux qui vont les nourrir : ce sont ces derniers qui vont créer la monnaie servant à mesurer la valeur de ce travail qui correspondra au travail qu’ils feront pour eux en retour.

_La collectivité pourrait créer la monnaie de ses projets au lieu d’emprunter et de se demander s’ils vont être « rentables »

La première étape pour reconstruire la France est donc d’échapper à ce système monétaire et de créer une monnaie nationale, disons le franc, complémentaire dans un premier temps, qui fonctionne selon ces principes :

_En plus de leur compte en euros sur une banque, tous les français ont un compte en francs sur une Banque Centrale et sont copropriétaires de cette Banque.

_Tout travail en France est évalué en francs étalonné sur la valeur du temps de travail. Il conviendra de décider nationalement d’une valeur minimum et maximum.

_Les euros correspondant à des temps de travail, et uniquement ceux-là, peuvent être convertis en francs (l’argent des paradis fiscaux n’a plus aucune valeur en France) mais les francs ne peuvent pas être convertis en euros sans autorisation (voyage à l’étranger par exemple).

_Toutes les transactions faites en francs sont dispensées de taxes et d’impôts. (Il y aura donc intérêt à utiliser les Francs).

_Tous ceux qui travaillent pour la collectivité (politiques, fonctionnaires,….) sont rémunérés exclusivement en Francs par création monétaire décidée par consultation nationale.(Ils n’ont plus intérêt à détruire la France).

_Le budget de l’état est préparé en commissions mais voté par référendum (ce n’est pas aux élus de décider eux-mêmes de leur salaire)

_Des francs peuvent être créés par la Banque Centrale après vote national pour des services publics (hôpitaux par exemple) ou des projets d’intérêt collectif. (pas besoin de se demander si on a l’argent pour le faire, il suffit de le vouloir,  d’avoir les individus et les capacités de production pour les nourrir).

Les échanges avec les pays étrangers se font sur le mode d’un troc équilibré, comme cela avait été prévu par les accords de la Havane en 1945, non ratifiés uniquement à cause des USA. Il ne peut pas y avoir une monnaie internationale créée par un seul pays car cela placerait ce pays en position de domination mondiale.

Le système monétaire perverti est le premier point qui a permis notre destruction, fonder un système monétaire sain est donc la première étape indispensable pour une reconstruction. Les autres réformes pour créer une véritable démocratie pourront suivre s’il n’y a plus de possibilité de corruption et si l’information est libérée: la main mise par les grands capitalistes liés à cette organisation mafieuse sur la presque totalité des médias d’information grand public est en effet la seconde arme qui a permis d’anesthésier la population afin qu’elle ne se révolte pas.

Il faut donc une constitution qui donne du pouvoir au peuple : simple, compréhensible par tous, mais qui définisse les garde-fous indispensables, dont les règles de création monétaire et la liberté de l’information. (voir la page « constitution »)

Un conseil constitutionnel populaire pour veiller à ce que cette constitution soit appliquée, composé de citoyens tirés au sort.

Un droit civil simple, compréhensible par tous, ayant priorité sur tous les autres droits (DDHC réactualisée par exemple dans une charte des valeurs communes).

Des juges élus assistés de citoyens tirés au sort, se basant pour rendre la justice sur la charte des valeurs communes, avec des jugements libres (pas seulement amende ou prison) permettant réparation lorsque cela est possible et réinsertion.

Pas d’autres droits que le droit civil.  Pour les  entreprises, les actionnaires éventuels n’auront pas plus de pouvoir que les salariés et les bénéfices seront limités.

Un exécutif dont chaque membre est élu séparément en fonction de ses compétences.

Disparition du parlement au profit d’un vote direct : la véritable démocratie n’est pas d’élire des « représentants » mais de voter les lois. Ce qui était impossible autrefois l’est avec les moyens modernes : les lois sont préparées en commissions élues et votées par ceux qui se sentent concernés.

Cette organisation, présentée au niveau national, peut d’ores et déjà se développer dans toute association qui le désire :

_monnaie interne étalonnée sur une valeur du temps de travail décidée en assemblée générale.

_une charte des valeurs commune à tous les membres.

_un fonctionnement démocratique pour prendre les décisions et rendre la justice.

Rien n’empêche que des associations de ce type se forment déjà un peu partout : c’est la meilleure arme que nous puissions utiliser pour faire s’écrouler leur matrice. Si la charte des valeurs communes est la même pour toutes ces associations et si elles ont toutes le même système monétaire basé sur la valeur du temps de travail, il sera très facile de les organiser ensuite en un système national. Le système monétaire existe déjà, c’est celui adopté par les SEL, je vous propose en annexe une charte possible des valeurs communes.

 

 

 

L’humanité victime d’une monnaie qui a pervertie la notion d’échange

Il ne faut pas confondre échanges et monnaie, l’humanité n’a pas toujours eu besoin de monnaie :

Les humains sont des êtres sociaux qui ont très rapidement compris l’intérêt de vivre en groupe communautaire : le groupe apporte sécurité par rapport aux dangers extérieurs et augmente les potentialités de chacun grâce à des échanges coopératifs.

Ces échanges sont de tous ordres : matériel, services, échanges de savoir et de savoir faire et surtout échanges affectifs. Dans tout échange, il y a une part affective plus ou moins grande : très importante dans les échanges amoureux jusqu’à devenir presque négligeable dans certains échanges matériels.

Mais ce sont les échanges affectifs qui priment sur les autres. Une petite communauté peut vivre sans monnaie : il y a un sentiment naturel de dette lorsqu’on a reçu quelque chose du groupe qui donne envie de donner en retour. Les échanges tendent spontanément à être équilibrés : don pour don, agression pour agression même si certains, au prix d’une discipline morale, arrivent à donner sans besoin de retour et ne pas répondre agressivement à une agression. C’est lorsqu’on veut équilibrer les échanges, dans une grande communauté où l’on ne connait pas tout le monde, que l’on a eu envie d’introduire une façon d’en mesurer la valeur pour s’assurer de la réciprocité. Il y en a eu de toutes sortes : coquillages, animal que chacun possédait, écriture,…..Et c’est seulement quand cela a pris la forme de pièces et billets que l’on l’a appelée monnaie mais la définition reste la même :

La monnaie n’est qu’un moyen de mesurer la valeur des échanges de façon à conserver cette valeur dans le temps pour que celui qui a donné à quelqu’un puisse avoir le droit de recevoir de lui (troc)ou de n’importe quelle personne du groupe (échange communautaire) pour la même valeur. Celui qui a commencé par recevoir doit rendre pour la même valeur.

Pour que ce système de mesure fonctionne honnêtement et conformément à ses buts, il apparait nécessaire qu’un certain nombre de conditions soient respectées :

_Il faut une unité de mesure commune à toute la communauté, autrement dit un étalon auquel chacun peut se référer. La mesure écrite ou matérialisée doit être juste et vérifiée par l’acheteur. Il faut également que ce symbole ne puisse pas être acquis lorsqu’il n’y a pas d’échange pour qu’il n’y ait pas de faux monnayeurs.

_Il faut que cette valeur reste stable dans le temps, donc que la mesure écrite ou représentée ne se modifie pas.

_Il faut un consensus social pour que ce symbole soit accepté par tous comme paiement d’une vente.

Il y a eu des monnaies communautaires répondant à tous ces critères bien avant l’arrivée de la monnaie OR.

La monnaie OR a été une première perversion de cette intention originale car elle ne permettait de ne faire que du troc: l’or était surtout utilisé par les marchands internationaux pour échanger de pays à pays. En imposant l’or comme monnaie nationale, les souverains ont mis ceux qui ne possédaient pas d’or, le peuple, sous la domination de ceux qui en possédaient (les souverains, les marchands puis les banquiers). En effet, avant de pouvoir échanger entre eux, les paysans étaient obligés de travailler 2 fois pour le souverain, une fois pour acquérir de l’or pour leurs échanges, une deuxième fois pour payer les impôts (qui représentent donc un travail supplémentaire gratuit, autrement dit une sorte d’esclavage). Ces échanges n’étaient plus que du troc : richesse réelle (bien, travail, service, …..) contre de l’or censé avoir la même valeur puis cet or contre une autre richesse.

Cela a complètement modifié les rapports sociaux : tout échange devenait impossible si on n’avait pas d’abord trouvé de l’or si bien que la recherche de l’or a pris le pas sur l’utilité de l’échange, et comme il n’y avait jamais assez d’or par rapport aux échanges nécessaires, une lutte où la morale et l’éthique n’avaient guère de place a remplacé la coopération équilibrée.

Comme il était encombrant et dangereux des se promener avec trop d’or, ceux qui en avaient beaucoup (les grands marchands, les grands commis de l’état) le déposaient chez des orfèvres qui le gardaient en lieu sûr et donnaient en échange un reçu sous forme de billet. Petit à petit, les transactions ont préféré se faire sur les billets plutôt qu’avec de l’or : la monnaie propriétaire symbolisée par un billet était née et c’est cette fois la nécessité de gagner de l’argent de quelque manière que ce soit qui a pris le pas sur les considérations éthiques.

Dans ce système seuls ceux possédant de l’or, les banquiers ou l’état, pouvaient créer de la monnaie en billets. Mais alors que les rois qui avaient d’énormes dépenses perdaient leur or car ils n’en récupéraient pas assez par les impôts, les banquiers gardaient leurs stocks car ils ne dépensaient rien. Ils avaient même trouvé le moyen de s’enrichir sans rien produire en émettant des prêts sur l’or qu’ils avaient en stock et qui n’était pas à eux : la première fausse monnaie propriétaire était née.

Mais tant que tous les possesseurs de compte ne venaient pas chercher leur or en même temps, la supercherie ne se voyait pas. Si on ne s’aperçois pas qu’il est faux, un faux billet a le même usage qu’un vrai puisqu’il sert aussi bien à mesurer les valeurs et est accepté par les vendeurs si l’état le cautionne. C’eut été à l’état de punir les banquiers ; mais, au lieu de cela, ce sont les rois à court d’or qui se sont mis à emprunter aux riches d’abord puis aux banquiers et ils ont par là même signé leur perte car c’est celui qui crée la monnaie qui détient le pouvoir réel: la « révolution » de 1789, contrairement à ce qu’on nous fait croire, n’est pas une révolution populaire mais un coup d’état de la bourgeoisie et des banquiers sur la royauté.

L’état républicain, qui n’a jamais voulu être une démocratie, s’est donc créé au service des banquiers et a préféré emprunter à des banquiers privés plutôt que créer sa propre monnaie : Napoléon a donné la première Banque de France à des banquiers privés de la même façon que Guillaume d’Orange avait donné la Banque d’Angleterre aux Rothschild. Or, comme disait si bien M. Amschel Mayer  Rothschild, le fondateur de la dynastie: « donnez moi le contrôle de la monnaie et je me moque de qui fait les lois ».. Les états sont donc devenus esclaves des banquiers en faisant travailler tout le pays pour eux. Il était même devenu légal que les banquiers fabriquent plus de billets qu’ils n’avaient d’or et personne ne venait vérifier si leurs réserves correspondaient. Mais le fait que la monnaie était censée représenter de l’or leur permettait de considérer celle-ci comme une richesse réelle, donc de pouvoir spéculer dessus et d’accroitre ainsi leurs revenus et leur fabrication de monnaie toujours plus sans avoir jamais produit de richesse réelle.

Le système capitaliste tout entier, le pouvoir de la finance sur l’économie, repose sur cette idéologie. Le fait de considérer la monnaie comme une richesse réelle rare et nécessaire pour vivre a détourné le peuple des richesses réelles naturelles dont il a vraiment besoin pour vivre et a permit de construire une société de plus en plus éloignée de la nature, voire même destructrice de cette nature.

L’escroquerie monumentale de la monnaie actuelle tient au fait qu’elle n’est plus qu’un signe puisque depuis 1971 le président Nixon a officiellement déconnecté le dollar (et donc toutes les autres monnaies indexées sur le dollar) de l’or, mais on continue à la faire fabriquer par les banquiers qui en produisent des quantités astronomiques sans aucune référence ni à une richesse réelle possédée, ni à des échanges réels. Ils lui donnent une valeur artificielle pour faire croire qu’elle vaut toujours quelque chose, ce qui leur permet de garder leur place et d’entretenir des spéculations gigantesques complètement déconnectés de la réalité économique.

De plus, ils ne distribuent cette monnaie dans l’économie que sous forme de dette : le fait que toute la monnaie soit créée sous forme de dette fait que toute la monnaie en circulation apparait comptablement comme une dette envers les banquiers alors que celle que nous créons dans nos échanges est détruite quand nous remboursons, d’où nos dettes abyssales et irremboursables supérieures à notre PIB (qui représente au moins 3 fois la masse monétaire en circulation). Si nous avions créé nous-mêmes la monnaie de nos échanges, nous n’aurions aucune dette. (Actuellement, la totalité de nos impôts sur le revenu sert à payer les intérêts de la dette).

_Le fait que l’argent des intérêts ne soit pas créé oblige les états à réemprunter pour les payer, d’où la nécessité pour que le système ne s’écroule pas d’une croissance permanente.

_Tous les industriels dépendent d’eux pour leurs prêts : les banquiers peuvent choisir à qui ils prêtent en contrepartie d’avoir des industriels à leur service. Ce sont eux qui décident où l’argent de l’état doit être investi. On peut considérer que la moitié de ce que nous produisons sert à créer de l’argent pour un conglomérat qui utilise cet argent à sa guise sans nous rendre de comptes. C’est ainsi que depuis plusieurs siècles, tout l’argent que nous leur donnons est bien mal employé :

_Il détruit les démocraties en privatisant tout ce qui devrait être public.

_Il corrompt toutes les institutions démocratiques en mettant ceux qui les dirigent en « conflit d’intérêt ». Même les chefs d’état sont financés par le privé qui paye leur élection.

_Il achète tous les médias qui sont condamnés à obéir aux financeurs. Cela permet de manipuler l’opinion publique en donnant une fausse vision de ce qui se joue dans le monde et de fausser les élections en mettant en valeur les candidats pré choisis et en minorant les autres.

_Il est utilisé à des fins qui vont contre l’intérêt des peuples, finançant les guerres, les fausses révolutions, des progrès techniques qui vont toujours dans le sens de plus en plus de contrôle des populations.

Les grands banquiers et leurs alliés se sont organisés en secte dissimulée dans les derniers degrés de la Franc-maçonnerie et dirigent de fait la gestion de tout cet argent. Ils ont acquis un énorme pouvoir sur presque tous les états du monde au point de pouvoir envisager d’être à la tête d’un gouvernement mondial. Leur programme actuel se trouve dans le forum économique mondial :

_Disparition de l’argent liquide, tout sera numérisé : ils sauront ainsi tout ce que nous faisons et nous tiendrons à leur merci : blocage du compte si nous n’obéissons pas comme cela s’est déjà fait au Canada.

_Numérisation de tout ce qui nous concerne, tous nos documents administratifs et même notre identité biologique seront rassemblés en un seul fichier.

_La gestion de tous ces fichiers sera faite par une intelligence artificielle. Ils pourront ainsi avoir le contrôle sur toute la population mondiale (à condition de la réduire : les injections appelées « vaccins » ont été faites pour ça).

Toute cette gestion numérique pourrait apparaitre comme un progrès si elle était faite dans l’intérêt des peuples. Mais la secte qui la dirige s’est ouvertement dévouée à Satan et poursuit une lutte idéologique contre la chrétienté en cherchant à inverser toutes les valeurs chrétiennes, faisant apparaître le mal pour un bien et le bien pour un mal, se nourrissant de guerres et de destructions et de la peur qu’elles engendrent (ils sont à l’origine de toutes les guerres depuis un siècle).

Ils ne sont pourtant qu’une infime minorité par rapport à la population mondiale et ne pourraient rien faire si une majorité n’était pas dupe : c’est cette majorité passive, divertie des réalités par les médias, inconsciente des dangers qui la menacent, soumise sans réflexion à toute figure d’autorité, qui leur donne autant de force et qui risque ainsi d’entraîner toute l’humanité vers sa perte.

Ceux qui résistent cherchent à imaginer des réformes monétaires et se tournent vers les cryptomonnaies ou un retour à la monnaie Or. Mais il ne pourra pas y avoir de véritable démocratie tant que nous n’adopterons pas une vraie monnaie communautaire, uniquement signe d’une richesse vendue. Le fait que la monnaie soit une richesse matérielle réelle n’est pas une nécessité si on se réfère à la définition de la monnaie, c’est même une contre-indication si on veut faire une monnaie véritablement communautaire et non une monnaie troc.

Si nous prenions une monnaie qui ne soit qu’un signe, un symbole sans valeur propre, mais qui représente exactement au moment de sa création la valeur d’une richesse réelle échangée  nous pourrions avoir un fonctionnement social très différent car nous pourrions redonner un sens à nos échanges, c’est l’échange qui créerait la monnaie :

_Plus besoin de banquiers, le vendeur et l’acheteur seraient capables de créer le signe symbolisant la valeur de leur échange. C’est d’ailleurs ce que nous faisons pour n’importe quelle autre mesure (longueur, poids, volume): nous prenons la mesure nous-mêmes et l’écrivons nous mêmes sans demander à quelqu’un d’autre, qui nous demanderais de lui donner ce que nous avons mesuré,  de le faire. C’est même ce que nous faisons sans nous en rendre compte quand nous payons par carte bleue : un argent ayant de la valeur ne passe pas d’un compte dans l’autre, comme on nous le fait croire, mais un signe sans valeur est créé sur le compte du vendeur et détruit sur le compte de l’acheteur ; c’est un simple logiciel qui le  fait, le banquier n’intervient pas, son seul rôle est de tenir nos comptes à jour. Nos comptes pourraient mieux se trouver sur une banque d’état dont nous serions tous co-propriétaires:

_L’argent ne serait pas créé par la dette mais par les échanges, de façon positive chaque fois que nous vendons quelque chose (bien, service, transmission de savoir ou de savoir faire, tout ce qui représente un travail), et détruit quand nous achetons. Pour qu’il n’y ait pas de comptes négatifs, il faudrait que chacun reçoive gratuitement de quoi débuter dans la vie active: avez vous réalisé que lorsque vous jouez au Monopoly, on vous donne gratuitement de l’argent pour commencer la partie alors que si nous devions jouer avec les règles actuelles de l’économie, cet argent vous serait seulement prêté par le banquier, vous devriez payer les intérêts à chaque tour et rembourser le banquier à la fin: tout le monde ferait faillite, le vainqueur serait toujours le banquier et personne ne voudrait jouer à ce jeu; c’est pourtant à celui-là que nous jouons dans notre vie réelle!

_Cette monnaie pourrait être étalonnée sur le temps de travail multiplié par la valeur de l’heure de travail, qui pourrait être différente suivant les professions et les individus mais comprise entre un minimum et un maximum décidés par la collectivité.

_Toute spéculation deviendrait impossible, on ne peut pas spéculer sur un signe sans valeur représentant une mesure.

_Les impôts pour payer ceux qui travaillent pour la collectivité deviendraient inutiles : si on raisonne sur les échanges au lieu de raisonner sur la monnaie, il y a échange entre leur travail et le travail du reste de la collectivité qui va les nourrir : c’est donc à la collectivité de créer la monnaie servant à mesurer la valeur de leur travail qui correspondra au travail qu’elle devra faire pour eux en retour.

_La collectivité pourrait de même créer la monnaie de ses projets au lieu d’emprunter et de se demander s’ils vont être « rentables ».

Personne actuellement ne propose une telle monnaie qui, en tant que monnaie complémentaire nationale au début, permettrait de redresser rapidement la France. On parle beaucoup de revenir à la monnaie Or, dont on a vu tous les défauts, ou d’investir dans les cryptomonnaies. Les cryptomonnaies peuvent permettre d’échapper aux banques momentanément mais elles n’ont pas tous les avantages d’une monnaie communautaire étalonnée sur le temps de travail:

_Elles ne sont pas étalonnées donc très sujettes à la spéculation.

_Elles ne permettent pas de rémunérer de façon juste ceux qui travaillent pour la collectivité.

_Elles ne permettent pas de création monétaire pour des projets collectifs.

Alors qu’une vraie monnaie communautaire,  créée en tant que monnaie complémentaire nationale, étalonnée sur le temps de travail, échangée contre des euros liés au travail au départ mais pas convertible en euros, dans laquelle toutes les transactions seraient libres, exemptées de taxes et d’impôts, permettrait de redresser très rapidement une France détruite par nos derniers gouvernements. (Voir l’article « comment reconstruire la France »).

Les échanges avec les autres pays doivent normalement se faire sous forme de troc, chacun avec sa monnaie nationale, avec un taux de conversion déterminé politiquement en fonction du revenu minimum vital de chaque pays. C’est ce qui avait été prévu après la dernière guerre par les accords de la Havane signés par une majorité de pays mais que les USA ont fait capoter en les refusant. Vouloir faire une monnaie internationale créée par un seul pays est absurde car elle donne à ce pays un pouvoir sur tous les autres, ce que le dollar a fait pour les USA jusqu’à présent. Une monnaie mondiale juste devrait être différente de toutes les autres, créée par une Banque Mondiale dont tous les états seraient copropriétaires, et n’être qu’un  signe évaluant la valeur des échanges réels entre les pays.

entretien avec M. Martin en 2050

A la fin de la troisième guerre mondiale en 2025, qui se termina par la victoire des patriotes sur les mondialistes, le monde fut divisé en 3 blocs, 3 empires, américain, russe et chinois. La France, qui avait fini par être détruite économiquement et culturellement par le dernier quinquennat de M. Macron allait être rattachée à l’empire américain lorsque, dans un dernier sursaut patriotique, un conseil national de libération organisa un référendum sur une nouvelle charte constitutionnelle démocratique qui destituait de fait toute la classe politique précédente et organisait le pays sous de nouvelles valeurs (voir les chapitres précédents). Nous retrouvons M. Martin dans sa jolie maison en 2050. Il avait 25 ans à l’époque et a pu vivre toute la transition,

Parlez nous de votre vie actuelle

J’ai choisi d’avoir une maison avec un grand jardin de façon à avoir une certaine autonomie alimentaire. J’ai pu en trouver une qui ne demandait pas un gros prêt complémentaire de la subvention d’état. J’ai donc moins besoin de travailler par ailleurs et cela me laisse plus de temps avec ma famille pour les loisirs.

Comment pouvez-vous financer tout cela ?

Nous avons décidé par référendum que le droit au logement était un droit essentiel pour tous ; donc, à l’entrée dans la vie active, nous avons tous droit au don du prix d’un logement de valeur moyenne. J’ai choisi une maison plus grande et payé le complément grâce à un prêt sans intérêts de la Banque Centrale.

Nous avons aussi droit au don de nos premiers outils de travail ; comme j’ai choisi d’être salarié dans une entreprise, l’état a payé ma part de copropriété. Depuis l’entrée en vigueur de la nouvelle constitution, les entreprises ne peuvent appartenir qu’à ceux qui y travaillent.

Ce salaire s’ajoute au revenu de base inconditionnel qui permet de vivre à minima même lorsqu’on ne travaille pas. Je peux aussi gagner de l’argent en vendant mes productions ou en rendant service à mes voisins, l’état n’intervient pas dans ces transactions qui se font de gré à gré.

Mais où l’état trouve-t-il tout cet argent ?

Il ne le trouve pas, il le crée en fonction des besoins et des capacités de production de la collectivité : la collectivité possède l’ensemble des constructions et des entreprises (j’entends par collectivité l’ensemble des individus et des possessions du pays, pas une entité supérieure à eux telle que l’état. Dans la collectivité, il y a ce que nous possédons individuellement (maison, entreprise) et ce que nous possédons en commun (infrastructures, services public)). Donc si nous décidons en tant que groupe d’offrir quelque chose que nous possédons à un nouvel arrivant, cela ne nous coûte rien, c’est un don symbolisé par une monnaie créée. De même pour les outils de travail, c’est un don comme ce qui se faisait autrefois chez les compagnons. De même pour le revenu de base, c’est un don fait à ceux qui ne peuvent ou ne veulent pas travailler pour qu’ils ne meurent pas de faim. Pour ceux qui travaillent pour la collectivité (fonctionnaires, soignants, enseignants,….): la collectivité subvient à leurs besoins en échange de leur travail en créant de l’argent pour eux. Il faut simplement veiller à ce que tout cet argent créé ne dépasse pas nos capacités globales de production.

Mais tout cet argent créé doit générer une inflation considérable

Pas du tout, nos prix sont beaucoup plus stables que ceux des pays voisins car notre monnaie n’est pas spéculative et sa valeur est étalonnée sur le temps de travail, donc n’a aucune raison de varier beaucoup sauf si le prix de matières premières que nous importons varie beaucoup. Toute la monnaie que nous créons correspond à du temps de travail donc ceux qui travaillent beaucoup, et uniquement ceux-là car il n’y a plus de spéculation organisée, peuvent en accumuler, mais pas dans des proportions considérables et ils préfèrent souvent travailler moins. Par prudence nous avons voté une capitalisation maximum au-delà de laquelle le travail sera gratuit. N’oublions pas que nous sommes repartis de quasiment zéro, que beaucoup plus d’argent était créé auparavant pour alimenter la bourse et que celui créé pour l’économie apparaissait autrefois comme une dette. Nous n’avons plus aucune dette sauf envers certains pays avec lesquels nous n’arrivons pas à avoir des échanges équilibrés mais cela se négocie.

Comment avez-vous pu payer la dette abyssale de 2022 ?

Nous avons fait un audit et constaté que la majorité de la dette était constituée de fausse monnaie créée par les banques qui ne correspondait ni à une richesse possédée, ni à une richesse vendue. Nous avons condamné ces banquiers à rembourser leur fausse monnaie avec de la vraie, ce qui les aurais mis en faillite : ils ont préféré annuler ces dettes illégitimes ou disparaître et nous n’avons plus qu’une seule Banque Centrale du peuple. Reste la dette envers les particuliers, les fonds de pension par exemple : nous la remboursons individuellement, sans les intérêts, à l’aide de nos exportations et de tous les euros confisqués aux grandes fortunes financières car non convertibles en Francs. Certains ont préféré s’expatrier : grand bien leur fasse, nous n’avons pas besoin de leur argent pour produire ce dont nous avons besoin, nous avons la main d’œuvre et les compétences.

Comment vous procurez vous les matières premières que vous ne possédez pas ou les articles que vous ne savez pas produire ?

En l’absence de monnaie internationale correspondant à nos principes, nous en sommes revenus aux fondamentaux : les échanges entre états sont du troc et nous veillons à avoir des échanges équilibrés avec chacun. Le taux de change est déterminé politiquement, il se calcule généralement proportionnellement au Revenu minimum Vital de chaque pays : si un pays a un RmV égal à la moitié du nôtre, sa monnaie vaut 2 fois plus. Cela nous fait payer les importations venant des pays pauvres plus cher qu’avant mais booste nos exportations : nos échanges arrivent en général à s’équilibrer et sont beaucoup plus éthiques qu’auparavant. Pour les besoins énergétiques, nous avons investi dans les énergies « libres » et découvert qu’elles existaient déjà mais nous étaient cachées. Mais auparavant nous pouvions toujours en importer avec le système d’échange précédent et nous avons remis à la mode des plantes avec lesquelles on peut tout faire, comme le chanvre par exemple.

Cela doit vous empêcher considérablement de voyager

Pas du tout : chacun a droit à un quota de francs convertibles en monnaie étrangère. Les distributeurs de billet ou les cartes internationales font automatiquement le change en fonction des taux définis.

Revenons à votre organisation politique interne : vous dites que vous avez destitué tout le personnel politique précédent : comment vous en sortez-vous sans eux ?

L’ancien système les avait tous corrompus au profit d’intérêts privés. Maintenant tous ceux ayant une charge publique sont élus avec leur salaire, généralement égal au salaire national médian (par création monétaire pour ceux qui travaillent pour la collectivité nationale) et sont élus, payés, mandatés et révocables par ceux sur qui ils exercent leur pouvoir. Tout conflit d’intérêt est prohibé.

Il n’y a que 3 niveaux d’organisation : communal, régional et national.

Sinon, les juges locaux, par exemple, sont élus de la même façon, et, lorsqu’il n’y a pas conciliation, ils sont toujours assistés d’un jury tiré au sort. Il n’y a plus de procureurs. Ainsi l’état ne peut plus avoir la main mise sur la justice.

Il y a beaucoup d’associations de toutes sortes et leurs responsables obéissent aux mêmes règles mais sont le plus souvent bénévoles.

Nous avons à voter sur de nombreux points car il n’y a plus de parlement (ni bien sûr de sénat) : lorsque quelqu’un propose de créer, modifier ou abroger une loi, il y a un appel d’offres pour créer une commission d’intéressés qui propose cette loi sur un site dédié, comme pour le crowdfunding. Lorsqu’une proposition de loi atteint un nombre suffisant de suffrages positifs, elle est présentée au suffrage national et doit obtenir une majorité des 2/3 des votants pour être adoptée. Il y a moins de lois nécessaires qu’auparavant car le code civil, très simple, s’applique partout, car tout le monde peut le comprendre et l’appliquer et parce que les juges ont une très grande autonomie pour trouver des solutions qui permettent réparation et réinsertion.

Nous votons aussi le budget national préparé de la même façon.

La validité constitutionnelle des lois, ainsi que le travail de l’exécutif est contrôlé par une cour suprême, anciennement conseil constitutionnel, composé de quelques élus au suffrage universel et d’une majorité de citoyens tirés au sort.

Les ministres  sont élus séparément par leur base en fonction de leur compétence et doivent avoir fait la preuve de leur compétence en ayant eu une vie professionnelle (sans conflit d’intérêt possible) ou sociale avant de briguer un mandat renouvelable par tacite reconduction. Ils peuvent être révoqués annuellement par un RIC obéissant aux mêmes procédures que les lois. Seul le président est élu au suffrage universel, il a un rôle de coordinateur et de représentation de la France à l’étranger.

Vous me paraissez bien au fait de l’organisation politique pour un simple citoyen.

Cela fait désormais partie de l’éducation des enfants et, pour les adultes en 2022, il y a eu des cours de rattrapage : il y a un média spécifiquement dédié au gouvernement qui nous parle des projets en cours. Pour le reste, l’information est libre : les grands médias ne peuvent être financés que par leurs auditeurs ainsi que tous ceux qui s’expriment sur internet.

Qu’en est-il de la liberté d’entreprendre et de l’organisation des entreprises ?

Beaucoup plus de liberté qu’auparavant, juste un enregistrement pour permettre à l’état de faire des statistiques, un prêt gratuit (sans intérêt) pour la création d’une entreprise, pas de taxes ni d’impôts. L’état régule leurs bénéfices sans contrôle excessif en créant dans tous les domaines des entreprises concurrentes à la comptabilité publique : si le privé fait mieux que le public, il peut gagner plus mais pas dans des proportions considérables. Les entreprises en situation de monopole, comme la production d’électricité par exemple, sont nationalisées. Les entreprises gèrent leur mode de fonctionnement interne à leur guise tant que le droit civil est respecté. Le dirigeant n’est pas forcément élu mais la liberté de choix est respectée dans la mesure où il est facile pour un salarié de changer d’entreprise si une ne lui convient pas. Celui qui crée une entreprise peut en rester propriétaire tant qu’il y travaille et qu’elle reste dans le capital maximum autorisé, mais, à son départ, ceux qui y travaillent sont prioritaires pour le rachat au prorata de leur salaire en bénéficiant des dons d’état pour premier outil de travail.

Les entreprises ne se transmettent pas de façon héréditaire, sauf les individuelles comme les petites exploitations agricoles par exemple. Si un enfant du créateur d’entreprise veut prendre la succession de son père, il doit se faire embaucher à un poste de responsabilité avant son départ.

Justement, qu’en est-il des droits de succession en général ?

Il est logique d’hériter de biens ayant une valeur affective, comme la maison des parents par exemple, mais pas de fortunes colossales. Si les enfants veulent vendre cette maison, il y aura des impôts importants : c’est un peu comme si l’état, en leur faisant cadeau de leur première maison, avait anticipé cet héritage et qu’ils le remboursaient. Dans tous les cas, le capital hérité s’ajoute à celui de la personne dans le calcul du capital maximum autorisé.

Ce capital Maximum Autorisé a pour but de réduire les inégalités sans être trop contraignant et va de pair avec un prix horaire maximum autorisé qui est voté par référendum. En ramenant le franc à la valeur d’un euro de 2022, voici ce qui a été voté par référendum pour démarrer:

Revenu de base inconditionnel mensuel: 1000 f

SmIG mensuel pour 30h de travail hebdomadaire: 1000 f (ce qui fait un revenu mensuel minimum de 2000f)

SMA (Salaire Maximum Autorisé) :  20 fois le SmIG soit 20 000f par mois pour 30h par semaine

Capital Maximum Autorisé : 500 SMA (ce que peut accumuler quelqu’un gagnant le SMA toute sa vie en ne dépensant que le Revenu de Base. Cela fait  10 Millions de francs, soit un capital que peu auraient atteint en euros en 2022.

Ces limites peuvent être remises en cause chaque année lors du vote du budget en fonction de la situation générale. Depuis, ces salaires ont augmenté alors que le temps de travail a diminué.

Et qu’en est-il de la retraite?

La retraite est considérée comme une prise en charge de nos séniors par la société, donc la plus grande partie relève d’une création monétaire. Ceux qui ont des salaires importants et souhaitent une retraite plus conséquente doivent cotiser pour la partie supplémentaire. Nous l’avons remise à 60 ans car, avec la robotisation, nous avons besoin de beaucoup moins de travailleurs. Mais la plupart continuent à être actifs, notamment dans la transmission de leur savoir. Ils sont rémunérés pour cela en plus de leur retraite sans limitation autre que le SMA.

Il en est de même pour la cotisation chômage. Ce sont les 2 seules cotisations importantes qui restent puisque les hôpitaux sont financés par création monétaire. A noter que les hôpitaux sont entièrement gratuits mais les consultations médicales ne sont pas remboursées ni les médicaments, sauf cas très rares de médicaments spécifiques et très cher. La Sécurité Sociale précédente était en effet très discriminatoire par rapport aux médecines non allopathiques et nous considérons que nous devons avoir la liberté de choix du praticien. De plus, nos salaires actuels nous permettent de prendre dans la majorité des cas complètement en charge notre santé. Les cas particuliers sont traités sur demande par nos services sociaux.

Quelles sont les réalisations importantes que ce système vous a permis de faire ?

Déjà, globalement, nous travaillons 2 fois moins depuis que nous ne travaillons plus pour les banquiers.

La qualité de vie s’est améliorée : nous ne courrons plus après l’argent et c’est nous qui choisissons où investir : il n’y a plus de problèmes dans les services publics, les autoroutes sont gratuites, les taxes sur l’essence ont beaucoup diminuées et servent juste à assurer l’  entretien des routes, nous subventionnons les agriculteurs qui veulent se reconvertir en bio et taxons les insecticides , nous entreprenons de grands chantiers environnementaux comme celui de rendre l’eau de toutes les rivières potable d’ici 10 ans.

Nous avons plus de temps pour les loisirs, pour la culture : la qualité des programmes s’est beaucoup améliorée. Les universités sont gratuites à tout âge. L’enseignement primaire et secondaire prend davantage en compte l’individualité de chaque enfant et l’aide à épanouir ses propres potentialités.

La médecine a complètement changé après qu’aient été révélés les scandales de la crise du covid, il y a eu une perte de confiance massive dans les produits des laboratoires pharmaceutiques et un retour aux médecines naturelles par les plantes, l’alimentation, et les énergies.

Pour tout dire, je crois que je peux affirmer que je n’ai jamais été aussi heureux,  que la terre est une planète merveilleuse, et que la France a redonné un sens au slogan gravé sur toutes les mairies: « liberté, égalité, fraternité ».

 

PS : si vous voyez d’autres questions à lui poser, faites les moi parvenir dans les commentaires, je les lui transmettrai.

 

Charte démocratique d’intergroupe régional

Notre charte démocratique se réfère essentiellement à la déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 qui chapeaute notre constitution et les résume ainsi :

« Les êtres humains sont libres et égaux en droits. Les lois ne peuvent interdire que ce qui est clairement prouvé nuire à autrui, à l’humanité, ou à ce qui permet la vie sur terre » La sanction doit avoir valeur proportionnée de réparation et réhabilitation.

Cette loi est fondamentale et s’impose à toutes les autres lois dérivées. Par exemple : la liberté d’expression n’est pas la liberté de parole : les paroles mensongères, manipulatrices visant à nuire à autrui sont interdites.

Elle s’impose en particulier sur le droit économique (qui permet aux « personnes morales », cad les entreprises, d’avoir les mêmes droits que les humains, et de « posséder » tous ceux qu’elles utilisent) et sur le droit maritime anglo-saxon qui a réduit nos états à des entreprises commerciales et les humains à des marchandises.

Les lois dérivées sont élaborées et votées par l’ensemble du groupe.

Cette loi fondamentale étant simple et compréhensible par tous, la justice est également rendue par l’ensemble des membres ou par un jury de membres tirés au sort si le groupe est trop important.

Toute personne prenant un poste de responsabilité dans le groupe doit être choisie et révocable par l’ensemble du groupe.

Dans son organisation économique, le groupe se doit de posséder une monnaie complémentaire régionale compatible avec une organisation démocratique, dont la création est gratuite, proportionnée aux besoins et aux productions, et sous le contrôle du groupe. (Type monnaie SERF)

Le groupe reste en lien avec les autres groupes régionaux de la nation ayant la même charte et envoie un représentant aux réunions intergroupes nationales.

 

Charte démocratique de groupe communal (ou de communauté de communes)

Notre charte démocratique se réfère à la déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 qui chapeaute notre constitution et les résume ainsi :

« Les êtres humains sont libres et égaux en droits. Les lois ne peuvent interdire que ce qui est clairement prouvé  nuire  à autrui, à l’humanité, ou à ce qui permet la vie sur terre » La sanction doit avoir valeur proportionnée de réparation et réhabilitation.

Cette loi est fondamentale et s’impose à toutes les autres lois . Par exemple : la liberté d’expression n’est pas la liberté de parole : les paroles mensongères, manipulatrices visant à nuire à autrui sont interdites.

Elle s’impose en particulier sur le droit économique (qui permet aux « personnes morales », cad les entreprises, d’avoir les mêmes droits que les humains, et de « posséder » tous ceux qu’elles utilisent) et sur le droit maritime anglo-saxon qui a réduit nos états à des entreprises commerciales et les humains à des marchandises.

Les lois dérivées compatibles et celles élaborées par le groupe doivent être votées par l’ensemble du groupe.

Cette loi fondamentale étant simple et compréhensible par tous, la justice est également rendue par l’ensemble des membres ou par un jury de membres tirés au sort si le groupe est trop important.

Toute personne prenant un poste de responsabilité dans le groupe doit être choisie et révocable par l’ensemble du groupe.

Dans son organisation économique, le groupe se doit de posséder une monnaie complémentaire compatible avec une organisation démocratique, dont la création est gratuite, proportionnée aux besoins et aux productions, et sous le contrôle du groupe.

Le groupe reste en lien avec les autres groupes de la région ayant la même charte et envoie un représentant aux réunions intergroupes régionales.

Charte des valeurs fondamentales du peuple français

Cette charte s’inspire de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789 et les précise de la façon suivante :

Les êtres humains sont libres et égaux en droits. Nul ne peut être soumis à autrui sans un consentement libre et éclairé. Le consentement individuel doit toujours et en tout lieu rester libre et éclairé ; il ne peut être valablement acquis par « erreur, dol ou violence ».Les lois ne peuvent servir qu’à faire respecter cet équilibre entre la liberté des uns et celle des autres et n’importe qui est habilité à les faire respecter. En cas d’impossibilité, un juge élu propose une conciliation. En cas d’échec un juge entouré d’un jury de citoyens tirés au sort peut décider d’une sanction qui doit avoir valeur proportionnée de réparation et réhabilitation. Nul ne peut être amputé par la loi d’une partie ou de toute sa liberté s’il n’a pas été clairement prouvé qu’il nuit à autrui, ou au groupe, ou à ce qui permet la vie sur terre ».

La personne humaine est un sujet de droit inaliénable, quel que soit son statut et ses capacités d’actions. L’embryon humain, dès la conception, est pourvu d’un statut juridique qui le rend inaliénable et le soustrait par principe à toute expérimentation ainsi qu’à tout acte marchand

La norme supérieure est la « loi naturelle », tant du point de vue physique et biologique que du point de vue des organisations humaines. La morale est partie intégrante de la « loi naturelle ». L’être humain veille à respecter l’équilibre de la nature sans mettre en danger la survie d’une espèce. La première société naturelle est la famille constituée des parents géniteurs et de leurs enfants. Aucun enfant ne peut être arraché à sa famille sans son consentement. Aucune norme de droit positif ne peut être fondée sur une fiction juridique. L’anonymat de tout acte de nature politique, juridique, économique ou financier, entrepris sur le territoire national, constitue un crime contre la Sûreté de l’État (pris en tant que représentant de la Nation). Entrepris à l’étranger, un tel acte est réputé nul et criminel sur le territoire national (en particulier aucun acte de propriété de nature indirecte ne peut être reconnu juridiquement sur le territoire national).

Les lois dérivées sont préparées en commissions comprenant des représentants de toutes les parties concernées et votées par tous les citoyens concernés. Elles sont appliquées par un exécutif élu avec mandat impératif pour ses compétences dans son domaine et révocable sinon.

De façon générale, les personnes élues à un poste de responsabilité, avec un mandat impératif, possédant un pouvoir par rapport à d’autres personnes, doivent pouvoir être choisies et révoquées par ceux sur qui ce pouvoir s’exerce.

La justice est rendue par le peuple en s’appuyant sur cette charte des valeurs communes, soit en assemblée générale pour un petit groupe, soit par un juge élu accompagné d’un jury tiré au sort et sans lien d’intérêt avec les parties, soit, au niveau national, par une cour suprême (ou conseil constitutionnel, ou conseil des sages) composé en majorité de citoyens tirés au sort. La police est sous les ordres de ceux appelés à juger.

Le rôle de l’armée est de protéger la nation et le peuple des emprises étrangères. Elle est au service du peuple, ne peut intervenir à l’étranger qu’après référendum mais peut intervenir spontanément dans le pays en cas d’invasion étrangère ou si un gouvernement traite à la nation s’est mis au service d’une puissance étrangère.

L’organisation économique est également démocratique. En conséquence, la monnaie qui sert à mesurer la valeur des échanges ne peut être créée que de façon gratuite, proportionnée aux besoins et aux productions, et sous le contrôle du peuple tout entier. La parité avec les autres monnaies est décidée au niveau politique.

Les entreprises doivent respecter les principes démocratiques dans leur fonctionnement. Elles ne peuvent appartenir qu’à ceux qui y travaillent.

Le doit de propriété est limité à la propriété d’usage : maisons habitées ou louées, biens personnels, instruments de travail. Nul étranger ne peut posséder une partie du territoire français.

Les médias d’information doivent être indépendants les uns des autres et ne peuvent être financés que par leurs auditeurs. La liberté d’expression n’est pas la liberté de parole : les paroles mensongères, manipulatrices visant à nuire à autrui sont interdites.

Dans une nation, l’organisation sociale se fait en partant de la base vers les niveaux supérieurs avant un éventuel retour. Il y a 3 niveaux : les communes ou ensemble de communes, les régions, et la nation.

Cette charte s’impose à toute constitution passée, présente et à venir, à tout contrat ou traité passé, présent et à venir. Tous les codes actuels doivent être revus pour être en accord avec cette charte. Les politiques ayant ratifié des contrats ou traités contraires à l’intérêt national peuvent être poursuivis en justice pour crime de haute trahison et ces contrats ou traités dénoncés. Elle s’applique dès qu’elle est votée par une majorité et ne peut être modifiée que par une majorité des 2/3.

 

 

Quelle monnaie pour une véritable démocratie

 

En fait, nous appelons « monnaie » 2 concepts différents et incompatibles :

La monnaie des banquiers, à l’origine basée sur l’or, n’était  qu’un titre de propriété permettant de faire du troc : elle valait un certain poids d’or et on échangeait donc une richesse réelle contre une richesse réelle. Cette monnaie ne pouvait être créée que par (ou pour) celui qui détenait l’or et pour en bénéficier, le peuple devait commencer par travailler pour ceux qui en possédaient avant de pouvoir échanger en interne. Ce sont ceux-là qui décident alors avec qui ils veulent commercer et quels sont  ceux qui peuvent devenir riches . Cette monnaie met automatiquement en dépendance la partie du peuple qui ne possède pas d’or envers celle qui en possède (les seigneurs, les rois, puis les banquiers). De plus, en tant que richesse réelle, elle est spéculative et peut changer de valeur suivant l’offre et la demande. (Voir « histoire de la création monétaire« ).

La monnaie que nous utilisons pour commercer entre nous n’a pas besoin de valoir de l’or pour remplir sa fonction et doit symboliser non pas une richesse possédée mais une richesse vendue: il est important qu’elle symbolise une richesse réelle mais tout ce que nous échangeons (bien, service, travail,…) est une richesse réelle et elle ne fait qu’écrire ou symboliser matériellement leur  valeur.  Le seul impératif est que cette écriture soit fiable (nous utilisons tous la même unité étalonnée et écrivons une valeur juste) et acceptée par tous. N’importe quoi qui remplit ces conditions peut servir de monnaie et il y en a eu de toutes sortes chez les peuples avant la domination de la monnaie-or. Cette monnaie par contre, pour être fiable, ne doit pas changer la valeur initiale et ne peut pas être spéculative.

Faire jouer les 2 rôles à une même monnaie est donc source de contradictions, ce qui explique en partie les crises périodiques du capitalisme. L’apogée de ces absurdités a été atteint lorsque la monnaie n’a plus été basée sur l’or tout en continuant à la produire comme si elle l’était : les banques créent maintenant lorsqu’elles font du crédit une monnaie qui n’est rattachée à aucune richesse réelle, ni possédée, ni échangée. Autrement dit, elles font de la fausse monnaie. Nous ne nous en apercevons pas car l’état est complice de cette escroquerie en nous obligeant à l’accepter en paiement : or un faux billet qui est accepté en paiement circule exactement comme un vrai ; la différence n’est pas visible par un particulier mais elle enrichit indûment celui qui triche et a des répercussions au niveau global.

La deuxième arnaque consiste à ne créer de la monnaie que pour des crédits : comme toute la monnaie en circulation est créée lors de crédits, cette monnaie que nous avons gagnée honnêtement et que nous croyons posséder ne nous appartient pas : elle doit être rendue au banquier qui l’a créée (ce n’est pas celui qui la gagne qui la rendra, elle a été créée pour quelqu’un qui a fait un crédit, et doit être remboursée ; c’est globalement le pays tout entier qui est en dette de tout l’argent qui circule ; voilà pourquoi nous atteignons une dette équivalente au PIB. Et comme l’argent des intérêts n’a pas été créé, nous devons emprunter à nouveau pour les payer ; cela explique la nécessité d’une croissance permanente pour que le système ne s’écroule pas.

Si la monnaie n’est plus « titre de propriété » et adossée sur l’or, plus rien ne justifie que ce soient les banques qui la créent, nous pouvons la créer nous-mêmes en l’adossant à la richesse que nous vendons, de la même façon que nous écrivons nous-mêmes le nombre d’unités de ce que nous mesurons en général. Bien sûr, nous n’avons pas le droit d’écrire n’importe quoi et de tricher en écrivant une valeur supérieure . Comme la valeur des richesses obéit à la loi de l’offre et de la demande, personne n’est mieux placé pour vérifier l’exactitude que l’acheteur car, pour lui, son compte sera débité de la même somme (il détruit de sa monnaie). C’est exactement ce qui se passe sur nos comptes en banque : en réalité l’argent ne passe pas d’un compte sur un autre, il est créé sur l’un et détruit sur l’autre. Il n’y aurait donc pas de différence d’usage pour les particuliers avec une telle monnaie-mesure ; la différence serait que nos comptes ne seraient pas sur des banques privées mais sur une banque centrale d’état qui nous appartiendrait et cela changerait beaucoup de choses : c’est nous qui déciderions à qui nous pouvons prêter de l’argent, pour quel projet, et, si nos capacités de production sont suffisantes, nous pourrions même éviter des impôts en payant ceux qui travaillent pour la collectivité par création monétaire : cela parait curieux tant nous sommes habitués à ne raisonner que sur l’argent, mais l’existence de la monnaie n’empêche pas le paiement « en nature » : nous payons ceux qui travaillent pour nous en leur donnant ce dont ils ont besoin et l’argent créé sert seulement à mesurer ce à quoi ils ont droit. De plus, cette monnaie créée n’est pas inflationniste car elle correspond exactement à la production disponible. Lorsque nous payons des impôts dans le système actuel, nous travaillons 2 fois trop : une fois pour gagner l’argent des impôts, une deuxième fois pour nourrir (au sens large, satisfaire les besoins) ceux à qui nous avons donné de l’argent. Les impôts avaient été institués par les puissants au temps de la monnaie-or pour récupérer une partie de l’or qu’ils avaient distribué.

Et, de la même façon, rien ne nous interdirait de financer ainsi les services publics, les grands chantiers (construction d’autoroutes, d’hôpitaux, grands chantiers environnementaux,…), tout cela sans nous endetter et sans se poser la question du financement.

Le véritable souverain d’un pays étant celui qui crée sa monnaie, ce serait enfin le peuple qui serait souverain, première étape fondamentale pour une véritable démocratie.

Le détail du fonctionnement de cette monnaie est expliqué dans le chapitre « la monnaie pleine citoyenne ». Il est important que cette banque centrale soit sous le contrôle direct des citoyens et non de l’état car c’est au peuple de décider du salaire des politiques et ce dans quoi il veut investir.

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La véritable histoire du Covid 19

Ceci se veut une démonstration et non seulement une opinion ; pour cela j’utilise la logique mathématique : si A est vrai et A => B, alors B est vrai.

Un phénomène est réputé vrai

_S’il est reproductible et vérifiable par n’importe qui

_Si on a confiance dans celui qui le rapporte. En cas d’opinions différentes, mon niveau de confiance prioritaire est pour

Un scientifique plutôt qu’un politique

Dans le cas de divergences entre les scientifiques, priorité

à ceux dont la validité des travaux antérieurs a déjà été reconnue par la communauté scientifique

A ceux qui ne sont pas en conflit d’intérêts.

Dans le cas où une source n’est pas considérée comme complètement fiable, mais pas infirmée non plus, ses informations sont dites « probables »

 

Il est très probable que ce covid 19 n’est pas un virus naturel : les chercheurs qui ont séquencé son ARN ont trouvé des fragments d’ARN du virus HIV, 6 portions dans les 300 premières séquences, ce qui, d’après eux, ne peut résulter d’une mutation naturelle. Cet ajout permet au virus de se fixer beaucoup plus facilement sur les poumons. Cela fait plus de 20 ans que les laboratoires font des brevets sur des coronavirus génétiquement modifiés, il y a même un brevet de l’institut Pasteur sur un coronavirus avec des symptômes SRAS qui ressemble étrangement au covid 19 (brevet européen EP 1694829B1 de 2003). Voir aussi la vidéo de kra.tv qui cite bien ses sources https://www.kla.tv/Coronavirus-fr/15804

S’il est sorti d’un laboratoire, lequel ? Il y a le laboratoire P4 des chinois à Wuhan, mais il y a aussi à Wuhan un autre laboratoire P4 appartenant à Soros, le milliardaire bien connu pour son implication avec ses ONG dans tout ce qui peut déstabiliser les états. Il a peut-être aussi été introduit à Wuhan par les militaires américains lors des jeux militaires internationaux qui ont eu lieu en octobre : cela expliquerait la piètre performance inhabituelle de ces athlètes et la dissémination ensuite dans tous les pays à partir des bases militaires.

S’il vient du laboratoire chinois, il s’agit probablement d’un accident car les chinois n’en sont plus à vouloir réduire leur population. S’il vient des militaires américains, il est plus probable que ce soit une arme de guerre : ce virus vise particulièrement les populations asiatiques et l’augmentation de puissance de la chine commence à devenir dangereuse pour les USA. Est-il ridicule d’imaginer une arme qui peut se retourner contre eux ? Non quand on sait le mépris que les dirigeants de l’armée de ce pays ont vis-à-vis de leur propre population (cf 11 septembre 2001).

Si ce virus était destiné à produire une épidémie surtout en Chine, ce fut un échec, le virus étant moins virulent que prévu et les chinois plus réactifs : il a fait finalement moitié moins de morts qu’une grippe ordinaire.

Quoiqu’il en soit, ce virus est là et il faut y faire face : il reste très contagieux car sa période d’incubation est longue (20 jours) et il peut être considéré comme une pandémie d’après ce critère. (La définition de la pandémie concerne l’étalement géographique et non la dangerosité). Mon propos concerne la façon dont il a été réagi à ce virus.

Lorsqu’on ne connait pas le virus et sa dangerosité, il est normal de commencer à confiner tout le monde mais surtout d’isoler les malades pour éviter la propagation rapide en attendant de le connaître mieux, de pouvoir le dépister le plus rapidement possible, et de trouver des médicaments. C’est ce qu’on fait les chinois et les coréens du sud.

Mais lorsqu’ on commence à le connaître, à savoir les premiers symptômes, son évolution, sa dangerosité, à avoir des tests et des médicaments, on peut le traiter comme on traite toutes les maladies : seules les personnes ressentant les premiers symptômes vont consulter le médecin ou l’hôpital pour se faire tester et sont alors isolées et soignées. C’est la méthode préconisée par le Pr Raoult, c’est à lui que j’accorde ma confiance prioritaire au vu de son impressionnant palmarès scientifique.

Le virus est arrivé en France plus de 2 mois après les chinois et la France aurait dû se trouver dans le deuxième cas. Sauf que :

_le gouvernement n’a en rien profité de l’expérience chinoise, n’a rien anticipé, n’a pas fait provision de masques, de tests, des médicaments découverts par les chinois.

_Il a minimisé les risques au début, ce qui a permis à l’épidémie de s’étaler.

_Ce qui fait que les hôpitaux, en sous effectifs matériels et humains à cause de toutes les restrictions budgétaires de ces dernières années, se sont rapidement trouvés engorgés.

C’est pour les désengorger que le gouvernement a ordonné le confinement quasi général. Ce confinement des personnes saines aurait donc été inutile avec un système de santé correctement géré. Il n’empêche pas la propagation car, si quelqu’un ressent les premiers symptômes et va consulter l’hôpital, on le renvoie chez lui faute de tests et de médicaments de façon qu’il puisse contaminer le reste de sa famille. L’hôpital ne reçoit que les cas graves qui ont besoin d’être sous oxygène. Les soignants qui n’ont pas assez de masques se font contaminer et contaminent les autres.

Mais, par contre, on nous présente ce confinement général comme la seule solution possible avec un dispositif policier disproportionné pour le faire respecter, faisant porter la culpabilité sur les personnes saines qui se promènent au lieu de la faire porter sur les vrais responsables du gouvernement, violant la constitution en punissant des personnes qui ne font aucun mal ; les amendes ne devraient concerner que les porteurs sains ne prenant pas de précautions, encore faudrait-il prouver qu’ils sont porteurs sains en les testant car, en droit français, il existe peut-être encore la présomption d’innocence.

Pour expliquer une telle incurie, il n’y a que 2 hypothèses :

_ou bien ce gouvernement est composé d’incompétents débordés par la situation, hypothèse le plus souvent retenue, et ils devront rendre des comptes « plus tard ».

_ou bien tout cela est parfaitement voulu : hypothèse que beaucoup ne veulent pas étudier de peur de se faire traiter de « complotiste » ou de peur de s’opposer à l’autorité, ce qui est la névrose la plus répandue. Elle n’est pourtant pas stupide car ce gouvernement a déjà montré son mépris du peuple français ; qu’il puisse aller jusqu’à être criminel est un pas que beaucoup se refusent à imaginer tellement cela serait dramatique. Et pourtant un certain nombre de faits s’expliquent beaucoup mieux par la seconde hypothèse que par la première :

_Comment expliquer que Agnès Buzyn, qui a soi-disant vu venir la pandémie dès janvier, au lieu de faire des commandes de masques et de tests, ait classé la chloroquine le 23 janvier, (avant que le Pr Raoult en parle), parmi les substances « vénéneuses » alors qu’elle a été brevetée en 1949 et était en vente libre depuis cette date en raison de son innocuité ?

_Pourquoi, après que le Pr Raoult en ait parlé, les stocks disparaissent (« volés »), l’usine française qui en fabrique est en liquidation judiciaire faute de commandes, et on se prend à dire qu’il faut faire des tests, en double aveugle, avec d’autres produits pour voir si elle est efficace ; tests qui ne donneront des résultats que dans 6 semaines (pendant ce temps ceux qui ne recevront rien, dans les tests ou ailleurs pourront mourir), et, en attendant, interdiction aux médecins de la prescrire sauf en dernier recours, lorsqu’elle n’est plus efficace. Or des tests sérieux ont déjà été faits avant le Pr Raoult par les chinois, lui n’a fait que confirmer que ça marchait.

_Pourquoi le gouvernement refuse-t-il l’aide des industriels qui veulent fabriquer des masques, l’aide des laboratoires privés et de l’école vétérinaire qui peuvent effectuer des tests, l’aide des cliniques privées qui proposent des places en réanimation ?

_Pourquoi les médias affolent-ils la population en parlant tous les jours du nombre de morts sans les relativiser : en l’absence de dépistage, le taux de mortalité donné n’a aucune valeur scientifique et là où on peut le mesurer exactement, comme dans le navire de croisière japonais contaminé, il ne dépasse pas les 1% comme dans une grippe ordinaire. L’hôpital du Pr Raoult a traité au 3 avril 3486 patients testés positifs (sur 20 987 testés) et a eu 26 décès: un taux de mortalité de 0,7% largement inférieur à celui d’une grippe ordinaire quand il est soigné convenablement.

Quelques chiffres de l’OMS pour relativiser cette « pandémie » :

_La grippe ordinaire produit chaque année de par le monde 5 millions de cas graves produisant 280 000 à 600 000 décès.

_Le covid 19 jusqu’à présent a touché 1 million de personnes dont 100 000 cas graves et 55 000 décès.

_La France, l’Italie et l’Espagne sont les pays où l’épidémie est le moins bien gérée avec le plus de décès : 83 par million en France contre 13 en Allemagne, 3 en Corée du sud.

_Il y a eu en France en 15 ans depuis 2013 la suppression de 68 172 lits d’hôpitaux.

_La France est le seul pays empêchant l’utilisation de la chloroquine en prétextant la nécessité de faire des tests pour valider un médicament qui a fait ses preuves depuis 1949. Dans le même temps, on déclassifie pour pouvoir l’utiliser le Rivotril, un médicament dangereux utilisé pour euthanasier les vieux de plus de 70 ans quand il n’y a pas assez de place en réanimation.

Il est manifeste que ce gouvernement fait tout pour que l’épidémie soit vécue comme le plus grave possible. Pourquoi ? Comment lui profite ce crime ? Si on commence à se poser cette question, les réponses ne manquent pas :

_Etant donné les rapports de ce gouvernement avec les laboratoires pharmaceutiques, (ils ont financé l’élection de M. Macron, Mme Agnès Buzyn en vient et y retournera sûrement), il est facile de comprendre que la chloroquine les ennuie car elle ne rapportera rien aux laboratoires, tandis qu’une nouvelle molécule…., un nouveau vaccin….. Le fait que le profit soit plus important que les morts ou les malades ne les gêne pas, on a vu leur comportement lors du scandale de l’aluminium dans les vaccins (voir le chapitre correspondant : on injecte obligatoirement à nos enfants plus de 30 fois la dose toxique déterminée par l’OMS et M. Macron prévenu envoie les gendarmes au médecin expert lanceur d’alerte).

_Il y a plus grave encore : les mesures sanitaires qui n’ont pas été prises ont permis d’imposer au peuple épouvanté des mesures extraordinairement répressives sans rapport réel avec l’épidémie :

_ des policiers pour surveiller les sorties de chacun, avec des amendes exorbitantes pour accentuer la pression. D’un point de vue sanitaire, seuls sont dangereux ceux qui sont contaminés sans le savoir et ne portent pas de masque : ceux qui sortent devraient être contrôlés par des soignants qui les testent et les confinent à part s’ils sont positifs. Au lieu de cela, c’est un policier sans masque, qui risque de vous contaminer ou d’être contaminé, qui décide, même si vous êtes sain, si vous avez le droit ou non d’acheter votre pain (on a vu des amendes pour « achat non suffisamment important », des policiers plaquer au sol une femme qui ne voulait pas montrer son papier), et les interdictions touchent même des situations non dangereuses. …..Il y a là une violence répressive qui stresse ceux qui ne la comprennent pas, qui rend agressif envers ses semblables ceux qui n’imaginent pas pouvoir s’y opposer, qui interroge ceux qui n’ont pas peur : si cette répression n’est pas strictement nécessaire pour l’épidémie (l’immense majorité de ceux qui ressentent les premiers symptômes s’isolent d’eux-mêmes), à quoi sert-elle ? Là encore, poser la question de cette façon c’est y répondre : les gens emprisonnés chez eux ne vont plus manifester, fini les conflits sociaux, ils s’isolent et perdent le sentiment de groupe qui rend plus fort, l’inactivité les affaiblit encore.

_Le deuxième volet est qu’elle a permis à M. Macron de faire voter une loi « d’urgence sanitaire » pour 2 mois (au lieu d’un, et il est fort probable qu’elle sera prolongée) qui lui donne les pleins pouvoirs pour décréter par ordonnances ce qu’il veut, y compris des lois qui n’ont rien de sanitaire : il va donc pouvoir finir tranquillement la casse sociale et détricoter ce qui reste des acquis sociaux du CNR : fin des 35h, du choix des congés, la liste n’est pas finie. Il vient aussi de permettre aux opérateurs d’installer des antennes où ils veulent, en se passant de l’avis des maires et des autorités régulatrices, préparant l’arrivée de la 5G, un autre scandale sanitaire en préparation dont on reparlera (et qui semblerait aggraver les symptômes du covid 19, les premiers foyers en Chine et Italie étant des régions pionnières en 5G).

_M. Macron étant un serviteur zélé des banquiers internationaux qui ont fait son élection, on peut aussi supposer que cette utilisation du coronavirus est destinée à provoquer la crise financière et économique mondiale qui était inévitable mais pourra être attribuée au coronavirus au lieu d’être attribuée aux failles du système. Tous les pays qui réagissent par le confinement général sont ceux dont le système de santé est déficient, c’est-à-dire ceux adeptes de la mondialisation et du libre-échange, c’est-à-dire ceux déjà gouvernés en fait par ces banquiers.

Et ce coronavirus, ou le suivant, ou la vaccination de masse, ou la guerre civile que la crise économique peut engendrer, permettra peut-être enfin à ces banquiers d’établir leur « Nouvel Ordre Mondial » auquel ils aspirent depuis des siècles. Ce n’est encore que probable, pas encore sûr, cela dépendra de notre lucidité et de notre capacité de résistance : ceux qui ne cherchent pas à voir et suivent le troupeau comme des moutons seront les premières victimes.

 

 

La véritable histoire du coronavirus covid 19 (roman complotiste)

Tout a commencé en 1981 lorsque Lord Devourchild a lu un roman d’anticipation où un coronavirus très toxique venu de Wuhan provoquait une épidémie mondiale. Il trouva l’idée intéressante et décida de la mettre en scène : Lord Devourchild aimait bien trouver son inspiration dans des romans ; son meilleur scénario avait été le Titanic qui lui avait permis de se débarrasser d’un seul coup de tous ses adversaires, des milliardaires comme lui mais qui étaient opposés à la mondialisation. Lord Devourchild était déjà très puissant mais rêvait de devenir le maître du monde: devenu l’homme le plus riche du monde après avoir truqué le système monétaire mondial, il avait monté toute une organisation qui lui permettait déjà de contrôler l’armée américaine, les services secrets américains et israéliens, pratiquement tous les médias occidentaux influents : il pouvait donc se permettre de jouer avec les évènements de la planète comme on joue aux échecs car presque tous les grands de ce monde étaient ses obligés et il avait infiltré la plupart des institutions censées réguler la démocratie, le commerce et la santé. Lord Devourchild était un vieux fossile dépourvu de toute empathie envers les humains qu’il considérait comme du bétail tout juste bon à le servir ; d’ailleurs ils étaient beaucoup trop nombreux pour pouvoir être contrôlés efficacement et la majorité lui était inutile ; une bonne épidémie était une arme rêvée pour se débarrasser d’un bon nombre incognito. Il améliora un peu l’idée du livre : l’épidémie devait commencer à Wuhan mais atteindre surtout la Chine qui lui échappait et commençait à devenir trop puissante à son goût. Il fit donc travailler ses laboratoires militaires sur un coronavirus génétiquement modifié pour qu’il soit à la fois plus contagieux, (avec une période d’incubation plus longue), plus toxique, et plus virulant sur les asiatiques: ainsi naquit Covid 19, soigneusement gardé au frais en attendant le moment propice.

Pour préparer ce moment, il demanda à son ami Crados, spécialiste de la déstabilisation des états sous des couvertures associatives, d’installer discrètement un laboratoire de ce type à Wuhan tout en aidant les chinois à construire le leur également à Wuhan pour qu’on pense que le virus venait de chez eux.

Ce moment propice fut décidé pour l’hiver 2019-2020, dans des bureaux feutrés de la City, son repaire, car les coronavirus sont plus virulents en hiver et qu’il n’était plus possible de contenir l’écroulement inéluctable du système monétaire bancaire truqué qui avait asséché l’économie et endetté à mort les états, en provoquant des bulles financières monstrueuses. Lord Davourchild avait anticipé en retirant tous ses actifs boursiers quelques mois auparavant. On pourrait profiter des jeux mondiaux militaires à Wuhan fin octobre pour contaminer les militaires qui, après avoir contaminé Wuhan, ramèneraient le virus dans le monde entier. Vaccinator, leur eugéniste en chef, rêvait déjà d’une pandémie faisant des milliards de morts, lui qui pensait n’arriver avec ses vaccins qu’à quelques millions.

Covid 19 fut très décevant : il était certes très contagieux mais sa toxicité laissait à désirer, guerre plus qu’un virus grippal ordinaire, d’autant plus que les chinois avaient trouvé trop rapidement des antiviraux assez efficaces.

On adopta alors une tactique différente de celle utilisée dans l’épidémie H1N1, ballon d’essai qui avait été un échec : elle n’avait pas été assez contagieuse et les gens s’étaient aperçu trop vite qu’elle n’était pas dangereuse, la campagne de vaccination prévue avait avorté. Le seul bénéfice avait été de convaincre l’OMS d’abaisser le seuil où l’on déclare une pandémie et d’autoriser les armées à intervenir pour des vaccinations obligatoires lors des prochaines pandémies.

Donc là, on commença par minimiser la dangerosité pour qu’elle s’étale tranquillement et puis, d’un seul coup, on fit sonner l’OMS et tous les médias pour créer la panique. Cela a bien marché surtout en France où le président Micron se montra leur meilleur élève : il avait déjà affaibli considérablement le potentiel des hôpitaux français en supprimant des lits, du personnel, les réserves de masques, il restreignit l’accès à l’antiviral utilisé avec succès par les chinois pour que la dangerosité martelée par les médias soit plus crédible. Seule fausse note : il n’arrivait pas à faire taire le Pr Barouf, trop réputé pour être traité de « fake new », qui se répandait sur internet et dans les réseaux sociaux en critiquant sa politique et dévoilant le nom de l’antiviral. Micron réussit cependant à faire passer sans protestations des lois d’ « urgence sanitaire » qui confinaient les gens chez eux, empêchant ainsi toute contestation sociale, et lui donnaient les pleins pouvoirs pour finir son œuvre de destruction des acquis sociaux français.

Mais Lord Davourchild commençait à être inquiet : si les états de l’UE déjà sous sa coupe obéissaient bien, un gros bloc de résistance était en train de se former avec les pays asiatiques, l’iran et la Russie ; et l’armée américaine n’était plus assez puissante pour lutter seule, même avec l’OTAN, contre eux. Il se demandait comment créer bientôt la guerre mondiale qui permettrait son couronnement.

Prochain chapitre: l’écroulement social et économique

comparaison avec d’autres systèmes de monnaie libre

Le Bitcoin

Le Bitcoin garantit la sécurité des échanges : il n’y a pas de banquier faux monnayeur.

Par contre le principe de création monétaire n’est pas sain :

_il n’y a pas d’étalon stable, c’est une monnaie spéculative.

_ le dieu créateur n’est pas humain : c’est un algorithme (infalsifiable ?) qui les crée de façon aléatoire au prix d’un travail de « minage ». Pas de grands prêtres humains donc mais les travailleurs mineurs ne sont pas récompensés en proportion de leur travail réel, de moins en moins bien au fur et à mesure que le temps avance. Rien ne prouve que la quantité créée est adaptée à l’importance des transactions.

_Ne permet pas le financement de l’état sauf par l’impôt.

_La quantité de bitcoins à créer est finie : que fera-t-on après ? même problème que pour l’or.

_Les blockchains sont de plus en plus lourd à créer et très énergivores.

 

La monnaie libre G1

Le calcul qui permet d’attribuer une certaine quantité de June à chacun ne dépend que du nombre de participants et de leur durée de vie : ce n’est pas un étalon mais un dieu créateur incorruptible.

Là aussi, les échanges entre particuliers sont sécurisés. La blockchain est moins gourmande que celle du bitcoin.

En plus, elle n’est pas spéculative et tout le monde est à égalité, c’est une sorte de revenu de base universel.

Mais :

_Il n’y a pas d’étalon défini

-Le revenu est bien faible et ne permet pas beaucoup de transactions.

_cet égalitarisme est utopique car tout le monde n’a pas les mêmes besoins en monnaie : celui qui vit presque en autarcie dans sa propriété n’a pas les mêmes besoins en monnaie que celui qui s’est spécialisé dans un domaine et reste très dépendant des autres pour satisfaire ses besoins.

_Il n’y a aucun encouragement à travailler.

 

Les monnaies locales

Elles ont une banque centrale gérée démocratiquement, qui ne fait pas de fausse monnaie mais qui ne peut pas non plus en créer beaucoup : elle peut seulement dupliquer les euros en stock.

Leur principal avantage est de permettre une consommation plus locale.

 

Les SEL

La monnaie des SEL est celle qui se rapproche le plus des critères d’une monnaie démocratique: les échanges entre particuliers se sécurisent automatiquement par la double signature, la banque centrale sous contrôle démocratique peut créer de la monnaie pour ceux qui travaillent pour la collectivité, peut créer un revenu de base si l’AG le décide, peut investir dans des projets d’intérêt collectif. Elle peut gérer exactement la quantité de monnaie en circulation en fonction de l’importance des échanges.

Les SEL sont limités par le fait qu’ils sont réservés aux particuliers et par leur nombre en général assez faible d’adhérents qui ne permet pas beaucoup de création monétaire du fait d’une production interne insuffisante. Mais s’ils arrivaient à échanger entre eux (ils sont près de 700 en France), ils pourraient représenter une force intéressante.

Ils constituent en tous cas une excellente expérimentation de ce que peut être une monnaie citoyenne.

La monnaie distributive

– Monnaie de consommation, basée sur les biens et services disponibles dans les magasins : elle est créée chaque mois en fonction des biens et services créés dans le pays, détruite chaque jour à chaque fois qu’on consomme un bien ou un service.
– Toutes les autres monnaies sont supprimées car devenues inutiles et impossibles.
– Distribuée équitablement aux individus chaque mois par le Revenu Universel Égalitaire (RUÉ), qui varie chaque mois en fonction des biens et services produits.
– Suppression des revenus d’activités, afin de partager équitablement le travail et de rendre possible la mutualisation et la coopération (plus personne ne perd d’argent lorsqu’il baisse ses ventes ou perd son travail).
– La propriété privée (rendue impossible, puisqu’on ne peut plus accumuler pour acheter une maison ou une entreprise) est remplacée par la propriété d’usage (habitations, foncier et entreprises appartiennent à ceux qui y vivent/travaillent).
– Les investissements ne sont plus en monnaie mais en temps de travail : la démocratie locale et participative décide d’augmenter le temps de travail afin que les tâches nécessaires à l’investissement se réalisent.

C’est une monnaie représentant des richesses créées mais qui n’est pas donnée à ceux qui ont créés ces richesses. Elle est donnée à ceux qui vont les consommer sans qu’ils aient à fournir une contrepartie: on peut supposer qu’ils doivent travailler par ailleurs mais sans être payés en fonction de leur travail: quelle est la motivation de faire un  travail pénible? Elle est distribuée équitablement alors que nous n’avons pas tous les mêmes besoins en monnaie. On ne peut plus faire construire la maison dont on a envie ni créer quelque chose d’original.

 

Le système monétaire actuel anglo-américain et européen

Le système monétaire actuel a des ramifications très compliquées qui peuvent dégoûter la compréhension du néophyte, mais il repose sur des bases simples qui suffisent à expliquer pourquoi il ne peut fonctionner de façon pérenne et génère des « crises » régulières.

Il repose sur 2 principes essentiels :

_la création monétaire ne peut avoir lieu que par le crédit.

_Les banques sont organisées suivant le système des « réserves fractionnaires » : la banque centrale est seule habilitée à créer la monnaie matérielle (pièces et billets) mais peut créer toute la monnaie scripturale et matérielle qu’elle veut sans aucune limite puisque le dieu Or a été supprimé en 1971. Elle est indépendante des états, ne prête ni aux états, ni aux particuliers, ne prête qu’aux autres banques.

Les banques ordinaires peuvent aussi créer de la monnaie scripturale lorsqu’elles font des crédits en proportion des réserves qu’elles ont en monnaie centrale (5 à 8%) et de la quantité d’argent qu’elles ont en dépôt.

Les banques étant à la fois de dépôt et d’affaires peuvent aller jouer au casino boursier avec l’argent de leurs déposants (ou qu’elles créent ex nihilo?) et permettre à leurs amis d’acheter des entreprises avec de la fausse monnaie.

Conséquences :

_L’argent n’étant créé que par le crédit, tout l’argent en circulation dans le pays doit être rendu aux banquiers. L’argent des intérêts n’ayant pas été créé, il faut, si on veut rembourser les dettes, emprunter l’argent des intérêts et augmenter la dette, ce qui oblige en plus le pays d’être en croissance permanente. Ce simple fait explique largement pourquoi tous les états ont des dettes exponentielles irremboursables.

_Les banquiers étant les seuls créateurs de monnaie sont devenus des dieux : ce sont eux seuls qui décident où le pays va investir, choisissant des investissements rentables à court terme même s’ils sont destructeurs plutôt que des investissements à long terme plus profitables à la nation. Depuis au moins un siècle, ils ont détourné toutes les découvertes scientifiques qui auraient pu faire le bonheur de l’humanité pour en faire des armes de guerre contre cette humanité. Notre malheur actuel vient du fait que ceux qui dirigent ce système sont des pervers qui, tout en disant qu’ils veulent notre bien, veulent détruire la plus grande partie de l’humanité pour mieux contrôler ceux qui restent et en faire des esclaves.

_Le chantage au remboursement de la dette leur permet de s’immiscer dans la politique intérieure des états et d’imposer l’austérité.

_Les états sont obligés d’augmenter encore l’austérité en levant des impôts pour financer les services publics ou de les brader.

_Le système pompe automatiquement l’argent de l’économie vers la finance sans jamais en remettre. Cela ne peut durer éternellement : nous arrivons à un stade où le système économique ne peut plus fonctionner ; les banques centrales tentent de le maintenir en survie en abreuvant les banques de liquidités qui ne servent qu’à faire enfler les bulles spéculatives.

Où ce système était-il mal conçu ?

Il ne respecte pas les règles impératives de création monétaire énoncées au premier chapitre : quand un banquier crée de l’argent lors d’un crédit, cet argent n’est associé à aucune richesse personnelle, c’est de la fausse monnaie. Cette monnaie va jouer le même rôle que de la vraie tant qu’elle circulera dans le circuit économique puisque l’état la garantie légale sauf que le banquier va demander qu’on lui rende et c’est là l’arnaque : l’emprunteur ne doit rien au banquier qui ne lui a rien prêté de réel, sa dette est envers la société, pas envers le banquier ; il doit donc la rembourser à la société et ne doit au banquier que les frais de tenue de compte.

Cette arnaque n’est possible que parce que l’état qui devrait poursuivre les banquiers en tant que faux monnayeurs se montre au contraire complice en les légalisant : l’immoralité devient la règle et se propage à tous les niveaux de la société, les politiques sont au service des banquiers et le pays est livré au pillage d’une bande de voyous. Les banquiers internationaux ont acquis une puissance financière si considérable qu’ils peuvent acheter presque toutes les richesses réelles et sont sur le point d’installer une gouvernance mondiale.

Charte associative constituante

                                              

Notre association a pour but la conception, l’expérimentation et la divulgation d’une organisation sociale et économique démocratique, sociale, solidaire, pacifique, permettant la satisfaction des besoins matériels et immatériels de tous ses membres et la recherche du bonheur. Elle respecte la vie sous toutes ses formes et ne l’ôte que dans la stricte nécessité vitale ou alimentaire en veillant à ne jamais détruire une espèce entière, toute vie sur terre ne pouvant être amputée qu’en cas de nécessité vitale, lorsqu’aucune autre solution n’est possible.

Notre organisation est

_ démocratique : toute personne exerçant un pouvoir de quelque nature que ce soit sur d’autres doit être mandatée et révocable par la majorité de ceux sur qui ce pouvoir s’exerce, même en cours de mandat si elle ne le respecte pas. Nul ne peut avoir un pouvoir lui permettant d’agir contre l’avis de la majorité.

_ laïque : toutes les religions sont autorisées dans la mesure où elles ne s’opposent pas à cette charte.

_solidaire : elle vise à aider ceux qui se trouvent en difficulté.

_respectueuse de la liberté de chacun dans la mesure où celle-ci ne porte pas atteinte à la liberté des autres.

Tout membre, quelle que soit sa fonction,  peut être à l’initiative d’une proposition de loi interne. Les lois ne peuvent être contraires aux principes précités et ne peuvent être appliquées qu’après avoir été votées par la majorité des membres concernés.

Le bureau exécutif est composé d’élus désignés ou tirés au sort parmi les volontaires et est mandaté pour appliquer les lois ou les objectifs votées par les membres. En cas de défaillance, Il peut être révoqué en totalité ou en partie en cours de mandat par un RIC à l’initiative de 10% des membres.

Un comité éthique veille au respect des lois et de la charte. Il est indépendant du bureau exécutif et est constitué de membres en majorité tirés au sort. En cas de litige entre le bureau exécutif et le comité éthique, l’arbitrage est donné par l’ensemble des membres.

Chaque membre est libre de s’exprimer et peut avoir accès à des moyens lui permettant d’être entendu par tous les autres. La liberté d’expression n’est pas la liberté de parole et les paroles délibérément mensongères, manipulatrices ou d’incitation à la haine sont interdites.

L’association veille à ce que les échanges économiques, reflet chiffré de l’organisation sociale, soient aussi démocratiques. En conséquence, les membres de l’association s’engagent :

_A utiliser le moins possible les monnaies bancaires et spéculatives.

_A échanger le plus possible entre eux (gratuitement ou avec une sorte de monnaie interne) ou, à défaut, avec des commerçants de proximité bios ou éthiques, ou, à défaut, français et éthiques. Nous entendons par « éthique » un fonctionnement démocratique, où la recherche de la qualité passe avant celle du profit, et où les profits restent dans une fourchette raisonnable qui pourra être déterminée en assemblée générale.

L’assemblée générale est convoquée physiquement ou sur internet chaque fois qu’une loi complémentaire à la présente charte a besoin d’être votée et au moins une fois par an pour l’élection ou le tirage au sort parmi les volontaires des responsables.

Cette charte s’impose à tous et ne peut être modifiée qu’à une majorité des 2/3.

(L’acceptation de cette charte ou la demande de modification se font dans les commentaires. Lorsqu’elle est acceptée, votre email sera enregistré et vous permettra de participer au fonctionnement interne. N’apparaitront dans le site que les commentaires demandant des modifications. Lorsqu’il y aura suffisamment d’inscrits pour convoquer une assemblée générale, cette charte ne pourra plus être modifiée que par une assemblée générale extraordinaire).

 

Les belles découvertes du début du XX siècle confisquée

       

 Elles sont dues essentiellement à Nicolas Tesla, un physicien de génie émigré aux USA qui a compris le premier que l’univers n’était fait que de vibrations et que nous pouvions les utiliser pour disposer d’une source d’énergie inépuisable.

C’est à lui que nous devons le courant alternatif, la TSF (attribuée à tort à Marconi qui n’a fait qu’utiliser ses brevets), le laser,………

Adulé à ses débuts, son crédit auprès des banquiers fut coupé lorsqu’il voulut montrer qu’on pouvait transmettre le courant alternatif par voie aérienne gratuitement. Il fit rouler une voiture électrique sans batterie pendant des centaines de kilomètres à pleine puissance.

Voiture à énergie libre de Tesla https://eveilhomme.com/2019/05/06/en-1931-la-voiture-a-energie-libre-de-tesla-pouvait-rouler-a-145-km-h/?fbclid=IwAR1u0XR8wkaRGXDlhZiIRsgnsroI6mEZtv9jFt1TJwK-gmSkbn62wdt-LHo

Il se rendit compte qu’on pouvait créer des énergies considérables qui pouvaient devenir destructrices : en envoyant des ondes électromagnétiques en résonnance avec la ionosphère, celles-ci pouvaient parcourir des distances considérables en s’amplifiant énormément au point d’avoir un pouvoir destructeur capable de créer des tremblements de terre, des incendies, de tuer le vivant. Pour que ces découvertes ne puissent être utilisées que dans le cadre d’une coopération internationale, il découpa ses brevets en plusieurs morceaux complémentaires qu’il envoya aux principales nations : mais les morceaux furent certainement récupérés par la mafia NWO car le projet a été réalisé sous l’appellation HAARP avec plusieurs bases dans le monde dont la principale en Alaska. Il est certainement opérationnel de nos jours comme en témoignent des évènements inexplicables autrement :

https://youtu.be/TtGyQn9g9jw

HAARP https://youtu.be/2aJybQJhm9E

_La non résistance des soldats irakiens lors de l’invasion US : des ondes électro-magnétiques bien dosées peuvent au choix abrutir les humains, leur faire mal pour les faire fuir, ou même les tuer d’une crise cardiaque. Il existe des applications anti-manifestations opérationnelles même en France mais pas encore très utilisées à notre connaissance (encore que … ! Il semblerait que nous soyons actuellement pas mal bombardés en France d’ondes électromagnétiques bizarres)

HAARP JP Petit  https://youtu.be/NYkVqZPaK7k

_Le tsunami de Fukushima n’est pas cohérent avec le tremblement de terre associé d’après des études japonaises : celui-ci aurait pu être créé par HAARP et le tsunami par une bombe sous-marine. Des tremblements de terre en Iran sont aussi suspects.

_Les incendies de Californie ne sont pas naturels: on peut voir des maisons réduites en cendres alors que des arbres voisins sont indemnes, des voitures détruites alors que celle d’à côté est indemne, des arbres brûler de l’intérieur.

voir la vidéo

_Des formations nuageuses présentant des ondulations non naturelles, combinaison de l’influence de HAARP sur les particules métalliques envoyées dans les chemtrails. La conjugaison des 2 permet de maitriser le climat en provoquant sècheresse ou inondations à volonté dans les pays que l’on veut attaquer incognito. (voir l’article « chemtrails »)

HAARP   http://numidia-liberum.blogspot.fr/2016/08/haarp-un-outil-demoniaque-pour-creer.html?m=1

Tesla mourut dans la misère et le FBI s’empara alors de tous ses documents. Il reste des brevets que des scientifiques essayent d’utiliser pour créer « l’énergie libre » : il semble que des applications soient opérationnelles au japon ou en inde.

Dans les années 70, Stan Mayer, utilisant les brevets de Tesla, découvrit un procédé permettant de décomposer l’eau en oxygène et hydrogène avec très peu d’énergie : il pouvait ainsi permettre à une voiture de rouler indéfiniment avec de l’eau et une simple petite batterie. Il ne voulut pas vendre ses brevets aux pays pétroliers qui en proposaient des milliards pour les détruire et mourut empoisonné.

Moteur à eau de Stan Mayer : https://youtu.be/DcaSL0yQ6Kg

Enfin il est probable qu’ils maitrisent désormais la technologie des soucoupes volantes : le fait que des extraterrestres nous surveillent depuis longtemps est une évidence, trop de témoignages concordant le confirment. Lors de l’accident d’une soucoupe le 2 juillet 1947 près de Roswell au Nouveau Mexique, le site a été investi par l’armée américaine et interdit : il est vraisemblable soit qu’ils aient eu des contacts avec eux, soit qu’ils aient seulement pu comprendre leur technologie (les connaissances actuelles en physique quantique commencent à pouvoir expliquer l’antigravitation). L’autoroute qui passe près de la base ultra secrète (zone 51) dans le désert du Nevada a été surnommée « l’autoroute des soucoupes » tellement les témoignages d’apparition d’ovnis sont nombreux. Certains pensent même que la mafia maléfique a conclu un pacte avec des extraterrestres voulant coloniser la terre : que ce soit vrai ou non est de peu d’importance, l’important est de pouvoir résister à cette mafia, et le meilleur moyen d’y résister est de dévoiler cette conspiration contre les peuples qui ne peut perdurer qu’à cause de la passivité intellectuelle et de l’abrutissement organisé des masses.

Les origines d’Israël

                                             Israêl n’est pas un état qui a été rendu aux juifs pour les dédommager de leur extermination par les nazis : les juifs sont les adeptes d’une religion qui s’est répandu de par le monde, ils n’ont jamais eu de territoire, les descendants des juifs d’origine sont les Palestiniens.

Le territoire qu’on leur a donné était un projet colonial élaboré au 19ème siècle, soutenu par quelques juifs, les anglais et les américains pour contrôler les pays arabes : Israël joue ce rôle en faisant partie intégrante de l’état profond satanique.

Le fait que ce soit un état juif est une couverture et ce n’est pas pour rien qu’ils tiennent absolument à confondre l’un avec l’autre : ils ont même fait signer une loi à Macron pour dire que antisionisme=antisémitisme.

Ce n’est pas parce qu’il y a des juifs parmi les sataniques que tous les juifs le sont. La mystification opérée avec l’attribution aux juifs du » protocole des sages de Sion » continue avec Israël.

Voir l’analyse de Michel Collomb : https://www.facebook.com/1MPalestine/videos/894353880656477/

https://youtu.be/wzqj46jFydo

Des « illuminati » au « Nouvel Ordre Mondial »

               La secte des « illuminati » ( illuminati est l’un des noms donné à Lucifer) fut créée en 1776 par un prêtre défroqué (Adam Wheishaupt) sous l’influence d’un certain Amschel Mayer Bauer, juif du ghetto de Francfort qui avait fait fortune en tant que banquier et s’était fait appeler alors « Rothschild », accompagné de 12 accolytes fortunés.

Amschel Mayer Rothschild avait compris que le fait de pouvoir prêter aux états le rendait plus fort que les états (« donnez-moi le contrôle de la monnaie et je me moque de qui fait les lois ») et a, dès le départ, conçu un plan machiavélique sur plusieurs générations pour dominer le monde et faire chuter la chrétienté grâce au contrôle de la finance.

La secte des illuminati était destinée à infiltrer la franc- maçonnerie de façon à pouvoir profiter de l’architecture des différentes loges mondiales. Ils s’étendirent ainsi rapidement à travers le monde, occupant seulement le sommet de la hiérarchie maçonnique, les autres grades ne soupçonnant rien. Ils y organisent des cérémonies sataniques incluant le viol et le meurtre d’enfants. (Elles sont toujours d’actualité, voir par exemple une des premières émissions d’Elise Lucet).

Ils furent découverts par le gouvernement bavarois qui les interdit et tenta de prévenir les autres gouvernements d’Europe, en vain. La révolution de 1789 en France fut organisée par les loges maçonniques françaises (Duc d’Orléans, comte de Mirabeau, Robespierre). Ce qu’ils ont appelé « république » est devenu leur façade légale et, encore aujourd’hui, si on veut y jouer un rôle, il est nécessaire de passer par la franc maçonnerie (aveu de François Hollande qui en faisait partie, comme Macron ou Edouard Philippe).

Leur plan détaillé de cette conjuration mondiale contre les peuples a été publié en 1905 par le russe Sergueî Nilus sous le titre « Les protocoles des sages de Sion » ou « le péril juif » : si le plan est bien exact, comme on peut voir avec quelle précision il se réalise, écrit par quelqu’un qui les connait ou en fait partie, il est habilement attribué aux juifs en général, ce qui a convaincu Hitler et d’autres de s’attaquer aux juifs plutôt qu’aux francs-maçons. Cette confusion volontaire entre les juifs et les francs-maçons sionistes perdure encore aujourd’hui, le martyr des uns servant à protéger les autres de la haine qu’ils déclenchent. (voir l’article sur les origines d’Israêl).

Une traduction française de ces protocoles est disponible en ligne : file:///F:/le%20nouvel%20ordre%20mondial/Les_Protocoles_des_Sages_de_Sion.pdf

La lecture de ce plan fait froid dans le dos : fin des régimes dynastiques chrétiens, détruire la foi en Dieu, pas de morale en politique, abrutir les peuples, les faire s’entre-tuer, contrôler l’information en contrôlant les agences de presse, transférer les guerres sur le plan économique, gouverner les masses en tirant partie des sentiments de haine allumés par l’oppression et le besoin, créer des crises économiques. Le final sera une crise si énorme que les peuples, déçus des nations, en arrivent à souhaiter un despote mondial éclairé (c’est celle qu’on nous promet pour très prochainement).

En 1985, Serge Monat publiait une mise à jour de ce programme extrait d’une loge maçonnique: l’aurore rouge. Il est mort prématurément d’une « crise cardiaque ».

Ils ont également gravé ce plan dans le granit, les Georgia Guidestones, en plusieurs langues, où ils prévoient de réduire la population mondiale à 500 millions, donc d’en détruire 95% pour faire « le bien de l’humanité » à travers une dictature mondiale. (Il faut considérer que ce sont des pervers qui utilisent un langage pervers, décrivant le mal comme un bien : un bel exemple en est Bill Gate avec sa fondation « humanitaire » qui cherche surtout à promouvoir Monsanto et les vaccins avec lesquels il espère « pouvoir réduire la population mondiale de 10% »).

Voir https://www.alterinfo.net/Sites-Sinistres-Les-Georgia-Guidestones_a52667.html

Ils ont infiltré beaucoup de gouvernements mondiaux en commençant par les USA, constituant ce qu’on appelle « l’état profond » comprenant les services secrets, l’armée, le complexe militaro industriel, la presse et la plupart des institutions dites « démocratiques » financées par les banquiers : enseignement, universités, médecine, laboratoires pharmaceutiques,…Tous les présidents qui ont voulu ne serait-ce que créer une monnaie d’état ont été victimes de tentatives d’assassinat souvent réussies. Les banquiers ont légalisé leur coup d’état par la loi sur la réserve fédérale en 1913 qui leur donne l’exclusivité de la création monétaire US.

Le  dernier président qui voulut s’opposer à eux fut JF Kennedy qui tenta d’alerter le monde dans son discours du 27/04/1961 : « notre mode de vie est attaqué….car nous sommes confrontés, dans le monde entier, à une conspiration monolithique et impitoyable qui compte principalement sur des moyens secrets pour étendre sa sphère d’influence  par l’infiltration plutôt que l’invasion, la subversion plutôt que les élections, par l’intimidation plutôt que le libre choix, par guérilla la nuit au lieu d’armées en plein jour.

C’est un système qui a nécessité énormément de ressources humaines et matérielles dans la construction d’un tricot serré, une machine extrêmement efficace qui combine armée, diplomatie, renseignements, opérations économiques, scientifiques et politiques.

Ses préparatifs sont cachés et non publiés. Ses erreurs sont enterrées, non évoquées, ses dissidents sont réduits au silence…..Aucune dépense n’et mise en question, aucune rumeur n’est imprimée, aucun secret n’est révélé ».

(enregistrement original sur archive.org/details/jfk19610427 )

Le peuple n’en a rien su car les médias ont modifié le texte pour faire croire qu’il parlait des communistes et il fut assassiné par la CIA quelque temps plus tard. (C’est la CIA qui a inventé le terme « théorie du complot » pour faire taire ceux qui ne croyaient pas à la version officielle).

Tous les présidents suivants ont été soumis à cet état profond, y compris Obama malgré sa belle présentation. Trump par contre n’était pas leur candidat et il est possible qu’il soit plus intelligent qu’il n’y parait car, tout en leur donnant des gages en apparence, il semblerait qu’il œuvre en catimini à leur destruction, en s’attaquant en particulier aux réseaux pédo-sataniques. (Voir les révélations de wikileaks sur le pizzagate commentées par radio québec).

Il y a eu d’autres lanceurs d’alerte, qui les ont approchés (vidéos de YouTube qui ont disparues) ou même en faisaient partie mais ont publié après leur mort (livre actuellement introuvable). La création de l’UE fait partie de leur plan pour détruire l’identité des nations européennes. La France fait partie des pays les plus corrompus, ce sont ceux qui appartiennent aux loges maçonniques et qui sont désignés par le groupe Bilderberg qui occupent tous les postes de pouvoir : Macron l’a avoué très simplement en off en ne sachant pas qu’il était enregistré https://youtu.be/zix4fa4e3WI

Sans réveil populaire, qui parait fort improbable tant ils ont réussi à abrutir les masses, leur dictature déjà bien avancée va finir de se mettre en place et sera terrible, pire que celle de Hitler (dont ils ont d’ailleurs récupéré les éléments les plus sadiques). Ils ne se montreront qu’à la fin et on ne doit pas en être loin car tous les présidents depuis G.W.Bush en passant par Obama, Sarkozy, Hollande, Macron, parlent ouvertement du Nouvel Ordre Mondial comme étant inéluctable.

Vous trouverez plus loin (dans l’onglet « le  Nouvel Ordre Mondial ») une liste plus détaillée de leurs turpitudes. Ils ont détourné toutes les découvertes faites depuis un siècle qui auraient pu faire une humanité prospère et heureuse pour en faire des armes de guerre contre les peuples d’une puissance destructrice que beaucoup ne peuvent imaginer car elles sont bien sûr secrètes.

Seul espoir: que les « nationalistes » reprennent le dessus sur les « mondialistes ».

 

 

Beaucoup d’incendies en ce moment dans des usines toxiques

 

28/03/19
Billy berclau – 62
Entreprise de conditionnement de plastique
https://pompieractu.fr/billy-berclau-62-incendie-dans-une-…/

Le 9/04/19
Molinons dans l’Yonne – incendie de silos de production agricole – classés Seveso
https://www.google.fr/…/incendie-dans-un-silo-a-grain-a-mo…/

Le 22/05/19
Usine de déchets toxiques de Vendeuil – dans l’Aisne –
https://www.aisnenouvelle.fr/…/un-incendie-se-declare-dans-…

Le 2/06/19
Lédenon près de Nîmes dans le Gard- incendie d’une usine classe Seveso
https://www.midilibre.fr/…/gard-incendie-dans-une-usine-cla…
https://pompieractu.fr/ledenon-30-un-incendie-se-declare-d…/

3/06/19
Saint Ouen l’aumône – usine de déchets industriels dangereux Cogetrad classée Seveso haut niveau
http://www.leparisien.fr/…/saint-ouen-l-aumone-l-embrasemen…

30/06/19
Bourth – dans l’Eure – incendie d’usine d’engrais classée Seveso
https://intensite.net/…/eure-incendie-dans-une-usine-d-engr…

3/07/19
4 incendies en 18 mois à la station d’épuration d’Achères dans les Yvelines – classée Seveso
Le dernier le 3/07/2019
https://www.batiactu.com/…/yvelines-station-epuration-acher…

https://www.google.fr/…/yvelines-la-station-d-epuration-d-a…

7/07/19
Villefranche sur Soane – 69
Incendie d’une usine de produits chimiques classée Seveso après 3 explosions
https://pompieractu.fr/villefranche-sur-saone-69-un-site-i…/

11/08/19
Saint Thibault des vignes -77 – usine de tri de déchets classée Seveso niveau haut
http://www.leparisien.fr/…/saint-thibault-incendie-au-centr…

28/08/19
Samois sur seine – 77 – explosion dans un laboratoire de recherche
https://pompieractu.fr/samois-sur-seine-77-155-personnes-e…/

26/09/19
Rouen
Incendie d’usine de produits chimiques – classée Seveso – 26/09/19
https://www.google.fr/…/incendie-de-lubrizol-rouen-contenai…

30/09/19
Toulouse incendie d’une usine classée Seveso
https://www.google.fr/…/toulouse-debut-incendie-se-declare-…

3/10/19
Sainte Luce sur Loire
https://www.ouest-france.fr/…/video-sainte-luce-sur-loire-i…

1/10/19
Echternach – Luxembourg
Incendie d’une usine de composites classée Seveso
https://pompieractu.fr/echternach-gigantesque-incendie-dan…/

17/09/19
Sibérie
https://www.google.fr/…/russie-explosion-dans-un-laboratoir…
https://www.google.fr/…/la-carte-des-131-sites-seveso-en-il…

Amazonie
https://pompieractu.fr/amazonie-le-poumon-de-la-planete-pa…/

 

 

 

La maladie de Lyme  

                                

C’est une maladie transmise par les tiques, très invalidante et très difficile à détecter et à guérir car la bactérie inoculée a la propriété de se cacher aux yeux du système immunitaire et des médicaments pour réapparaitre sous une autre forme quelque temps plus tard ;

Lyme est le nom d’une petite ville américaine dans laquelle cette maladie est apparue la première fois. Elle est située tout près d’une ile sur laquelle se trouve un laboratoire de l’armée américaine travaillant pour la guerre bactériologique.

Fuite accidentelle ou entrant dans le plan d’affaiblissement et de réduction de la population mondiale ?

Le Titanic a-t-il heurté un iceberg ?

                             

On nous a toujours dit que le Titanic, théoriquement insubmersible à cause de ses compartiments étanches, avait coulé après avoir heurté un iceberg qui avait ouvert plusieurs compartiments à la fois.

Or les fouilles récentes sur le lieu du naufrage ont permis de repérer tous les morceaux qui montrent que le bateau s’est littéralement cassé en 2 au niveau de la salle des machines : la partie avant, un moment retenue par le plancher du fond, a coulé la première, avant que l’arrière ne suive.

Comment un choc latéral, peu violent d’après les survivants, qui n’aurait dû faire qu’une balafre latérale, a-t-il pu casser verticalement le bateau en 2 sur toute sa hauteur ?

L’hypothèse de l’attentat est à envisager quand on sait que ce bateau a été affrété par M. Rothschild et son banquier JP Morgan et qu’il était destiné à embarquer pour son voyage inaugural tous les plus influents milliardaires américains. Or il y avait 2 camps dans ces milliardaires : ceux du NWO et les nationalistes. Comme par hasard, ce sont tous ceux du NWO qui, pour des raisons diverses, n’ont pas pu faire la traversée complète et ce sont les nationalistes qui ont péri : c’est dans la partie avant qui a coulé la première qu’ils étaient.

L’incendie LUBRIZOL

                                    

 

Il s’agit vraisemblablement d’un incendie criminel d’après ceux qui travaillaient dans l’usine : le feu s’est déclaré à 2h du matin dans un endroit où il n’y avait personne ni rien qui puisse allumer un feu, près d’une barrière extérieure.

Qui peut y avoir intérêt ?

Contrairement à l’incendie de Notre Dame, ce n’est pas notre gouvernement à voir son embarras et la mauvaise opinion que son incapacité à protéger la population lui fait.

Certains y voient la main du Mossad (services secrets israéliens) et l’hypothèse est intéressante : le Mossad est effectivement un des bras armés du NWO, probablement à l’origine des attentats du 11 septembre et peut-être d’autres attentats en France. Le plan du NWO est de détruire les états nations en rendant les institutions impuissantes à protéger les populations d’une guerre civile de façon qu’elles aspirent à un gouvernement mondial. La France est particulièrement visée actuellement et M.Macron, même s’il se montre un mercenaire zélé dans la destruction de l’état social, de la vente du patrimoine français à l’étranger, de la perte de l’identité française avec la théorie du genre et l’immigration massive, ne décide pas de tout : il est rappelé à l’ordre dès qu’il s’écarte de la ligne prescrite : l’affaire Benalla est sortie dans les journaux du NWO quand il voulait s’écarter de la ligne du CRIF, ses initiatives de négociation avec l’iran n’ont surement pas plu à Israèl non plus.

Il y a beaucoup d’incendies suspects en ce moment en France : un autre site SEVESO a brulé au Havre peu de temps auparavant, de nombreuses églises prennent feu. Notons enfin que les usines Lubrizol appartiennent à Warren Buffet, un milliardaire américain faisant partie du NWO.

Le CO2 responsable du réchauffement climatique ?

          

On nous présente le GIEC comme un organisme regroupant les meilleurs scientifiques mondiaux dont les conclusions sont par conséquent sans appel : si nous ne réduisons pas drastiquement notre production de CO2, les températures vont grimper dans des proportions dramatiques !

Or il faut savoir que le GIEC est un organisme politique créé par Mme Tatcher dans son combat contre les mineurs, qui finance uniquement les chercheurs étudiant l’influence du CO2, et qui fait ensuite une synthèse personnelle de ces travaux en les falsifiant pour les rendre plus dramatiques. « Les partisans de la thèse du réchauffement climatique causé par l’homme ont subi un coup dur en 2010 lorsqu’il a été découvert que leurs principaux chercheurs, comme l’East Anglia University’s Climate Research Unit et l’Intergovernmental Panel on Climate Change [et le GIEC lui-même], s’étaient livrés à une manipulation généralisée des données, livrant des modèles climatiques erronés, falsifiant les sources et supprimant des découvertes dissidentes ».(Patrick Moore, co-fondateur de GreenPeace)

Il faut savoir que le pourcentage de CO2 dans l’atmosphère est de 0,03%, qu’il risque tout au plus d’atteindre 0,04% et que son effet de serre est 10 fois moins important que la vapeur d’eau : or le GIEC n’a pas étudié l’influence des nuages naturels et encore moins des nuages artificiels créés par la « géoingienerie », nom pseudo scientifique donné aux « chemtrails », épandages chimiques permettant aux militaires de l’OTAN de contrôler le climat à des fins guerrières.

De très nombreux scientifiques, dont certains d’ailleurs ont démissionné du GIEC, ont montré :

_ que les prévisions du GIEC se basent sur « un modèle climatique » qui s’est avéré complètement faux sur les 10 dernières années.(les modèles donnent des résultats très différents suivant les variables que l’on y introduit, et il y a en a un grand nombre) .

_Les carottages fait dans les calottes glacières ont montré que les variations de CO2 ont toujours suivi les variations de température et ne les ont jamais précédées.

_Il y a eu des périodes plus chaudes qu’actuellement qui ont été bénéfiques pour l’humanité.

_Il n’y a pas de corrélation entre la courbe des températures et le pourcentage de CO2 ; par contre, il y a une corrélation très forte entre la courbe des températures et l’activité du soleil (ce qui ne parait pas stupide et pourtant le GIEC a omis de l’étudier).

D’où la question que l’on peut se poser : est-ce que tout cet enfumage médiatique ne serait pas pour nous faire peur et nous faire accepter à la fois des taxes supplémentaires et la réalité des chemtrails que l’on nous cache depuis des dizaines d’années (mais actuellement, il faut vraiment se voiler la face et l’esprit pour ne pas les voir)

Et le dérèglement climatique que l’on constate réellement ne serait-il pas aussi lié à l’action des militaires sur le climat ?

Le CO2 joue exactement le rôle de bouc émissaire: au lieu de se révolter contre un système capitaliste néo-libéral qui détruit la planète et les politiques qui le perpétuent, les populations sont invités à se battre contre les émissions de CO2 avec l’aide des politiques, sans changer le système.

Quelques liens pour préciser les infos:

conférence de François Gervais

Etienne Vernaz

Istvan Marco

Planète

 

La dette

La dette que nous avons envers les banquiers justifie l’obligation de mesures d’austérité, de préférence dans tout ce qui est social. Mais d’où vient cette dette ? On nous dit que cette dette est presque équivalente à notre PIB. Or, dans le PIB, l’argent qui sert à faire plusieurs transactions est compté plusieurs fois, mettons une moyenne de 3 fois. Ce qui veut dire que si nous donnions tout l’argent qui nous sert à commercer, nous serions encore loin de pouvoir rembourser notre dette. Comment est-il possible qu’une dette soit plus importante que l’argent en circulation ? On nous fait croire que c’est parce que nous avons trop dépensé mais la vraie raison est ailleurs :

Nos politiques ont demandé à des banquiers privés de créer la monnaie de l’état et ces banquiers ne nous donnent pas la monnaie qu’ils créent, ils nous la prêtent, ou plus exactement, ils nous la font payer très cher puisque, en échange de leur travail qui consiste à taper quelques chiffres sur un ordinateur, nous devons travailler des années pour leur donner le fruit de notre travail à hauteur du chiffre qu’ils ont tapé plus les intérêts. Le remboursement d’un prêt se comprenait si le banquier prêtait de la vraie monnaie, de la monnaie qui avait correspondu à des richesses réelles. Lorsqu’il prête de la fausse monnaie, de la monnaie qui ne correspond à aucune richesse réelle, nous ne lui devons rien, tout au plus les frais de dossier et de tenue de compte.

L’habitude de s’adresser aux banquiers avait été prise du temps où la monnaie était rattachée à l’or que les banquiers possédaient. Les besoins en monnaie étant plus important que l’or disponible, la monnaie n’est plus rattachée à l’or depuis 1971. Mais qu’importe l’or, la monnaie, par définition, doit toujours être rattachée à une richesse réelle puisque son rôle est de mesurer la valeur des richesses réelles échangées. (Par richesse réelle, il faut entendre tout ce qui se donne en se mesurant : bien matériel, service, tout ce qui correspond à un travail). Pourquoi avoir continué à s’adresser à des banquiers qui ne peuvent faire que de la fausse monnaie ?

Il y a bien d’autres solutions : nous pourrions la créer nous-mêmes. Après tout, quand nous mesurons une longueur, ou un poids, ou n’importe quoi, et que nous avons besoin de garder en mémoire cette mesure, nous l’écrivons nous-mêmes quelque part, nous n’avons pas besoin que quelqu’un l’écrive pour nous. Bien sûr, nous pourrions tricher, écrire comme les banquiers des choses que nous n’avons pas vendues. Le contrôle pourrait venir de l’acheteur qui n’a pas intérêt à ce que vous écriviez trop puisque la même somme est débitée sur son compte. Si l’acheteur n’a pas suffisamment sur son compte, il faut admettre qu’il puisse avoir un compte négatif : sa dette n’est pas alors envers un banquier, mais avec la société ; il doit s’engager à travailler suffisamment pour retrouver un compte positif à terme. Le contrôle doit alors venir de l’état.

Et pour ceux qui travaillent pour la collectivité ? les fonctionnaires, les services publics, les entreprises d’intérêt général donnent des richesses à la collectivité qui doit à son tour leur donner globalement des richesses de même valeur pour satisfaire leurs besoins ; si la collectivité possède la banque centrale, elle peut alors créer de la monnaie correspondant à leur travail avec laquelle ils achèteront les richesses dont ils ont besoin. Plus besoin d’impôts et de taxes pour les payer, on les paye en nature mais on est payé pour cela.

Au lieu d’avoir des dettes irremboursables envers les banquiers, tout le monde s’enrichirait. Imaginez comme cela pourrait changer le monde !

L’incendie de Notre Dame

Il ne faut rien connaitre aux propriétés du bois ou s’empêcher volontairement de réfléchir pour croire un seul instant à un accident : des poutres de cette taille ne s’enflamment pas même sous la flamme d’un chalumeau, elles ne peuvent que se consumer superficiellement lentement ; avec l’âge, elles deviennent aussi dures que de la pierre.

Il faut voir l’ahurissement de l’ancien architecte en chef, M.Mouton, qui avait conduit les travaux de sécurisation de l’édifice : plus aucun circuit électrique ne passait dans la toiture, des détecteurs de début de feu très sophistiqués sonnaient l’alarme dès la moindre fumée, 2 gardiens étaient présents jour et nuit.

Un tel démarrage brutal et la couleur des flammes sont révélateurs de l’explosif utilisé : la thermite, le même que pour les tours jumelles du 11 septembre.

La réaction du gouvernement est révélatrice de qui sont les auteurs : ils ont tout de suite exclu la thèse de l’attentat qui aurait été plus logique. De plus, il a fallu tout une logistique antérieure pour organiser un tel incendie : qui a pu enduire les poutres de thermite pour qu’elles puissent brûler de cette façon ?

La réponse est dans les travaux demandés par la mairie de Paris : elle avait demandé à une entreprise spécialisée de pulvériser sur toutes les poutres un « insecticide » complètement inutile vu l’âge des poutres.

Cette fois, il n’y a pas eu de morts : ils ont fait évacuer les visiteurs juste avant. Le but est certainement une opération immobilière juteuse pour les amis de M.Macron car ils vont pouvoir rénover l’ile de la cité en se passant des règlementations ennuyeuses protégeant les monuments historiques.

On retrouve aussi la lutte idéologique satanique contre la chrétienté car, curieusement et sans qu’on en parle dans les médias, un grand nombre d’églises en France se mettent à brûler inexplicablement.

Voir : Benjamin Mouton ex architecte en chef de Notre Dame

https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2019/04/17/du-vieux-chene-il-faut-mettre-beaucoup-de-petit-bois-pour-arriver-a-le-faire-bruler-benjamin-mouton-ex-architecte-en-chef-de-notre-dame/

explosion notre dame: https://www.facebook.com/2175995052656178/videos/320654255293669/

 

  Comment les banquiers ont pris le pouvoir sur les nations

   

(Ce résumé risque d’en étonner beaucoup : il faut le lire lentement et prendre le temps à chaque découverte de vérifier les informations à l’aide de documents plus détaillés dont certains sont indiqués)

Les hommes ont inventé la monnaie bien avant que les banquiers existent : dans une communauté, la monnaie est ce qui permet de mesurer la valeur de ce qui a été donné afin de se souvenir de cette valeur pour avoir droit à la même valeur en retour. Elle est une amélioration du troc car on n’est pas obligé de trouver le retour chez celui à qui on a donné, c’est une mutualisation des échanges.

Donc n’importe quoi pouvait servir de monnaie : elle pouvait être matérielle (poule, vache, mesure de blé) ou simplement écrite sur un registre comme dans l’Égypte ancienne.

L’or est apparu commode aux commerçants internationaux car il était reconnu comme une richesse intéressante à peu près par toutes les nations qui acceptaient donc d’échanger leurs richesses réelles contre de l’or.

Au lieu de se promener avec leur or sur eux, les bourgeois prirent l’habitude de confier cet or à des orfèvres qui leur remettaient en échange des reçus qui attestaient la quantité d’or déposée, récupérable quand ils voulaient.

Au lieu de récupérer l’or à chaque transaction, ils prirent l’habitude d’échanger seulement des reçus : la monnaie papier basée sur l’or était née.

Mais si cette monnaie basée sur l’or était utile à ceux qui possédaient de l’or, elle n’était d’aucune utilité aux communautés paysannes. Le fait de l’imposer comme monnaie nationale a été un moyen d’asservir les communautés paysannes car, pour en avoir et payer leurs impôts, ils devaient forcément donner leurs richesses réelles à ceux qui  avaient  de l’or : les bourgeois, les seigneurs, les représentants de l’état, les rois.

Les orfèvres sont devenus banquiers quand ils ont commencé à tricher : voyant que tous les déposants ne venaient pas rechercher leur or en même temps, ils commencèrent à émettre plus de billets qu’ils n’avaient d’or sous forme de prêts avec intérêts ; si le prêt était remboursé, ils s’étaient enrichis avec de la fausse monnaie. Les utilisateurs ne se rendent compte de rien car un faux billet accepté par les autres joue le même rôle qu’un vrai billet. La supercherie n’était découverte que si, perdant confiance, tous les détenteurs venaient réclamer leur or en même temps.

Les rois avaient le droit de battre monnaie, qui devait être basée sur l’or aussi. Mais l’or étant en quantité finie et les besoins en monnaie de plus en plus grands, ils commencèrent par dévaluer la monnaie (les pièces et billets correspondaient à de moins en moins d’or) puis se mirent à emprunter aux riches (en échange de rentes à vie) et ce fut la cause de leur perte car les riches bourgeois se firent de plus en plus gourmands au point que l’état étant en quasi faillite, ils purent renverser le roi Louis xvi en 1789.

Contrairement à ce qu’on nous apprend, la révolution de 1789 ne fut pas une révolution populaire mais un coup d’état de la bourgeoisie sur la noblesse et la république qu’ils instaurèrent ne se voulait pas une démocratie mais un système représentatif qui leur permettait de conserver le pouvoir sur le peuple. Le roi n’était pas tout puissant, c’était plutôt un défenseur du peuple et de la nation contre ceux qui l’exploitaient, en garantissant un prix du pain stable. C’est quand il n’a plus pu le faire que le peuple a fini par se révolter.

Les seuls qui restaient à pouvoir créer de l’argent basé sur l’or étaient les banquiers, et comme personne n’allait voir leur réserve d’or, ils créèrent de plus en plus de fausse monnaie dette, d’abord subrepticement, puis avec la complicité des politiques pour ceux qui prenaient la place de banque centrale.

Or il faut bien comprendre que le fait d’être le seul à pouvoir créer la monnaie de l’état place celui qui le fait au-dessus de l’état car il met l’état en dette envers lui et oblige donc toute la nation à travailler pour lui. Lorsqu’un état crée sa propre monnaie, il ne peut être en dette avec aucun particulier, seulement avec un autre état si sa balance commerciale n’est pas équilibrée.(Nous n’aurions pas de dette si l’état n’avait pas renoncé à créer sa propre monnaie. Si la création monétaire était sous contrôle citoyen et servait à payer ceux qui travaillent pour la collectivité, il n’y aurait pas non plus besoin d’impôts et de taxes. Voir la page « le système monnaie pleine citoyenne »).

Le premier qui a bien compris le pouvoir que donnait le fait de prêter à un état fut un juif du ghetto de Francfort, un certain Mayer Amschel Bauer, qui se fit par la suite appeler Rothschild. Il conçut dès le départ un plan machiavélique étalé sur plusieurs générations qui doit permettre à sa dynastie et ses alliés de prendre à terme le pouvoir sur la terre entière. Ce plan se veut aussi une revanche de la religion juive sur la chrétienté.

Il envoya donc ses 5 fils occuper les banques centrales des principaux pays européens. Le plus important fut sans conteste Nathan Mayer Rothschild qui pris possession de la Banque d’Angleterre avec la bénédiction du roi Guillaume d’Orange. Les banquiers, qui avaient commencé dans la malhonnêteté et le péché (toutes les religions à l’origine interdisaient l’usure, le prêt avec intérêt, sauf la religion juive) avaient continué en inventant la spéculation qui leur permettait de gagner encore plus d’argent sans apporter de richesse réelle ; et dans ce jeu, il n’y a plus aucune morale, c’est le plus malhonnête qui gagne. Ainsi, Nathan Rothschild multiplia par 2 sa fortune déjà considérable en faisant croire à la victoire de Napoléon à Waterloo, ce qui fit chuter toutes les actions anglaises qu’il racheta à bas prix avant que la vérité éclate et les fasse remonter. Le jeu et l’esprit sont les mêmes aujourd’hui avec des moyens informatiques beaucoup plus puissants.

A la même époque, Napoléon avait donné la Banque de France également à des banquiers privés et n’a compris sa douleur qu’à la fin de sa vie.

A la même époque, les colonies anglaises d’Amérique prospéraient car elles avaient créé leur propre monnaie : les banquiers londoniens demandèrent au roi d’interdire cette monnaie et d’ordonner l’utilisation de la monnaie des banquiers : la récession et la misère qui s’ensuivit fut la véritable cause de la guerre d’indépendance.

Bien que la constitution des nouveaux états d’Amérique indique que c’est au congrès de créer la monnaie, ce sont les banquiers américains, soutenus dans l’ombre par les banquiers londoniens, qui dirigeaient en fait le pays, faisant ou défaisant les présidents en payant ou non leur campagne électorale, faisant de Wall Street un casino boursier qui apportait régulièrement au pays crises et récessions.

Les banquiers n’étaient que la tête du complot mais n’agissaient pas seuls : maîtrisant le crédit, ce sont eux qui pouvaient décider qui peut devenir riche ou pas, les grands industriels et l’état sont devenus leurs obligés, les banquiers ont pris en main le système éducatif, les universités, les médias. Petit à petit, toute l’administration américaine va se composer de banquiers, de préférence juifs.

Tous les présidents qui ont voulu s’opposer aux banquiers en créant une monnaie d’état ont été victimes d’attentats ou assassinés :  Jackson y échappa car l’arme s’est enrayée, Zachary Taylor est mort empoisonné à l’arsenic, James Buchanan, après avoir voulu encadrer les banques, a résisté à un empoisonnement à l’arsenic .Pour financer la guerre de sécession, Lincoln émit une monnaie gouvernementale, le billet vert et avait promis de s’attaquer aux banquiers une fois la guerre finie: «J’ai deux grands ennemis: l’armée du Sud en face et les banquiers en arrière. Et des deux, ce sont les banquiers qui sont mes pires ennemis. » Il fut assassiné 5 jours plus tard, le billet vert disparu, une formidable restriction du crédit s’ensuivit, organisée par les banques. James A. Garfield fut élu ensuite sur le programme de reprendre un contrôle gouvernemental de la monnaie : « celui qui contrôle la monnaie d’une nation contrôle la nation ». Il fut abattu un an plus tard. Il y eut encore Mac Kinley, élu en 1896, qui assainit le budget de l’état en ne recourant pas à l’emprunt et parlait de mettre le dollar sous contrôle d’état quand il fut assassiné en 1901.

Le coup d’état des banquiers fut légalisé en 1913 avec la « loi sur la réserve Fédérale », votée avant Noel à grand renfort de propagande et de corruption des députés, qui institue comme Banque Centrale des USA un consortium de quelques banques privées anglo-américaines indépendantes du gouvernement.

Ce sont elles qui organisèrent la crise agricole de 1920, la grande dépression de 1929 (il suffit de restreindre le crédit en augmentant les taux d’intérêts), qui permirent aussi à Hitler d’entrer en guerre en le finançant. Les guerres sont très intéressantes pour ces banquiers car elles leur rapportent 2 fois, pour les financer et pour reconstruire ; et, de plus, elles entrent dans leur plan de destruction des nations pour établir leur nouvel ordre mondial sous leur direction.

Après la guerre de 39/45 qui avait appauvri les états européens et enrichi les USA, la grande majorité de l’or avait été rapatrié à la réserve fédérale. Ceci permit au dollar, avec les accords de Brettons Woods, de rester la seule monnaie étalonnée sur l’or, donc de devenir l’étalon des monnaies internationales, ce qui donne aux USA et à la FED un pouvoir international.

La FED, conformément à son habitude, en profita pour émettre beaucoup plus de dollars qu’elle n’avait d’or et, quand des pays comme la France de De Gaulle commencèrent à s’en apercevoir et à vouloir échanger des dollars contre de l’or, Nixon en 1971 suspendit la convertibilité du dollar en or.

Donc actuellement les banquiers de banques centrales privées (et elles le sont presque toutes) peuvent créer légalement autant de monnaie qu’ils veulent ne correspondant à aucune richesse réelle, autrement dit de la fausse monnaie. Par le système des « réserves fractionnaires », tous les autres banquiers peuvent aussi créer de la fausse monnaie quand ils font des crédits lorsqu’ils ont un peu de fausse monnaie de banque centrale en réserve. 95% de la monnaie créée est déconnecté des richesses réelles et ne sert qu’à alimenter des bulles spéculatives.

Ce système est fou et conduit l’humanité à sa perte car il ne peut survivre que dans une croissance permanente qui oblige à s’endetter davantage pour payer les intérêts des premiers emprunts dont l’équivalent en monnaie n’a pas été créé.

De plus, comme la monnaie n’est créée que sous forme de dette, il nous enchaîne dans une dette exponentielle et impossible à rembourser envers les banquiers, ce qui leur permet de nous faire travailler toujours plus en nous mettant dans une austérité de plus en plus grande. Peu de gens parmi la population, les politiques et même les petits banquiers comprennent la folie du système, mais les grands banquiers qui le pilotent, avec à leur tête les Rothschild l’entretiennent sciemment à leur profit.

L’immense pouvoir que leur donne le fait de contrôler la monnaie, le sentiment d’impunité due au fait de pouvoir agir malhonnêtement sans être inquiété par personne les a fait se sentir au-dessus des lois du commun des mortels, se prendre pour une élite qui devait gouverner le monde en continuant à faire le mal. Ils se font appeler les « illuminati » mais ce terme ne leur va pas car ils représentent plutôt l’ombre que la lumière ; ou les « élites » car ils se pensent d’une race supérieure qui considère le reste des humains comme du bétail industriel. Nous les nommerons plutôt les AMBO (Association de Malfaiteurs en Bande Organisée) ou « la Mafia » car ils en ont les méthodes et, si la justice n’était pas corrompue elle aussi, ils devraient être poursuivis et emprisonnés. Mais ils ont réussi à corrompre aussi la justice.

Leur plan a été conçu il y a 2 siècles, écrit dans « les protocoles de Sion », gravé dans le granit sur les Georgia Guidestones en Géorgie. Il prévoit de réduire progressivement la population mondiale à 500 millions en contrôlant et robotisant ceux qui restent pour les servir.

Très peu sont au courant des vrais buts du complot : les initiés se retrouvent dans des réunions plus ou moins secrètes (Bilderberg) ou dans des sectes comme celle des Francs-Maçons qu’ils ont détourné de leur but originel, où ils y pratiquent des rites sataniques.

Ce sont eux qui firent créer l’état d’Israël comme fer de lance dans les pays arabes pour les contrôler.

Le dernier président américain qui prit conscience de cet état dans l’état et voulut s’y opposer fut J.F.Kennedy : il fut assassiné car la Mafia contrôlait maintenant aussi les journaux, l’armée et les services secrets. (Voir le chapitre sur son assassinat)

Après son assassinat, la voie était ouverte pour conquérir le monde, mais subrepticement, avec une multitude d’armes nouvelles, et en prenant soin de présenter ces avancées comme un progrès inéluctable :

_Le système idéologique et économique « néo-libéral » qui demande aux états d’ouvrir leur frontière, donc de ne plus protéger leurs industries et de se saborder en laissant faire « la main invisible du marché » (que eux contrôlent en fait).

_Le contrôle des principaux médias officiels mondiaux qui leur permet de travestir les réalités et de faire croire à la majorité des peuples qu’ils vivent encore en démocratie. (Voir leurs principales « fake-news). Cela leur permet également de faire élire des politiques corrompus entièrement dévoués à leur solde.

_L’enchaînement des principaux pays européens dans une « Union » qui les paralyse et dépossède les états de leur autonomie.(Voir « les dessous de l’UE »)

_La gouvernance par la peur en organisant des attentats pour faire passer des lois liberticides, des guerres, de fausses révolutions, des immigrations massives pour déstabiliser nos pays européens dans leur identité et provoquer des guerres civiles.

_Le détournement de toutes les inventions qui auraient pu améliorer la vie des populations au profit d’applications militaires secrètes destructrices envers les populations.

_L’utilisation des progrès de l’informatique pour accroitre les moyens de surveillance de la population (smartphone, linky, intelligence artificielle). La suppression à venir de l’argent liquide, présentée comme un progrès car une majorité utilise surtout les cartes de crédit, prochainement remplacées par des puces implantées, leur donnera un contrôle total sur chacun de nous.

_Le contrôle des armées de tous les pays adhérant à l’OTAN pour organiser des guerres contre les nations qui résistent (Irak, Libye, Syrie,Iran).

(Tous ces points sont détaillés plus loin : il faut avancer lentement en prenant soin de tout vérifier pour être convaincu : ce peut être déprimant mais il faut aller jusqu’au bout car il y a aussi des lueurs d’espoir et des possibilités de résister)

Nous approchons de la phase finale : quand les nations auront fini de s’auto-détruire ou de s’entre-détruire, ils espèrent que les peuples épouvantés appelleront de leurs vœux le gouvernement mondial qu’ils veulent installer.

Il reste cependant quelques lueurs d’espoir :

_Certains pays résistent : la Russie de M. Poutine, la Chine, l’Iran, la Syrie qui ne sont pas non plus des démocraties mais sont nationalistes, refusant d’auto-détruire leur pays comme le fait M. Macron en France. M. Macron est un serviteur zélé de cette Mafia, il fait partie de la secte des Francs-Maçons, comme M. Edouard Philippe, (comme M. Mélenchon, M. Sarkozy,…), comme aussi M. Obama, malgré sa belle prestance. La France est parmi les pays les plus corrompus par la secte des Francs Maçons qui a infiltré tous les lieux de pouvoir, y compris la justice: ceux qui en font partie sont au-dessus des lois et peuvent faire ce qu’ils veulent, y compris des crimes pédo-sataniques (voir une des premières émissions d’Elise Lucet); ceux qui les gênent ne sont protégés par aucune loi (voir cet interview d’un professeur d’université envoyé illégalement de force dans un hôpital psychiatrique car il refusait la corruption)

_Le président Trump, même s’il n’est pas sympathique à beaucoup et parait inconstant dans ses actes, est un grain de sable dans leurs projets car il est nationaliste et arrive parfois à s’opposer à cet « état profond ».

_L’augmentation de ceux qui ont compris que nous allons vers une destruction d’une grande partie de la vie sur cette planète et qui cherchent à la protéger par des initiatives locales. Malheureusement, faute de s’unifier et de pouvoir agir à un échelon national, faute d’une compréhension globale de ce qui se passe vraiment à cause de la désinformation des médias, il est peu probable qu’ils arrivent à s’opposer efficacement. Les oppositions efficaces en France seraient :

. Ne pas faire confiance aux médias officiels pour nous informer et chercher d’autres points de vue afin de se forger une opinion. Il y a de tout sur internet mais aussi des journalistes, des scientifiques, des témoins sincères, indépendants et compétents, sans conflit d’intérêt.

. Ne pas accepter les lois liberticides ou destructrices de la nation. Ecrire et obéir à notre propre constitution (voir la page « constitution« )

. Utiliser le moins possible l’argent des banquiers qui se nourrissent sur notre consommation : acheter local et bio, fuir les multinationales, adhérer à des SEL.

. Voter pour un président nationaliste compétent et honnête, il en existe un en France mais il est marginalisé par les médias.

 

Et pour avoir plus de force, nous pourrions nous grouper en association. Rejoignez-nous en le mentionnant sur un commentaire (cela apparaîtra pas dans le commentaire) ou en utilisant la rubrique « contact ».

 

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L’assassinat du président Kennedy

La principale preuve qu’il y avait plusieurs tireurs, contrairement à ce qu’a affirmé la commission d’enquête, est un film tourné par un spectateur, qui montre un panneau endommagé par un tir venu d’ailleurs au même moment que celui de

Ce film a été acheté très cher par le magazine life (Rockefeller) avec une copie au FBI. Quand il a été montré à la commission d’enquête, il avait été « endommagé » et la partie où on voyait l’impact sur le panneau supprimée.

Ceci suffit à montrer l’implication du FBI dans cet assassinat. Le FBI, comme la CIA, fait partie de cet « état profond », véritable état dans l’état auquel le président Kennedy voulait s’attaquer : « Nous sommes confrontés, dans le monde entier, à une conspiration monolithique et impitoyable qui compte principalement sur des moyens secrets pour étendre sa sphère d’influence par l’infiltration plutôt que par l’invasion, la subversion plutôt que les élections, par l’intimidation au lieu du libre choix, par guérillas la nuit au lieu d’armées en plein jour. C’est un système qui a nécessité énormément de ressources humaines et matérielles dans la construction d’un tricot serré, une machine qui combine armée, diplomatie, renseignements, opérations économiques, scientifiques et politiques. »

Sources : media-presse.info/archives-le-discours-de-Kennedy-évoquant-conspirations-et-sociétés-secrètes

Et : www.jfklibrary.org/research-aids/JFK/American-Newspaper-Publishers-Association-19610427.aspx

Il demandait aux journaux d’informer le public pour le soutenir mais les journaux, déjà inféodés au système, ont trahi ses propos en faisant croire qu’il parlait des communistes.

A la tête de cet état profond se trouvent les grands banquiers qui tiennent leur puissance du pouvoir de création monétaire que des politiques corrompus leur ont accordé (voir le chapitre sur les banquiers). JFK s’attaquait aussi aux banquiers : il venait de promulguer un décret autorisant l’état à battre monnaie. Le premier acte politique que fit Johnson (qui faisait partie du complot) fut d’annuler ce décret.

Théorie du complot

                                

Cette phrase, qui sert à faire taire tous ceux qui dévoilent un plan de gouvernance mondiale, (comme si un complot pour prendre le pouvoir sur les peuples était inimaginable alors que notre histoire en est remplie), a été introduite par la CIA pour faire taire ceux qui mettaient en doute la version officielle de l’assassinat du président Kennedy. Or on sait maintenant de façon certaine (voir le sujet suivant) qu’il y avait plusieurs tireurs, que le FBI était impliqué et qu’il s’agissait bien d’un complot contre un président qui tentait justement de dénoncer ce complot.

Cet assassinat a achevé le coup d’état et montré que ce n’était plus le président qui contrôlait les USA mais un « état profond » regroupant les services secrets,  le complexe militaro-industriel, et une bonne partie de l’administration. Le coup d’état avait commencé en 1913 avec la loi de la « réserve Fédérale » aux USA qui donnait à quelques banquiers privés le pouvoir de créer toute la monnaie des USA et un peu plus tard du monde puisque le dollar est devenu la monnaie des échanges internationaux. Ce pouvoir immense leur a permis de se placer au-dessus des états, de corrompre toutes les institutions démocratiques et d’envisager une gouvernance mondiale. La différence avec les coups d’état précédents, c’est que les véritables auteurs ne se montrent pas en public et agissent dans l’ombre, corrompant le système économique, les institutions démocratiques, les médias et les politiques pour que les nations s’auto-détruisent en vue du « Nouvel Ordre Mondial » des banquiers.

Et la majorité des populations, manipulée par de fausses informations, bien que sentant un malaise, n’arrive pas à comprendre qu’elle est déjà sous dictature  car les médias officiels qui leur appartiennent entretiennent l’illusion démocratique en manipulant l’information : il y a plus de « fakes news » dans les médias officiels que sur internet : nous vous invitons donc à multiplier vos sources d’information avant de forger votre propre opinion.

Chemtrails (traînées chimiques en Français)

 

La question n’est pas de savoir s’ils existent ou pas, ils sont au-dessus de nous de façon quasiment quotidienne : il suffit de regarder le ciel un jour qui devrait être de beau temps pour voir des avions arriver de différents coins du ciel, se croiser, faire des quadrillages en laissant derrière eux de longues traînées blanches qui ne disparaissent pas mais se diluent et finissent par rendre le ciel blanchâtre. Ce ne sont pas des traînées normales de réacteurs que l’on peut voir sur d’autres avions, qui, elles, sont des traînées de condensation qui ne sont pas très longues et disparaissent sans laisser de traces.

Ce phénomène me semble relativement nouveau en France, depuis que nous avons réintégré l’Otan, mais dure depuis des dizaines d’années aux USA. Nié par les pouvoirs publics, il est dénoncé par des scientifiques et des associations qui ont analysé les retombées et trouvé de l’aluminium, du baryum, du strontium, des phtalates (perturbateurs endocriniens) et autres substances toxiques. Le plus grave est constitué par les nanoparticules d’aluminium qui produisent la maladie Alzheimer lorsque nous les respirons et qu’elles se fixent sur le cerveau, qui polluent les sols et détruisent les plantes.

_D’autres nano particules programmées pour se regrouper produisent la maladie des Morgellons : elles de déplacent sous la peau et ressortent sous forme de fils.

Ces faits sont avérés et méritent à eux seuls que nous nous mobilisions pour faire cesser ces épandages.

La question qui n’a que des réponses hypothétiques est de savoir pourquoi ils font ces épandages :

_Géo-ingénierie pour nous protéger du soleil et éviter le réchauffement climatique ?

_Ou nuages artificiels pour contrôler militairement le climat afin de pouvoir provoquer à volonté sécheresse ou inondations ?

_Ou épandages volontairement toxiques pour nous affaiblir et mieux nous contrôler, nous stériliser pour diminuer la population mondiale, tuer la vie naturelle pour nous obliger à acheter des plantes résistant à l’aluminium créées par Monsanto (les brevets ont été déposés)

 

Documents en Français :

_Livre de Claire Séverac « la guerre secrète contre les peuples » bien documenté

_La présentation de son livre en vidéo : https://youtu.be/qA7vWgC7L_Y

_Un documentaire américain avec sous-titres en Français : https://youtu.be/Kw41ZubwAM8

_Composition des chemtrails : https://youtu.be/m5oibhwHkXM

_Dénonciation des chemtrails en Californie : https://youtu.be/zQAwcrODu8w

_Conférence d’un chercheur américain : https://www.facebook.com/LaCavernedeCaerbannoglelapinblanc/videos/585064794967920/

_Groupe “chemtrails géo-ingénierie” sur Face-Book

 

 

11 septembre 2001

Cette fiche est le résumé du livre de Ray Griffing qui a passé des années à enquêter sur ce qui s’était réellement passé le 11 septembre 2001.Il montre que la commission d’enquête a volontairement négligé un certain nombre de faits et de témoignages qui prouvent indubitablement que la version officielle est fausse et que le FBI et la haute administration Américaine sont impliqués dans ce qui s’est passé.

En voici les principaux :

-Les tours se sont écroulées sur elles-mêmes comme dans une destruction contrôlée alors qu’elles avaient une structure en nid d’abeille conçue pour résister à l’impact d’un avion et qu’il est impossible qu’un incendie provoqué par un avion atteigne la température qui puisse faire fondre la structure métallique. Une troisième tour s’est écroulée de la même façon alors qu’elle n’avait été touchée par aucun avion.

-De nombreux témoins (que la commission a refusé d’entendre) ont entendu des explosions venant du sous-sol. On voit sur les vidéos des explosions avoir lieu juste en dessous de la partie qui s’écroule et projeter violemment le métal vers l’extérieur.

-On a retrouvé dans les poussières des traces de thermate, puissant explosif utilisé par les militaires capable lui de faire fondre instantanément l’acier.

-Il est impossible qu’un avion qui s’écrase sur un immeuble disparaisse immédiatement dans celui-ci sans se casser comme le deuxième avion l’a fait : était-ce un hologramme ? ou un montage cinématographique ? On n’a retrouvé aucun débris d’avion dans les décombres.

-Aucun avion ne s’est écrasé sur le pentagone : on voit sur les photos que la pelouse est intacte et qu’il n’y a aucun débris d’avion. Or, il est impossible qu’un Boeing disparaisse sans laisser de traces dans un trou de 5m de diamètre.

-Le Pentagone est ultra protégé avec des missiles qui se déclenchent automatiquement à l’approche d’un avion sauf s’il s’agit d’un avion militaire. La manœuvre pour y arriver n’est réalisable que par un excellent pilote et les supposés pirates ne l’étaient pas.

-Pourquoi des avions détournés ont-ils pu voler 90mn sans être interceptés alors que la défense aérienne est très efficace ? La plupart des avions de chasse étaient occupés ce jour-là à des manœuvres anticipées et les officiers importants absents ou remplacés par des néophytes inexpérimentés. Pour les 4 avions qui restaient, la procédure d’interception avait été changée 2 mois auparavant : au lieu d’être à l’initiative du pilote en cas de danger, il fallait demander au préalable l’autorisation au Pentagone. Or, ce matin-là, Donald Rumsfeld au Pentagone ne répondait pas.

-Tous ceux qui ont failli à leur mission ce jour-là, au lieu d’être réprimandés, ont été promus.

-Des familles ont reçu des appels de passagers : or, à cette époque, les portables ne pouvaient pas émettre d’un avion.

-Malgré ses énormes moyens, le FBI n’a jamais apporté la preuve de la culpabilité de Ben Laden et d’ Al Quaïda : celui-ci n’a jamais revendiqué l’attentat alors qu’il aurait pu en tirer gloire (les vidéos trouvées après coup sont manifestement truquées). On n’a aucune preuve que celui qui a été assassiné et jeté à la mer (pourquoi ?) était bien lui.

-Al Quaïda a été créé en 1989 par la CIA : c’est une liste de participants à la guerre d’Afghanistan, formés et embauchés par la CIA (sous couvert d’une société privée), utilisés dans le conflit en Bosnie. Contrairement à ce qui a été dit, ils étaient toujours commandés et payés par la CIA en 2001. C’est la CIA qui en a fait entrer plusieurs aux USA peu de temps avant le 11 septembre, alors que leurs papiers n’étaient pas conformes. Ils n’ont pas été discrets et ont passé leur temps à se faire remarquer en prenant des cours d’aviation (sans grand résultat, Mohamed Atta n’arrivant pas à faire décoller un petit avion).

_La liste des passagers des avions « détournés » n’a jamais été publiée par les compagnies concernées. Le FBI en a publié une manifestement fantaisiste, plusieurs ayant fait savoir par la suite qu’ils n’y étaient pas.

_Des systèmes automatiques de repérage des avions montrent que les vols indiqués ou n’existaient pas, ou se trouvaient ailleurs au moment de l’impact (source Nexus 124).

-Un individu dangereux, par contre, Moussaoui, qui voulait apprendre à décoller mais pas atterrir, avait été signalé aux autorités, sans suite.

-la commission d’enquête a été mise en place tardivement sous la pression populaire, avec peu de moyens et a refusé d’examiner tous les témoignages et les faits qui pouvaient remettre en cause la version officielle.

 

Enfin, comme dans toute enquête criminelle, on peut se demander à qui profite le crime :

-Ben Laden n’en a manifestement pas beaucoup profité

-Ces tours n’étaient plus le joyau de l’Amérique car elles étaient devenues obsolètes et pas rentables : conçues avant l’interdiction de l’amiante, elles en étaient bourrées et le devis pour désamianter s’élevait à des sommes astronomiques, plus cher que d’en reconstruire une neuve. Pourtant, quelques mois avant, un homme d’affaires fortuné, Larry Silverstein, en fit l’acquisition pour plus de  3 milliards et s’empressa de les assurer contre les attentats pour de fortes sommes. Il y installa ses bureaux et y vint régulièrement sauf ce jour-là, « sa femme ayant pris un rendez-vous chez un médecin ». Comme il y  eu 2 avions, il réclama le double à l’assurance (7 milliards). C’est le gouvernement qui interdit à l’assurance de faire une contre-enquête et fixa le montant à verser (4,5 milliards) Non seulement il n’a pas eu à désamianter (c’est la population de New York qui en a respiré les vapeurs), mais il a récupéré plus que sa mise et se retrouve propriétaire d’un terrain constructible qui vaut une fortune.

-Il y a eu en bourse d’immenses spéculations à la baisse juste avant les attentats sur les compagnies aériennes et sur les assurances qui ont généré des milliards de profits. Qui savait ?

-La troisième tour contenait des bureaux du FBI qui enquêtait sur des faillites frauduleuses : dossiers perdus.

-La partie du Pentagone qui a explosé était celle qui enquêtait sur la « disparition » de 2300 milliards de dollars annoncée la veille par Donald Rumsfeld.

-Le choc créé sur la population a permis de déclencher la guerre en Afghanistan et en Irak qui était déjà programmée.

-Il a aussi permis de faire voter une série de lois liberticides qui, sous couvert de s’attaquer aux « terroristes », permet d’emprisonner sans jugement tout citoyen un peu trop critique envers le gouvernement.

 

Notons enfin que l’oligarchie qui dirige de façon secrète les USA est coutumière de ce genre de manipulation : quand il a fallu déclarer la guerre à l’Espagne pour prendre de vitesse les révoltés cubains, un navire Américain a explosé dans le port, tuant tous les marins (mais pas les officiers qui avaient un repas à terre) ; à Pearl Harbour, les chefs des armées et le président Roosevelt étaient prévenus de l’attaque des japonais mais ils n’ont pas avertis les commandants de la base : 3000 morts ont convaincu la population d’entrer en guerre.

 

Cela est tellement épouvantable et tellement contraire à l’image que nous pouvons avoir des USA qu’il serait plus confortable de le nier ; mais plus on se documente, plus on est convaincu de l’implication d’au moins une partie de la CIA et de la haute administration américaine dans ces attentats. Notons aussi l’intéressante analyse d’Olivier Demeulenaere qui montre l’importance d’Israêl avec son mossad et tous les juifs infiltrés dans l’administration américaine dans l’organisation de cet attentat. Le sujet est encore tabou en France mais plus de 50% des américains sont convaincus que le gouvernement leur a menti. Ceux qui veulent en savoir davantage peuvent lire le livre de David Ray Griffin « un autre regard sur le 11 septembre » traduit en Français aux éditions Demi-Lune ou aller voir sur You Tube le site Reopen 911 ou consensus 9/11 ou voir le film de Massico Mazzucco « 11 septembre : le nouveau Pearl Harbor »

 

Un film bien documenté sur les mensonges de la version officielle :

https://youtu.be/VGjFCCCF0AA

Les révélations d’une agent de la CIA qui négociait avec l’Irak :

https://www.youtube.com/watch?v=Vd0vxcARIvs

Comprendre simplement l’arnaque bancaire

  Point n’est besoin d’être économiste (et peut-être même vaut-il mieux ne pas l’être pour ne pas avoir été formaté sur des idées fausses) pour comprendre comment devrait fonctionner un système monétaire et pourquoi celui qu’on nous a instauré ne peut conduire qu’à une impasse : un raisonnement logique inattaquable et accessible à tous permet de le démontrer très simplement.

La monnaie a été inventée pour élargir le troc à une communauté : au lieu que celui qui reçoit soit obligé de rendre un équivalent à celui qui a donné, elle permet de rendre l’équivalent à n’importe quel membre de la communauté. Pour cela, il faut introduire une mesure de la valeur du don, et que cette valeur se conserve dans le temps, pour permettre de rendre si on a reçu ou recevoir si on a donné pour la même valeur. Qu’elle soit scripturale ou matérielle, la monnaie n’est donc que l’écriture symbolique d’une mesure (cette écriture a d’ailleurs précédé les pièces comme le montrent les registres de l’Egypte ancienne), elle mesure la valeur de ce qui a été échangé, les vraies richesses étant ce qui a été donné (bien, service, transmission de savoir ou de savoir-faire, tout ce qui correspond à un travail) et ce qui sera acheté.

Pour que le système soit fiduciaire (digne de confiance), il faut que soient remplies 3 conditions :

_La mesure doit être exacte, approuvée par celui qui donne et celui qui reçoit, et le système ne doit pas autoriser les faux-monnayeurs, ceux qui se fabriquent une monnaie ne correspondant à aucune richesse réelle vendue.

_Comme toutes les unités de mesure, elle doit être étalonnée sur quelque chose de stable et pouvoir se conserver dans le temps sans modifier sa valeur.

_Elle doit être acceptée par celui à qui on veut acheter, ce qui suppose un accord de toute la communauté pour l’utiliser, ou des lois rendant son acceptation obligatoire comme c’est le cas pour la monnaie légale.

Nous avons actuellement une monnaie légale qui n’est pas fiduciaire car les 2 premiers points ne sont pas respectés :

_Les banquiers privés ordinaires ou de banque centrale créent « ex nihilo » (non pas « à partir de rien », ce qui est normal, mais « ne reposant sur rien » c’est-à-dire sans richesse réelle associée, ce qui est scandaleux) la monnaie que les particuliers ou les états leur empruntent : c’est exactement la définition du faux monnayeur (comme le faisait justement remarquer Maurice Allais, prix Nobel d’économie). Dès leur création, les banquiers ont été des orfèvres devenus malhonnêtes en émettant plus de billets qu’ils n’avaient d’or en dépôt. Au début, ce n’étaient que de petites quantités, environ 30% des dépôts qui, en temps normal, n’était jamais retiré. Actuellement, ils peuvent créer 20 fois plus de fausse monnaie que ce qu’ils ont en dépôt, sans compter que la monnaie en dépôt est déjà probablement de la fausse monnaie d’une autre banque. Ceux qui utilisent ensuite cette monnaie ne se rendent compte de rien car elle va être utilisée pour mesurer de vraies richesses et elle pourra servir à acheter de vraies richesses puisque l’état rend son acceptation obligatoire. Les seuls au courant de l’arnaque sont les banquiers et les politiques complices.

Cette arnaque est invisible pour la majorité mais a des conséquences visibles très graves dont la majorité a du mal à comprendre les raisons : tout l’argent quasiment mondial étant créé de cette façon, tout l’argent qui circule dans le monde  appartient aux banquiers et doit leur être rendu ; l’argent des intérêts n’ayant pas été créé, les dettes ne peuvent même pas être remboursées. Comment expliquer sinon que la dette mondiale soit égale à 3 fois le PIB mondial ? (Sachant en plus que le PIB est beaucoup plus important que la masse monétaire en circulation puisque un même billet qui participe à plusieurs transactions est compté plusieurs fois dans le PIB), comment une telle dette pourrait être remboursée ? Comment est-il possible qu’une dette soit plus importante que la masse de monnaie en circulation ? Pour masquer l’arnaque, il faut une croissance permanente pour que les nouveaux  emprunts permettent de rembourser les intérêts des anciens. Quand la croissance n’est pas assez importante, le système ne peut que s’écrouler, ce qui est le cas actuellement. Il est maintenu sous perfusion par le « Quantitative Easing », c’est-à-dire une production énorme de fausse monnaie quasiment sans intérêt par les banques centrales pour empêcher les banques de s’effondrer mais, comme elles s’en servent pour spéculer, cela  ne fait qu’empirer le mal en gonflant des bulles qui ne pourront que crever.

Les dettes aux banquiers sont complètement fictives mais servent à asseoir le pouvoir des banquiers sur le monde. Quand un faux monnayeur vous donne de la fausse monnaie, vous lui devez si vous êtes complice le prix de la fabrication, c’est-à-dire pas grand-chose quand il s’agit de taper des chiffres sur un ordinateur, un petit peu plus quand il faut imprimer des billets. La vraie dette que vous avez n’est pas envers le banquier mais envers la société car vous achetez avec cette fausse monnaie de vraies richesses et il faudra que vous produisiez ensuite des richesses pour la même valeur.

Et quand il s’agit de l’état, les conséquences sont encore plus grave : ce sont les banquiers qui dirigent la politique des états, obligeant à des politiques d’austérité pour rembourser ne serait-ce que les intérêts d’une dette exponentielle ; ce sont eux qui décident des investissements à faire, choisissant les plus rentables pour eux et non les plus profitables à la société, ce sont eux qui obligent la nation à se vendre pour essayer de rembourser une dette fictive.

_Le deuxième point qui rend notre monnaie légale non fiduciaire est le fait qu’elle ne conserve pas la valeur initiale :

. Elle n’est plus étalonnée sur rien. Elle a longtemps été étalonnée sur l’or qui avait un cours relativement stable mais n’était pas un bon étalon non plus : à quoi sert de pouvoir acquérir de l’or si le prix des aliments flambe en période de mauvaises récoltes ? L’or n’était intéressant que pour les commerçants internationaux car il permettait un troc quasiment universel. Pour les peuples, le véritable étalon doit être un panel d’articles de première nécessité, comme celui grâce auquel on calcule l’inflation; ou le taux horaire du SMIG par exemple, comme dans les SEL.  A noter que la très légère inflation qu’on nous décrit est complètement fausse car l’indice est trafiqué et il n’est pas tenu compte de l’inflation boursière qui est énorme.

. Le prêt avec intérêts et la spéculation permettent de modifier la valeur de la richesse associée sans avoir apporté de richesse supplémentaire et sont donc immoraux. La conjugaison du droit de création monétaire avec la spéculation permet aux banquiers de créer des sommes astronomiques d’argent fictif qui alimentent les bulles boursières mais permettent aussi d’acheter toutes les richesses réelles. Actuellement, 95% de l’argent créé sert à la spéculation, 5% à l’économie réelle.

Grâce à cette arnaque non dévoilée depuis des siècles, les (grands) banquiers sont devenus  si riches qu’ils ont pu corrompre presque toutes les institutions démocratiques. Ils sont, grâce à la complicité ou l’ignorance des politiques, devenus plus puissants que les états et sont en train d’établir dans l’ombre une dictature mondiale de type mafieux qui, si elle s’installe complètement, conduira certainement l’humanité à sa perte. Mais si nous décidons de ne plus utiliser leur monnaie et créons la nôtre, leur pouvoir s’effondre

Que faudrait-il donc pour que notre monnaie soit fiduciaire ?

_D’abord interdire les faux monnayeurs, qu’ils soient privés ou d’état : la monnaie ne doit être créée qu’en échange d’une richesse réelle vendue. Dans les échanges entre particuliers, elle est créée chez le vendeur, détruite chez l’acheteur, le contrôle de la véracité est fait par les 2 protagonistes et l’opération peut être faite par un logiciel, pas besoin de banquiers ! Dans les échanges entre un particulier et l’ensemble de la communauté, un serviteur de l’état par exemple, c’est à la communauté de décider combien il doit être payé et il peut être payé par création monétaire, pas besoin d’impôts : il a donné des richesses réelles à la communauté, elle le rembourse en lui donnant des richesses réelles à hauteur de l’argent créé pour lui. C’est donc la communauté qui doit posséder la banque centrale seule habilitée à faire de la création monétaire et uniquement pour des investissements collectifs : autoroutes, hôpitaux, services publics, protection de l’environnement. Et c’est la communauté qui déciderait alors sans contraintes où il faut investir et créer des emplois. Cet argent plein qui n’aurait à être rendu à personne permettrait d’enrichir tout le monde sans avoir à recourir à l’impôt sous réserve que la production des biens fondamentaux soit suffisante pour subvenir à tous. Le fait que la création de monnaie soit assujettie à une circulation de richesse réelle ne devrait pas créer d’inflation et pour éviter que certains ou que l’ensemble de la population devienne trop riche, il suffirait de décider d’un revenu et d’une capitalisation maximum.

_Ensuite toute variation de la valeur initiale doit être combattue, ce qui veut dire interdire les prêts avec un intérêt supérieur à l’inflation et interdire ou taxer fortement la spéculation. Les religions l’avaient bien compris à leur origine car toutes (sauf la religion juive) interdisaient l’usure.

Ces 2 conditions existent dans les SEL (Systèmes d’Echange Locaux) et les monnaies locales ou complémentaires : c’est vers eux qu’il faut se tourner avant la crise inéluctable et imminente qu’on nous promet. Le bitcoin sécurise les échanges entre particuliers mais ne correspond pas à nos critères car sa création ne correspond pas à une richesse vendue (simplement à un « minage » de fonctionnement) et elle est spéculative. La monnaie « libre » est une monnaie pleine mais n’est pas non plus créée lors d’une richesse vendue. Je propose pour ma part la « monnaie pleine citoyenne », seule à ma connaissance à répondre aux 2 premiers critères.

 

Statuts provisoires de l’association « mieux vivre ensemble »

(Les statuts et le nom définitifs ainsi que la mise en forme réglementaire seront déterminés lors de la prochaine assemblée générale constituante)

La présente association a pour but de concevoir, expérimenter et promouvoir une organisation sociale à la fois démocratique, laïque, solidaire, pacifique, respectueuse de la liberté de chacun et de toute forme de vie sur terre.

Pour cela, elle se dote d’une charte constitutionnelle précisant cette organisation ainsi que les droits et les devoirs de chacun. Cette charte est votée lors de l’assemblée générale constituante et est modifiable lors d’une assemblée générale extraordinaire.

L’organisation comportera obligatoirement un bureau  exécutif et un comité éthique.

Le bureau exécutif est composé d’élus désignés (ne peuvent faire campagne pour eux-mêmes) ou tirés au sort parmi les volontaires et est mandaté pour appliquer les lois ou les objectifs votées par les membres. En cas de défaillance, Il peut être révoqué en totalité ou en partie en cours de mandat par un RIC à l’initiative de 10% des membres.

Un comité éthique veille au respect des lois et de la charte. Il est indépendant du bureau exécutif, et son accord est nécessaire à toute action à l’initiative de celui-ci. Il est constitué de membres en majorité tirés au sort chaque année. En cas de litige entre le bureau exécutif et le comité éthique, l’arbitrage est donné par l’ensemble des membres.

Tous ceux devant assumer une responsabilité administrative ou organisationnelle sont désignés, mandatés et élus à la majorité des membres. Ils sont révocables lors de chaque assemblée générale ou en cours de mandat par une majorité de membres.

Les assemblées générales auront lieu au moins une fois par an mais aussi à chaque décision importante en cours d’année à la demande du bureau exécutif, du comité éthique ou de 10% des inscrits. Elles pourront se faire par internet.

Tous ceux travaillant pour l’association le font bénévolement. Leur travail pourra cependant être évalué à l’aide d’une monnaie interne non convertible par l’assemblée générale.

Comme toute association déclarée, notre association peut recevoir des dons. 3 types de dons sont possibles :

_les dons gratuits, désintéressés, sans contrepartie.

_Les dons chiffrés en euros, donnant droit à un reçu et à une réduction d’impôts.

_Les dons chiffrés en monnaie interne donnant droit à recevoir d’autres dons chiffrés de la même manière pour la même valeur.

Les dons et les dépenses chiffrés en euros font l’objet d’une comptabilité publique.

La création de la monnaie interne qui sert à mesurer nos échanges est gratuite. Cette monnaie n’est pas convertible et est étalonnée sur le temps de travail ou les biens de première nécessité. Elle ne peut s’obtenir qu’en échange d’un don à un membre de l’association ou à l’association toute entière.

La cotisation et la participation aux activités sont libres, chacun pouvant donner ce qu’il peut sans en souffrir.

 

Commentaire explicatif : il n’est pas possible de faire fonctionner un groupe de façon cohérente sans un minimum de structure organisationnelle. Cette organisation reflète me semble-t-il ce que nous souhaitons à un niveau national: un exécutif mandaté et révocable par l’ensemble des membres, un judiciaire ne rendant des comptes qu’à la constitution et indépendant de l’exécutif, une constitution écrite par les membres et non par l’exécutif. Le fait d’être une association déclarée nous permet de recevoir légalement des dons. Le fait d’avoir une monnaie interne démocratique n’est pas un gadget mais un élément important de notre indépendance : cela permet d’améliorer le pouvoir d’achat, d’aider ceux en difficulté, de privilégier les échanges avec ceux qui partagent les mêmes valeurs, de ne plus être esclaves des banques.

Si vous souhaitez être parmi les constituants ou même seulement membres, indiquez le dans les commentaires ci-dessous.

 

Appel à Résistance

                                       

Nous sommes entourés de trop de moutons pour provoquer une insurrection avec des résultats immédiats. Ils sont souvent bien gentils, pas forcément bêtes mais complètement chloroformés par les médias : ils ont intégré une vision du monde complètement fausse qui ne peut pas se remettre en question car trop d’informations leur manquent ; ils croient être des privilégiés vivant en démocratie alors que nous sommes peut-être dans la pire des dictatures, profondément mortifère mais intelligente, ne se montrant pas à visage découvert, agissant à petits pas pour nous faire accepter progressivement l’inacceptable, notre perte totale de liberté.

Les Gilets Jaunes commencent à s’en rendre compte en subissant l’esclavage financier, la violence de la répression policière, la justice soumise à l’exécutif, la mauvaise foi des médias. Mais le coup d’état sur la démocratie ne date pas d’aujourd’hui, il commence à bien se voir car il approche de sa phase finale mais il a eu lieu il y a plus d’un siècle, en 1913, avec la loi sur la Réserve Fédérale qui mettait les USA sous le joug de quelques banquiers privés. Lesquels banquiers n’ont eu de cesse de s’approprier les banques centrales de presque tous les états de la planète en vue d’un gouvernement mondial. L’UE fait partie de ce plan puisque les banques centrales des états européens sont désormais contrôlées par la BCE, banque privée ne créant aucune monnaie pour les états, les obligeant à s’endetter sur les marchés financiers.

Le premier pas si nous voulons retrouver notre liberté sera donc de sortir de l’UE et pour cela il y a déjà un parti constitué dirigé par un politicien honnête et compétent : il suffit de voter pour l’UPR à toutes les élections.

Mais cela va prendre quelques années, que faire en attendant ? J’appelle tous ceux qui veulent résister à se réunir au sein d’une association non lucrative loi de 1901 dont la charte sera la constitution démocratique que nous voudrions avoir ( j’en propose une que vous pouvez commenter, enrichir ou amender), dont les membres pourront faire des échanges avec une monnaie interne indépendante des banques (voir ici pour comprendre pourquoi le problème de la monnaie est si important) et boycotteront tout ce qui n’est pas en accord avec notre charte. Nous aurions alors un vrai contre-pouvoir constructif.

Pour adhérer et participer à sa construction, il suffit de donner votre email mais pas sur FB, en me le donnant en mettant un commentaire sur ce site .