On trouve pléthore d’ouvrages sur l’histoire de la monnaie, ses différentes formes, son évolution, mais curieusement très peu sur les conditions de sa création, de sa diffusion et de son fonctionnement
La plus ancienne forme de monnaie que nous connaissons ne consiste pas en des pièces de métal mais en une écriture sur des blocs d’argile datant de l’époque des sumériens . La monnaie OR n’est apparue que plus tard, à une époque où le commerce devenait international, car l’or possède de la valeur à peu près pour tous les peuples et permet ainsi de faire du troc entre nations. Pour asseoir leur autorité sur leurs peuples, les souverains ont eu l’idée d’imposer cette monnaie OR à l’intérieur de leur pays : mieux que la force, créer la monnaie d’un pays oblige de facto les gens du peuple à travailler d’abord pour le souverain pour acquérir cette monnaie avant de pouvoir échanger entre eux.
A l’époque de la royauté, ce rapport de force était clair et assumé et permettait le fonctionnement de l’état. Mais l’or et l’argent étant en quantité limité dans le monde et le besoin de monnaie de plus en plus grand , ils avaient beau diminuer la quantité de métal dans les pièces et mettre des impôts pour en récupérer une partie, l’argent qu’ils pouvaient créer ne suffisait pas et ils se trouvèrent obligés d’emprunter à ceux qui en avaient beaucoup: les riches , les commerçants et les banquiers.
Les banquiers ont commencé à être des orfèvres, simples dépositaires de l’or de leurs clients qu’ils gardaient en lieu sûr et donnaient en échange un certificat de dépôt qui permettait de récupérer l’or moyennant un droit de garde. Mais, bientôt, ce furent les certificats de dépôt, plus faciles à transporter que l’or, qui servirent de monnaie d’échange. Voyant qu’une grande partie de leurs clients ne venaient jamais rechercher leur or, les orfèvres eurent l’idée d’émettre des billets identiques aux certificats de dépôt mais qui étaient cette fois des reconnaissances de dette : ils venaient de se donner le pouvoir de créer de la monnaie au prix d’une duperie dans la confiance qu’on leur faisait, car, si tout le monde venait réclamer son or à la fois, ce qui arrivait parfois quand il y avait crise de confiance, ils ne pouvaient satisfaire tout le monde et faisaient faillite. C’est à partir de là qu’ils sont devenus banquiers, gagnant leur vie grâce aux prêts avec intérêts et aux opérations de change entre les nombreuses monnaies. Il faut comprendre que lorsqu’ils prêtent de la fausse monnaie, ils ne gagnent pas seulement l’argent des intérêts, ils augmentent encore leur réserve d’or puisque dans l’argent remboursé, une grande partie ne sera pas fausse. Ainsi les banquiers, contrairement aux rois qui distribuaient réellement leur or et n’en récupéraient qu’une partie avec les impôts, donc en perdaient régulièrement, les banquiers qui prêtaient de l’or qu’ils ne distribuaient jamais et en récupéraient plus, voyaient leur réserve d’or augmenter régulièrement.
Au 18ème siècle, un juif de famille modeste, Mayer Amschel Bauer, qui se fit appeler par la suite Rothschild, vivant dans le ghetto de Francfort- sur-le-Main se lança dans le métier réservé aux juifs, car seule leur religion autorisait le prêt avec intérêt, celui de banquier. Il réussit à gagner la confiance du Prince Guillaume de Hesse-Cassel, très riche grâce à l’armée de mercenaires qu’il louait régulièrement, qui lui confia la gestion de sa fortune. Ses affaires furent florissantes et il eut l’idée de prêter dorénavant aux états. Ses 5 fils allèrent établir des succursales dans toute l’Europe. Celui qui s’établit en Angleterre, Nathan Mayer Rothschild put prêter d’énormes sommes au roi d’Angleterre, Guillaume d’Orange, qui permirent à celui-ci de financer ses armées en lutte contre Napoléon. En 1812, il réussit à prendre le contrôle de la banque d’Angleterre (déjà privatisée) en torpillant le marché boursier avec le soutien du roi. En 1815, il multiplia sa fortune déjà considérable par vingt en spéculant sur un mensonge, faisant croire à la victoire de Napoléon à Waterloo.
A cette époque, les 13 colonies américaines de la « nouvelle Angleterre » vivaient dans la prospérité car elles avaient créé leur propre monnaie gérée démocratiquement. Les banquiers anglais, mis au courant, firent adopter par le Parlement anglais une loi défendant aux colonies de se servir de leur monnaie script et leur ordonnant de se servir uniquement de la monnaie-dette d’or et d’argent des banquiers qui était fournie en quantité insuffisante. La circulation monétaire dans les colonies se trouva ainsi diminuée de moitié.
«En un an, dit Benjamin Franklin, les conditions changèrent tellement que l’ère de prospérité se termina, et une dépression s’installa, à tel point que les rues des colonies étaient remplies de chômeurs.»
Ce fut la vraie cause de la guerre d’indépendance. Les Pères Fondateurs des Etats-Unis, ayant tous ces faits en mémoire, et pour se protéger de l’exploitation des banquiers internationaux, prirent bien soin de stipuler clairement dans la Constitution américaine signée à Philadelphie en 1787, dans l’article 1, section 8, paragraphe 5: «C’est au Congrès qu’appartiendra le droit de frapper l’argent et d’en régler la valeur.»
Mais les banquiers londoniens ne désarmèrent pas. Leur émissaire, Alexander Hamilton, secrétaire du trésor dans le gouvernement de Georges Washington, réussit à faire créer une « banque des Etats Unis » privée avec une charte de 20 ans. Les résultats furent tellement catastrophiques qu’elle ne fut pas reconduite. Nathan Rothschild usa alors de son influence pour déclencher la guerre de l’Angleterre contre les Etats Unis qui fit des milliers de morts et les appauvrit au point qu’ils durent demander une aide financière en échange du renouvellement de la charte.
Toute l’histoire des Etats Unis peut se résumer en une lutte des banquiers pour maintenir leur pouvoir de création monétaire qui leur assure un contrôle total de l’économie du pays et donc de sa politique, contre ceux, trop peu nombreux, assez lucides pour résister: tous ceux dans le pays qui ont quelque chose à vendre, leur travail, leur production, ne peuvent le faire que pour ceux qui ont de l’argent; et les premiers qui ont de l’argent sont ceux qui l’ont emprunté aux banquiers; ces personnes deviennent alors des capitalistes qui possèdent les entreprises et quasiment les ouvriers qui y travaillent, qui doivent travailler dur car il faut non seulement assurer le salaire du patron mais aussi assurer le remboursement des emprunts. C’est uniquement à cause de ce système monétaire que les considérations financières ont pu passer avant la considération de l’humain et que le capitalisme peut être considéré comme la forme moderne de l’esclavage. Ne peuvent devenir capitalistes que ceux acceptés par les banquiers et les banquiers ne choisissent que ceux entrant dans leurs valeurs qui deviennent leurs obligés. Il est alors facile pour les grands banquiers de faire évoluer l’économie du pays dans le sens qu’ils veulent. Il n’y avait plus de roi avec une autorité indépendante pour les remettre au pas (en ne payant pas les dettes ou en les emprisonnant), les présidents avaient besoin des banquiers pour assurer leur fortune et les énormes frais des campagnes électorales, donc ils ont pu choisir la majorité des présidents, des élus pouvaient aussi être achetés, l’opinion publique manipulée par des médias achetés eux aussi, et par des « experts » venant d’universités financées par les banquiers. Petit à petit, la majorité de l’administration américaine a été constituée de banquiers.
Quelques présidents ont cependant eu le courage de vouloir s’opposer à eux :
_plusieurs présidents se sont opposés au renouvellement de la charte ensuite mais ont fait l’objet de tentatives d’assassinat : Jackson y échappa car l’arme s’est enrayée, Zachary Taylor est mort empoisonné à l’arsenic, James Buchanan, après avoir voulu encadrer les banques, a résisté à un empoisonnement à l’arsenic.
_Pour financer la guerre de sécession, Lincoln émit une monnaie gouvernementale, le billet vert et avait promis de s’attaquer aux banquiers une fois la guerre finie: «J’ai deux grands ennemis: l’armée du Sud en face et les banquiers en arrière. Et des deux, ce sont les banquiers qui sont mes pires ennemis.» Il fut assassiné 5 jours plus tard, le billet vert disparu, une formidable restriction du crédit s’ensuivit, organisée par les banques. L’argent en circulation dans le pays, qui était de 1907 millions $ en 1866, soit 50,46 $ pour chaque Américain, tomba à 605 millions $ en 1876, soit 14,60 $ par Américain. Résultat: en dix ans, 54 446 faillites, pertes de 2 milliards $. Cela ne suffisant pas, on alla jusqu’à réduire la circulation d’argent à 6,67 $ par tête en 1867! Et le président suivant réemprunta chez Rothschild.
_James A. Garfield fut élu ensuite sur le programme de reprendre un contrôle gouvernemental de la monnaie : « celui qui contrôle la monnaie d’une nation contrôle la nation ». Il fut abattu un an plus tard.
_Il y eut encore Mac Kinley, élu en 1896, qui assainit le budget de l’état en ne recourant pas à l’emprunt et parlait de mettre le dollar sous contrôle d’état quand il fut assassiné en 1901.
_. Après la panique monétaire de 1907, le peuple américain réclamait que le système monétaire de la nation soit stabilisé. Le président Roosevelt créa la Commission Monétaire Nationale pour étudier le problème mais le sénateur Aldrich qui la présidait dépensa l’argent alloué en voyages d’étude en Europe sans rien produire. Par contre, il réunit dans le plus grand secret 5 représentants des 3 plus grosses banques (2 dominées par JP Morgan, la troisième Khun,Loeb & Co représentée par Paul Warburg) à Jekyll Island, une île de Géorgie achetée par des millionnaires et réservée à des millionnaires. En 9 jours, ils mirent au point un projet qui fut présenté ensuite comme celui de la commission et qu’ils réussirent à faire voter en 1913 juste avant Noël après avoir dépensé une fortune (5 millions de dollars) pour en faire faire la propagande par les professeurs de leurs universités: ce fût la « loi sur la réserve fédérale » au titre trompeur car ce n’était pas une réserve et c’était un établissement privé et non fédéral. Il avait une apparence collégiale : un conseil des gouverneurs nommés par le président et rendant des comptes au congrès. Mais ce conseil serait contrôlé par un « comité consultatif fédéral » dont les membres seraient choisis par les directeurs des 12 banques partenaires et resteraient inconnus du public et du contrôle parlementaire. Les actions des 12 banques régionales furent rachetées par des banques nationales et ce furent celles contrôlées par Rockefeller, khun-Loeb et Morgan qui en prirent la majorité et contrôlèrent de fait tout le système. Cette loi donnait (et donne encore) à ces 3 banques le pouvoir exorbitant et inconstitutionnel de battre la monnaie à la place de l’état, de fixer les taux d’intérêt, la masse monétaire et le cours de la devise, de faire en sorte que l’argent soit rare ou abondant, de prêter à l’état ensuite à l’intérêt de leur choix, et de rendre ainsi l’état prisonnier d’une dette inextinguible.(Encore aujourd’hui ce sujet est tabou : lire à ce propos le livre d’Eustace Mullins « les secrets de la réserve fédérale » qui a mis 40ans à réunir les documents prouvant cette conspiration, qui a eu beaucoup de mal à se faire publier et dont la traduction française est parue en 2010 aux ed « le retour aux sources »).Le président Wilson qui a signé cette loi n’a cessé de le regretter ensuite : J’ai inconsciemment ruiné mon pays. «Je suis un homme des plus malheureux. Nous ne sommes plus un gouvernement libre d’opinion, plus un gouvernement avec des convictions et un vote à la majorité, mais un gouvernement sous la volonté et la contrainte d’un petit groupe d’hommes dominants « -. Woodrow Wilson 1919
Grâce à la FED, les crises qui étaient auparavant incontrôlées vont pouvoir l’être au gré de ces grands banquiers ; c’est le cas de la crise agricole de 1920-1921 : la première guerre mondiale avait provoqué une prospérité générale aux Etats Unis, en particuliers chez les agriculteurs et les ouvriers agricoles qui, méfiants, déposaient leur argent dans des banques provinciales ne faisant pas partie de la FED. Pour casser cela, on encouragea d’abord les agriculteurs à emprunter à grande échelle pour s’équiper et acheter des terres grâce à des taux d’intérêts très attractifs en échange d’hypothèques sur leurs biens, prêts que seules les grandes banques savaient gérer. Puis, lors d’une réunion secrète le 18 mai 1920 du Conseil des Gouverneurs de la FED où seuls les gros banquiers étaient présents, il fut décidé une contraction brutale du crédit (le taux passa de 3% à 7%) et donc de la monnaie (quand le taux augmente, les gens empruntent moins), ce qui eut pour effet de mettre en faillite les agriculteurs et les banques associées, de réduire le revenu national de 15 milliards de dollars, jetant des millions de personnes au chômage et réduisant de 20 milliards de dollars la valeur des terres et des ranchs.
Sans le système de la réserve fédérale, aucune guerre mondiale n’aurait pu être déclenchée : les pays européens possédaient de grandes armées opérationnelles qu’ils s’épuisaient à financer mais n’avaient pas une économie suffisante pour financer la guerre ; la FED leur prêta 25 milliards de dollars (que les Etats Unis n’avaient pas non plus, qui furent créés et non remboursés) répartis entre tous les futurs belligérants. La guerre faisait marcher l’industrie et rapportait des bénéfices. C’est pour cela aussi que le président Wilson, qui devait sa fortune et son élection aux banquiers, leur donna des postes de commande dans son administration et mis l’Amérique en guerre.
Mais ces hommes les plus puissants des Etats Unis rendaient eux-mêmes compte à une autre puissance qui les contrôlait de fait déjà en 1910 : la puissance financière Anglaise concentrée dans la branche londonienne de la maison Rothschild. Bien que ces firmes fussent américaines en apparence, entretenant simplement des agences à Londres, le fait est qu’elles allaient prendre leurs ordres à Londres car, depuis le début, c’est la banque d’Angleterre de Nathan Rothschild qui avançait masquée en finançant les grandes banques américaines. Pouvant disposer de sommes énormes, créées maintenant sur ses ordres par le board de la FED aux états Unis, la City de Londres est le centre financier de la planète (on comprend mieux l’indéfectible alliance entre l’Angleterre et les états unis) : 5 banques d’affaire de Londres contrôlent en réalité les banques new-yorkaises qui possèdent la majorité de contrôle dans la banque de réserve fédérale de New-York.
Le krach de 1929 fut programmé par Londres et la FED pour mettre fin à une période de spéculation, en augmentant brutalement les taux d’intérêt, après avoir prévenu au préalable les initiés ; les autres, les petits spéculateurs, perdirent tout ; 11630 petites banques firent faillite, augmentant encore la concentration de l’argent dans les grandes banques. La FED laissa pourrir la situation jusqu’en 1933 pour soutenir l’élection de Roosevelt, lui-même banquier : elle créa alors 100 millions de dollars d’argent frais et les usines recommencèrent à embaucher. La loi bancaire de 1935 étendit la durée des mandats des gouverneurs de la FED à 14 ans, 3 fois et demi la durée d’un mandat présidentiel, ce qui signifiait que quel que soit le nouveau président, il ne pourrait rien changer à la politique de la FED .En 35 ans, les banques de la FED ont accru leurs actifs de 143 millions à 45 milliards de dollars sans rien produire, simplement par la création monétaire dont 95% sous forme de crédit
C’est à cause de cette période de chômage de masse et de misère que put naître le nazisme. Les juifs, dont beaucoup étaient banquiers, ont été victimes de la haine engendrée par la violence du capitalisme bancaire. Après la première guerre mondiale, l’Allemagne avait été condamnée à payer tous les dégâts de la guerre et se trouvait écrasée sous les dettes, ce qui provoqua la chute de la république de Weimar. Hitler fut porté au pouvoir par les grands industriels allemands et réussit à redresser l’économie en créant une monnaie nationale. Il fut aussi aidé en sous main par des banquiers anglais et américains. Les américains ont débarqué en Europe une fois que l’armée allemande fut battue par les russes, non pas pour aider les européens, mais pour occuper les pays avant que les russes n’y arrivent et y imposer leur monnaie (ce que De Gaule a empêché): « La guerre ne fut pas seulement pour abolir le fascisme, mais pour conquérir les marchés de vente. Nous aurions pu, si nous avions l’intention de le faire, empêcher cette guerre d’éclater mais nous ne voulions pas. »- Winston Churchill à Truman (Fultun, USA Mars 1946). Ils ont par contre gardé les valeurs du fascisme en rapatriant les nazis les plus sadiques pour les faire entrer dans leurs services secrets.
Il y eu encore un président pour s’opposer à la création monétaire privée : John Fitzgerald Kennedy venait de signer un décret permettant à l’état de battre monnaie lorsqu’il fut assassiné. Le film de Zapputer, maintenant déclassifié, apporte la preuve qu’il s’agissait bien d’un complot. Ce fut le dernier à s’opposer, la voie était libre pour mondialiser ce dispositif.
La mondialisation s’est faite sur le modèle de la FED, remplaçant les banques centrales des états par des banques privées. « L’Union Européenne » a été construite sur le même modèle : sa banque centrale, hors contrôle démocratique, ne fournit pas les états mais des banques privées qui prêtent ensuite aux états avec intérêts, ce qui augmente leurs dettes de façon inextinguible et permet aux banques d’imposer leur politique.
Il est à noter que les seul rares états qui résistaient et avaient une banque centrale d’état indépendante du dollar sont ceux contre qui des guerres ont été engagées.
A la fin de la guerre, les Etats Unis s’étaient beaucoup enrichis et avaient réussi à faire venir chez eux la majorité des réserves d’or. Dans les accords de Brettons Woods, ils imposèrent que seul désormais le dollar serait convertible en or à 35d l’once et que les autres monnaies seraient adossées au dollar. La FED en profita pour émettre beaucoup plus de dollars qu’elle n’avait de réserves d’or, ce qui finit par éveiller la méfiance des autres pays, dont la France, et, quand celle-ci commença à demander la conversion des dollars en or, le président Nixon suspendit le 15 août 1971 la convertibilité du dollar en or. Pour continuer à s’endetter, Nixon a gagé illégalement 25% du territoire américain. Pour continuer à s’endetter, il a proposé aux pays producteurs de pétrole, en échange d’une protection militaire, de vendre leur pétrole contre des dollars investissables dans des bons du trésor remboursables par les générations futures. Mais l’Amérique ayant de moins en moins de choses à offrir, plusieurs pays producteurs commencèrent à exiger d’autres monnaies :
_En 2000, Saddam Hussein préféra des euros au dollar. 2ans plus tard, l’Irak fut envahi sous de mauvais prétextes et son pétrole revint aux pétrodollars
_En Libye, Mouammar Kadhafi avait institué une banque centrale appartenant à l’Etat et une monnaie d’échange de valeur, le dinar d’or. Il ne vendait plus son pétrole que contre des dinars, des pays africains le rejoignaient ; les Etats Unis ont envahi la Libye, sa banque centrale a été privatisée et le pétrole libyen revendu en dollars.
_La cible suivante a failli être l’Iran, qui a aussi une banque centrale gouvernementale.
_Ils n’ont pas réussi pour la Syrie car elle a eu le soutien de la Russie
_Ils sont en train de perdre leur pouvoir à cause de la Russie qui a tenu en échec leur armée de l’Otan et fédère ceux qui s’opposent dans les Bricks.
Cet historique montre que nous arrivons à la fin d’un processus commencé il y a 3 siècles, un véritable coup d’état mondial de quelques banquiers et de leurs alliés prêts à tout, même au meurtre, pour satisfaire leur soif de richesse et de domination. Le pire est que cette soif de domination se double d’une lutte idéologique contre les valeurs de la Chrétienté. Les Rothschild sont en réalité de faux juifs, des Khazars issus d’un peuple barbare s’adonnant à des rites sataniques avec viols et meurtres d’enfants, qui ont été chassés de leur pays et obligés de prendre une religion par leurs voisins qui ne les supportaient plus, en particulier les Russes. Mayer Amschel Bauer, le premier des Rothschild, a présidé à la fondation de la secte des « illuminati » ( illuminati est l’un des noms donné à Lucifer) qui fut créée en 1776 par un prêtre défroqué (Adam Wheishaupt). Cette secte « illuminati », ouvertement dédiée à Satan a ensuite infiltré les hauts grades de la Franc Maçonnerie pour envahir toute l’Europe : ce sont eux qui ont organisé la « révolution » de 1789 et qui gouvernent encore actuellement chez nous.
La France parait bien engluée dans ce système, ayant perdu avec les traités européens sa souveraineté politique et financière, ayant perdu avec son adhésion à l’OTAN sa souveraineté militaire : comment serait-il possible d’en sortir ? La première étape est manifestement de reprendre le contrôle de la création monétaire pour construire un système monétaire sain. Mais qu’est-ce qu’un système monétaire sain ? Il faut d’abord que nous revoyons notre conception de la monnaie.
article qui dans l’ensemble représente une logique qui manque de référence exemple film se zapputer mais semble cohérent
en réaction à cela que nous proposons la première monnaie bien commun