Il ne faut rien connaitre aux propriétés du bois ou s’empêcher volontairement de réfléchir pour croire un seul instant à un accident : des poutres de cette taille ne s’enflamment pas même sous la flamme d’un chalumeau, elles ne peuvent que se consumer superficiellement lentement ; avec l’âge, elles deviennent aussi dures que de la pierre.
Il faut voir l’ahurissement de l’ancien architecte en chef, M.Mouton, qui avait conduit les travaux de sécurisation de l’édifice : plus aucun circuit électrique ne passait dans la toiture, des détecteurs de début de feu très sophistiqués sonnaient l’alarme dès la moindre fumée, 2 gardiens étaient présents jour et nuit.
Un tel démarrage brutal et la couleur des flammes sont révélateurs de l’explosif utilisé : la thermite, le même que pour les tours jumelles du 11 septembre.
La réaction du gouvernement est révélatrice de qui sont les auteurs : ils ont tout de suite exclu la thèse de l’attentat qui aurait été plus logique. De plus, il a fallu tout une logistique antérieure pour organiser un tel incendie : qui a pu enduire les poutres de thermite pour qu’elles puissent brûler de cette façon ?
La réponse est dans les travaux demandés par la mairie de Paris : elle avait demandé à une entreprise spécialisée de pulvériser sur toutes les poutres un « insecticide » complètement inutile vu l’âge des poutres.
Cette fois, il n’y a pas eu de morts : ils ont fait évacuer les visiteurs juste avant. Le but est certainement une opération immobilière juteuse pour les amis de M.Macron car ils vont pouvoir rénover l’ile de la cité en se passant des règlementations ennuyeuses protégeant les monuments historiques.
On retrouve aussi la lutte idéologique satanique contre la chrétienté car, curieusement et sans qu’on en parle dans les médias, un grand nombre d’églises en France se mettent à brûler inexplicablement.
Voir : Benjamin Mouton ex architecte en chef de Notre Dame
explosion notre dame: https://www.facebook.com/2175995052656178/videos/320654255293669/
A l’inverse de precedents drames ayant touche des cathedrales, la volonte de rebatir Notre-Dame sonne comme une evidence pour tous. Mais il faut conserver quelques traces de l’incendie pour eviter l’amnesie.